Moulin-sous-Touvent
Moulin-sous-Touvent est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Moulin-sous-Touvent | |||||
Église Saint-Médard. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC des Lisières de l'Oise | ||||
Maire Mandat |
Anne Brocvielle 2020-2026 |
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Code postal | 60350 | ||||
Code commune | 60438 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
196 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 27′ 25″ nord, 3° 04′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 68 m Max. 158 m |
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Superficie | 18,14 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-1 | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.moulinsoustouvent.com/ | ||||
Géographie
Localisation
La commune rurale de Moulin-sous-Touvent est située dans la partie moyenne de la Montagne de Reims, au nord-est du département de l'Oise, à la limite de celui de l'Aisne. Elle est traversée du nord au sud par un vallon ramifié, où se trouve le village, qui descend vers Bitry et l'Aisne.
Elle se trouve à 15 km à l'est de Compiègne, 14 km au sud-est de Noyon et à 22 km à l'ouest de Soissons.
Communes limitrophes
Hameaux et écarts
A la fin du XIXe siècle et avant les destructions de la Première Guerre mondiale, la commune comptait les hameaux et écarts suivants : Puisaleine (hameau). Quennevières (ferme), Puiseux (ferme), Touvent (ferme), Le Moulin (usine et petite ferme)[1].
Hydrographie
Le sud du territoire communal est drainé par le Ru de Bitry, qui y prend sa source, et se jette dans l'Aisne à Bitry.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Moulin-sous-Touvent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,1 %), forêts (17,4 %), zones urbanisées (1,4 %), prairies (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Au XIXe siècle, Le Moulin était une dépendance située au sud-est, vers Saint-Pierre-lès Bitry, et Touvent était une ferme sur là colline qui domine le village[1].
Le lieu était dénommé Moslins-sous-Touvent (Molinum subtus villare de Tovento)[22].
Histoire
À la ferme de Quennevières, au lieu-dit les Longues-Voies, on a recueilli des médailles de bronze, et, sur la voie romaine reliant Soissons à Noyon, ont été découvertes des monnaies, des poteries et des tuiles à rebords. Vers la vallée de l'Aigle, au lieu-dit les Tourbes, on a mis à découvert une grande quantité de sarcophages. En 1862, au lieu-dit le Champ-Havet, on a découvert des murs d'enceinte entourés de fossés profonds, des monnaies et des objets antiques[23],[1].
« La ferme de Puiseux appartenait à l'Abbaye d'Ourscamp; elle se composait de granges et de terres dont les papes Innocent II et Urbain IV avaient par des bulles confirmé l'entière possession aux religieux. Cependant, Enguerrand de Coucy s'étant emparé de la ferme de Puiseux, l'Abbé s'adressa au roi Saint-Louis, qui ordonna au sire de Coucy de restituer les terres ; en cas de refus, le roi autorisait l'abbé Dreux, à s'emparer des biens d'Enguerrand (1230). Le sire de Coucy rendit les terres aux religieux et confirma (1261) la vente que Renaud, châtelain de Coucy, avait faite à l'Abbaye du terrage de Puiseux, et la donation d'une rente de quatre livres que Simon, son homme, aumônait à l'Abbaye[1] ».
Les Templiers avaient au hameau de Touvent, à l'emplacement de là ferme, un établissement dont il ne restait plus de vestiges à la fin du XIXe siècle[1].
Sous l'Ancien Régime, l'Abbaye Saint-Médard de Soissons avait la seigneurie du village. Le chapitre de la cathédrale nommait le curé de l'église placée sous la dédicace de saint-Médard[23].
Avant la Première Guerre mondiale existait la distillerie Danré (ferme de Puisalène) et/ou la distillerie Labarre[24], créée, semble-t-il, en 1856[25]. On comptait alors une carrière et un moulin à eau[1].
- Circonscriptions d'Ancien Régime
La paroisse dépendait des autorités religieuses suivantes : doyenné de Vic-sur-Aisne, archidiaconé de la Rivière[26].
Pour l'administration civile, elle dépendait de la subdélégation, élection et Généralité de Soissons[26].
La commune, située sur la ligne de front dès 1914, a été occupée selon l'époque par l'Armée allemande et libérée par les Alliés[27].
Les carrières de Moulin-sous-Touvent, exploitées depuis le Moyen Âge, sont occupées en 1914 par les combattants allemands, qui aménagent des dortoirs, des postes de commandement ou de secours, agrandissant le réseau souterrain en creusant sur plusieurs centaines de mètres de nouvelles galeries[28],[29],[30].
La bataille de Quennevières visant à enlever le saillant de Quennevières se déroule du 6 au sur le territoire de la commune, secteur tenu par la 61e division d'infanterie du général Robert Nivelle. Elle se solde par plus de 10 000 victimes en dix jours, et est l’une des plus meurtrières dans l’Oise en 14-18[31],[32].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[33],[34],[35],[36],[37],[38],[39] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [40].
La commune conserve encore aujourd'hui des traces de cette guerre, abritant un cimetière militaire allemand et la butte des Zouaves, une butte où périrent dans l'explosion d'une mine souterraine une compagnie de zouaves et aujourd'hui inscrit aux Monuments historiques.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Attichy[41]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a intégré le canton de Compiègne-1.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes des lisières de l'Oise, créée en 2000 sous le nom de communauté de communes du canton d'Attichy, et qui a pris son nom actuel en 2015.
Cette intercommunalité résulte de la transformation du district du canton d'Attichy créée le , qui avait succédé au SIVOM créé le et qui regroupait déjà les communes de l'ancien canton d'Attichy.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2019, la commune comptait 196 habitants[Note 8], en diminution de 13,27 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 14,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 108 hommes pour 97 femmes, soit un taux de 52,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Haut lieu de la Première Guerre mondiale, la commune a sur ses terres un site sacré nommé la butte des Zouaves[53], située à 1,5 km, à vol d'oiseau, au nord de la ferme de Quennevières, en empruntant un chemin praticable au carrefour des départementales 85 et 335. Cette butte rend hommage à des soldats ensevelis vivants au cours d'un bombardement. Elle se compose d'un tertre, sous lequel reposent les zouaves qui avaient participé activement aux combats de la ferme, surmonté d'une croix[54],[55], haut lieu de mémoire, le site a été inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 2002.
- Statue du général Louis Juchault de Lamoricière, qui, alors capitaine, se voit chargé en 1831 d'organiser le corps des Zouaves, prémisse de ce qui deviendra l'Armée d'Afrique. La statue a été inaugurée en 2019[56].
- C’est cet endroit (N 49° 29' 20" / E 3° 02' 56") qu’a choisi l’Union nationale des zouaves pour y ériger le monument national en l'honneur de tous les zouaves[57],[58]. L'inauguration de ce monument national eut lieu le .
- Le cimetière militaire allemand de Moulin-sous-Touvent[59],[60],[61] de la guerre 1914-1918 est situé sur la commune. Il contient 1903 sépultures.
- Moulin-sous-Touvent abrite aussi la tombe et le monument du général Louis Collardet, commandant ici en 1914-1915 le 318e régiment d'infanterie[62].
- Borne sculptée datant des années 1920, sur la RD 145 à hauteur du village. Elle commémore l'avance extrême des troupes allemandes en 1918[23].
- L'église Saint-Médard, restaurée après sa quasi-destruction pendant la Première Guerre mondiale, dont le portail occidental, au riche décor finement exécuté, est une parfaite illustration du style renaissance[63],[64].
- Larris (pelouse calcaire) de l’Aigle et du Puiseux, refuges de biodiversité[65]
Personnalités liées à la commune
- Thérèse Danré, qui a donné son nom à la place de l'église en 2015. Thérèse Danré, exploitante de la ferme de Puiseux située sous le feu de l'ennemi lors de la Première Guerre mondiale, tente de maintenir la bâtisse debout et de protéger ses quatre enfants. Elle secourt les soldats blessés, Allemands comme Français[66].
- Léon Durville, Arthur Lefebvre, Émile Michaud, Corentin Cariou, Baptiste Réchossière et Pierre Rigaud, résistants communistes incarcérés au camp de Royallieu à Compiègne, fusillés par l’armée allemande à la Butte aux Zouaves, les et , lors de la Seconde Guerre mondiale[67].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie.
- Moulin-sous-Touvent sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Moulin-sous-Touvent (60438) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 33 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 21, lire en ligne sur Gallica.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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- Théotime Leroux et Maurice Lenglen, L'agriculture dans le département de l'Oise, Paris, Librairie J.-B. Baillière et fils, , 496 p. (lire en ligne), p. 349.
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes : rédigé sous les auspices de la Société académique de Laon, Paris, Imprimerie nationale, , 364 p. (lire en ligne), p. 263, 290, lire en ligne sur Gallica.
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- Section photographique de l'armée, « Photo : Moulin-sous-Touvent. L'église bombardée », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 4, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
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- « Les maires de Moulin-sous-Touvent », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Sanctions administratives », Bulletin hebdomadaire du secrétariat d’État aux affaires étrangères, no 163, , -39-40 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Conseil municipal », sur http://www.moulinsoustouvent.com (consulté le ) « Le 23 Mars 2014 dernier, se sont déroulées les élections Municipales. (...) Le samedi 29 Mars, les Élus ont donc voté les membres le Maire et ses adjoints. (...) Fabrice Daranjo, entame son second mandat en tant que Maire de Moulin-sous-Touvent. ».
- « Nouvelle election du conseil Municipal Juillet 2019 », Conseil municipal, sur http://www.moulinsoustouvent.com (consulté le ).
- V. D. G., « Elue maire de Moulin-sous-Touvent il y a sept mois, Anne Brocvielle prête à rempiler », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ) « la politique, j’y suis venue un peu par hasard lorsqu’en 2014, Fabrice Daranjo m’a proposé d’être sur sa liste. Je me suis prêté au jeu avec beaucoup de plaisir. Je suis devenue adjointe au maire, j’ai pris la présidence du comité des fêtes que nous avons relancé. Quand monsieur Daranjo nous a expliqué qu’il allait déménager, la logique aurait voulu que ce soit Georges Payen, son premier adjoint, qui prenne la succession. Mais c’est Georges lui-même qui m’a proposé de me présenter», explique Anne Brocvielle ».
- A.C., « Lisières de l'Oise : les nouveaux maires et ceux attendus », Oise Hebdo, no 1369, , p. 18 (ISSN 1774-6418).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Moulin-sous-Touvent (60438) », (consulté le ).
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- Site du portail de l'Union Nationale des Zouaves
- Alexis Bisson, « Moulin-sous-Touvent : les Zouaves se souviennent, entre émotion et préoccupation », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Moulin-sous-Touvent. Cimetière militaire allemand : monuments aux soldats tués sur le front de l'Oise, élevé par le Régiment des Fusiliers de la Reine », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 4, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Agence Rol, « Photographie de presse : Moulin-sous-Touvent [Oise, tombes allemandes] », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Agence Rol, « Photographie de presse : Monument du cimetière de Moulin-sous-Touvent, dédié aux soldats allemands morts de 1914 à 1916 », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Voir [PDF]Le monument du Général Louis Collardet et du 318e R.I., à Moulin sous Touvent, (60)
- « Église Saint-Médard », notice no PA00114764, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, « Moulin-sous-Touvent, église Saint-Médard », Diocèse : Soissons, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
- « À Moulin-sous-Touvent, les écoliers font la loi », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Les écoliers de CE2, CM1 et CM2 de Moulin-sous-Touvent, dans l’Oise, s’inquiètent de l’avenir des larris de l’Aigle et du Puiseux, et de la faune et la flore que l’on y trouve. ».
- « Moulin-sous-Touvent : la place de l'église change de nom », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Un hommage aux communistes fusillés à Moulin-sous-Touvent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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