Quinçay
Quinçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Quinçay | |||||
L'église de Quinçay. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut-Poitou | ||||
Maire Mandat |
Philippe Brault 2020-2026 |
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Code postal | 86190 | ||||
Code commune | 86204 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 160 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 73 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 36′ 26″ nord, 0° 14′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 146 m |
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Superficie | 29,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Quinçay (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vouneuil-sous-Biard | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Située au nord-ouest de Poitiers, cette commune fait partie de la communauté de communes du Haut-Poitou. La commune est traversée par l’Auxances, surplombée par endroits de coteaux escarpés, et jouxte la forêt domaniale de Vouillé Saint-Hilaire.
Géographie
Localisation
Traversée par l'Auxances, la commune est dotée d'un riche patrimoine naturel. Le circuit de la vallée de l'Auxances à Quinçay[1] permet de découvrir la vallée encaissée, longue de 12 km. Les méandres isolent des presqu'îles étroites (Chambon, Sencret) parfois bordées de falaises abruptes. Cette vallée fait la frontière entre plaine céréalière sur la rive gauche et polyculture sur la rive droite[2].
Cet itinéraire permet de longer l'Auxances et de profiter de la fraîcheur de la forêt. Il fait découvrir le patrimoine architectural local, tels que le château de Masseuil ou le lavoir de Ringère. Également à voir autour de cet itinéraire : Site antique de Sénere't, Château de Masseuil, Château-Gaillard, Logis du Pré-Bernard, les lavoirs, moulins à eau, église Saint-Eleusippe et l'ensemble des rives de l'Auxances.
La commune s'étend sur près de 30 km2.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Les différents types de sols de la commune[3] de Quinçay sont :
- Plaines calcaires
- Groies moyennement profondes (15 %)
- Groies profondes (moins de 1 %) (Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite)
- Plateaux du seuil du Poitou
- Argile à silex peu profonde (49 %)
- Bornais (23 %) ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse
- Vallées et terrasses alluviales
- Vallées calcaires (12 %)
Hydrographie
Traversée par l'Auxances sur une longueur de 8 km.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921[10] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Transports
Le bourg ainsi que certains hameaux de la commune sont desservis par la Ligne 109 du réseau interurbain de la Vienne d'autocars Lignes en Vienne Poitiers – Latillé – Chalandray. Cette ligne dessert la gare SNCF de Poitiers[15].
La gare la plus proche de Quinçay se trouve à Poitiers (7,71 km ), à Ligugé (12,1 km), à Iteuil (14,86 km ),à Chasseneuil-du-Poitou (11,41 km), à Jaunay-Clan (13,8 km).
L'aéroport de Poitiers est situé sur la commune de Biard, à 01 km de Quinçay.
Urbanisme
Typologie
Quinçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quinçay, une unité urbaine monocommunale[19] de 2 215 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), terres arables (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), zones urbanisées (3,2 %), prairies (2 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La commune de Quinçay est composée d'un bourg principal et de 11 villages et hameaux (les Roches, Pré Bernard, Rochecourbe, le Moulin de Vaux, la Gère, Bois Frémin, Guissabeau, Masseuil, le Vivier, Ringère, le Grillas).
Toponymie
Le nom du village proviendrait de l’anthroponyme gallo-romain Quintus avec le suffixe latin de propriété -acum devenu -ec puis -ay et signifiant domaine de[25].
Le gentilé des habitants de Quinçay est Quincéen/Quincéenne.
Histoire
La Grande Roche de la Plématrie
La grotte de la Grande Roche, aussi connue sous le nom de Grande Roche de la Plématrie, se trouve à environ 2,2 km au nord-ouest de Quinçay. Découverte en 1952, elle a livré une stratigraphie exceptionnelle de Châtelperronien[26].
La couche supérieure du Châtelperronien a livré entre autres une série de dents de faune percées et soigneusement travaillées. Cette série a renforcé l'hypothèse de la fabrication de parures par les néandertaliens[27].
Moyen-Âge
Au VIe siècle, ce lieu a probablement été emprunté par les armées de Clovis (vers 465- 511), roi des Francs, lors de la bataille de Vouillé en 507[28].
Certaines recherches mentionnent saint Achard (en latin Acardus, Aicardus, ou Aicadrus d’où aussi Aycadre), comme ayant été abbé à Quinçay au VIe siècle[29].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2019, la commune comptait 2 160 habitants[Note 7], en diminution de 2,61 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La densité de population de la commune est de 72 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France[36].
En 2009, la part des couples mariés représente 60,2 % de la population. Les célibataires, 27,8 % et les veufs/veuves, 6,7 %.
Économie
Agriculture
Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[37], il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 19 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 873 hectares en 2000 à 591 hectares en 2010. 59 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi de l'orge), 33 % pour les oléagineux (colza et navette) et 2 % restent en herbes. En 2000, deux hectares (zéro en 2010) étaient consacrés à la vigne[37].
Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[37]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[38]
Emploi
En 2009, le taux de chômage de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3,7 % Le taux d'activité était à 77,4 %
Entreprises et commerces
Plusieurs entreprises sont implantées à Quinçay.
Parmi les commerces, il existe une boulangerie, une épicerie, un salon de coiffure ainsi qu'un bureau de poste.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Masseuil. Ce château date du XVe siècle. Il a été construit en 1443 pour permettre au chapitre de Saint-Hilaire le Grand de Poitiers d'offrir un refuge à ses gens et à ses biens les plus vulnérables. Lors de sa construction, le château était une véritable forteresse qui comprenait une vaste enceinte entourée de douves profondes, une porte fortifiée avec un pont-levis et des bâtiments à l'intérieur pouvant accueillir les villageois en cas de danger. Le château fut démoli vers 1580 puis reconstruit peu de temps après. De l'époque médiévale, il reste les deux tours d'enceinte qui ont été inscrites comme monument historique en 1963.
- Le logis de Pré-Bernard[39] dont les façades et les toitures sont classées comme monument historique depuis 1990 et ainsi que les pièces.
- La fontaine de Ringère
Patrimoine religieux
- L'église de Quinçay (église Saint-Éleusippe): la porte de cette église a été inscrite comme monument historique en 1926[40]. Les parties romanes datent des XIe et XIIe siècles.
La forêt de Vouillé
La forêt de Vouillé est située tout près de la commune de Quinçay. C'est un important massif domanial de 1 500 hectares. Elle couvre un plateau à topographie très plane et d'altitude modeste : entre 130 m et 140 m en moyenne.
Le peuplement forestier est homogène. Il s'agit essentiellement de chênes et de hêtres. Quelques zones ouvertes sont occupées par des landes à bruyères.
La forêt présente un intérêt biologique considérable illustré par la présence de 18 espèces de végétaux rares et/ou menacés. On peut découvrir :
- la Vesce de Poméranie dans les lisières internes de la forêt,
- le Framboisier sauvage
- L'Œillet superbe qui est une espèce protégée en France et dont la forêt de Vouillé constitue l'une des deux zones où on peut le découvrir en région Poitou-Charentes.
- les Cicendies (la cicendie filiforme ou la cicendie fluette), plantes naines sur les chemins sablonneux temporairement humides qui traversent les landes.
- la Centenille naine,
- le Remoncule tripartite ou la Hottonie des marais, dans certaines mares.
- la Bartsie visqueuse,
- l'Illécèbre verticillé,
- la Laîche des montagnes ou la laiche dégitée,
- le laser à feuilles larges,
- la pivoine coralline,
- la scille du printemps,
Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes, il existe un arbre remarquable en forêt de Vouillé. Il s'agit du Pin laricio de Corse. Il est situé près du parking de la zone de silence, de la route forestière des trois chênes et de l'allée du Pianisseau[41].
La forêt semi-ouverte et la lande offrent un abri aux rapaces et aux passereaux dont huit font l'objet d'une protection sur tout le territoire national. Il est ainsi possible de voir :
- le Circaète Jean-le-Blanc, un aigle méridional spécialisé dans la capture des reptiles. Il est en forêt de Vouillé au nord occidental de son aire de répartition en France.
- la Fauvette pitchou est un petit passereau originaire des maquis méditerranéens qui niche dans les secteurs de landes hautes à brande et ajoncs de la foret.
- la Bondrée apivore,
- le Busard cendré,
- le Busard Saint-Martin,
- l'Engoulevant d'Europe,
- le Locustelle tachetée,
- le Torcol fourmillier.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- http://www.tourisme-vienne.com/randonnee/117/pays-vouglaisien-circuit-de-la-vallee-de-l-auxance-a-quincay
- http://www.vouglaisien.com/communes-suite/quincay-suite
- Chambre régionale d'agriculture de Poitou-Charentes 2007
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Poitiers-Biard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Quinçay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- http://www.cg86.fr/193-lignes-en-vienne.htm
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Quinçay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
- [Primault 2003] Jérôme Primault, Exploitation et diffusion des silex de la région du Grand-Pressigny au Paléolithique (thèse de doctorat en Préhistoire), université de Paris X-Nanterre, , 358 p., sur tel.archives-ouvertes.fr (présentation en ligne, lire en ligne), p. 338.
- Laetitia Becq-Giraudon, « Les parures de la Préhistoire », L'Actualité Poitou-Charentes, no 42, , p. 48 (lire en ligne [sur manualzilla.com], consulté le ).
- « Histoire de Quinçay »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur quincaymemoire.free.fr (consulté le ).
- André Bigotte, « Saints patrons », sur genealegrand.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 9 mai 2008
- « Jumelage avec Warnant » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE- 2008
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
- http://www.quincay.fr/DetailElement.aspx?numStructure=82082&numElement=97349
- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- http://sigore.observatoire-environnement.org/arbres/arbres.php?idarbre=14776
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