Ronsenac

Ronsenac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ronsenac

La Fontaine légendaire.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Marie France Deschamps
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16283
Démographie
Gentilé Ronsenacois
Population
municipale
570 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 38″ nord, 0° 15′ 03″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 204 m
Superficie 26,73 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Ronsenac
Géolocalisation sur la carte : France
Ronsenac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Ronsenac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Ronsenac
Liens
Site web ronsenac.free.fr

    Ses habitants sont les Ronsenacois et les Ronsenacoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La D 16 et la D 22 au centre du bourg.

    Ronsenac est une commune située à 20 km au sud d'Angoulême et à 2,5 km à l'ouest de Villebois-Lavalette.

    Le bourg est aussi à 13 km au nord-est de Montmoreau, 17 km à l'est de Blanzac, 24 km au nord d'Aubeterre[2].

    La commune est traversée par les routes départementales D 16, route de Villebois à Montmoreau et la D 81, route de Gurat à Angoulême par Torsac, qui passent dans le bourg. Elle est aussi traversée à l'est par la D 17, route de Villebois à Saint-Séverin et Aubeterre, et à l'ouest par la D 19 qui passe sur la ligne de crête.

    La D 5, route de Villebois à Blanzac, Châteauneuf et Barbezieux passe au nord de la commune. La D 674, route d'Angoulême à Libourne, passe à km à l'ouest, et la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, passe à km au nord-est[3].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte surtout plus de nombreuses fermes que de véritables hameaux. On peut cependant citer Charbonnier, la Michelie, Périchou et l'Étang au sud, la Barre, les Bordes et Chez le Faure près du bourg, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune de Ronsenac est dans le calcaire crétacé du Bassin aquitain.

    On trouve le Coniacien, un bar . à l'est de la vallée du Ronsenac, puis le Santonien à l'ouest et sur une petite zone en limite de Villebois. Le sud-ouest de la commune est occupé par le Campanien, et une cuesta par paliers faisant face au nord-est marque un dénivelé sensible. On peut suivre cet escarpement dans tout le sud de la Charente, entre Gurat et le sud de Cognac, par Juillaguet, Jurignac et Bouteville.

    La crête à l'ouest de la commune est recouverte de dépôts du Tertiaire (Lutétien), composé de galets, grès et argiles. Ces dépôts ont été altérés lors du Quaternaire, ainsi que le calcaire sur les flancs (sables bruns, zones aussi boisées)[4],[5],[6].

    Sur la ligne de crête boisée à l'ouest de la commune se trouve son point culminant (204 m). Le point le plus bas est à 80 m, situé en limite sud au bord du Ronsenac. Le bourg est à 105 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Ronsenac.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Tude, le Roncenac, le ruisseau de la Font Longue, le ruisseau de Landuraud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le Ronsenac, ruisseau qui prend sa source au bourg à la Fontaine légendaire (appelée autrefois Grande fontaine de Ronsenac[9]), est un affluent de la Lizonne, sous-affluent de la Dronne, et se dirige vers le sud. De petits ruisseaux y affluent, comme le ruisseau de Font Longue en limite sud.

    La Tude, qui prend sa source à Juillaguet, limite la commune au sud-ouest.

    La commune compte aussi de nombreuses petites retenues d'eau servant à l'irrigation[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Natura 2000

    Bordé à l'ouest par la Tude et arrosé par son affluent le ruisseau de Landuraud, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[12],[13].

    Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].

    Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

    ZNIEFF

    À Ronsenac, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, les vallées de la Tude et du ruisseau de Landuraud font partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[14],[15].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[14] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Ronsenac est une commune rurale[Note 1],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forêts (27,4 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (1,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes ancienne sont Roscenaco en 1090, Roncenaco en 1143[22], Rocenaco au XIIIe siècle[23]

    L'origine du nom de Roncenac remonterait à un nom de personne gallo-romain Ruscinius, dérivé de Roscius, ou Ronsinus, dérivé de Ronsus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Rosciniacum, « domaine de Roscinius »[24].

    Limite dialectale

    La commune marque la limite entre la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest, et le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est[25].

    Histoire

    Préhistoire

    Grotte de la Chauverie

    La grotte de la Chauverie est à environ 2,5 km sud-sud-est de Ronsenac, dans la vallée d'un affluent du ruisseau de Ronsenac[26]. D'origine karstique, elle est faite d'un réseau de petits conduits creusés dans les calcaires du Coniacien moyen. En 1998 C. Marteau et sa fille découvrent des vestiges osseux mis au jour par un terrier de blaireau ; en 1999 J.-F. Tournepiche y fait les premières fouilles, continuées de 2003 à 2006[27]. Plusieurs niveaux fossilifères se rapportent tous au MIS 3[28], plus précisément au début de cette période (~50 000 ans)[29].
    La base du remplissage (couche C2) correspond à une fréquentation par les hyènes.
    Dans la partie centrale de l'ensemble, la couche C2 est surmontée d'une couche (SJC) pratiquement stérile, puis de deux couches (ABN et CJS) d'occupation par l'hyène en environnement plus froid.
    Dans le secteur nord la couche C2 est surmontée d'une couche (CCI) de cailloutis qui a livré un squelette d'auroch presque complet et un squelette de bison : ces animaux auraient été piégés par le petit aven formé par le couloir. Au-dessus, une couche de limon brun épaisse de 1 à 2 m a livré seulement quelques outils lithiques, dont des bifaces[28]. Les 136 éléments lithiques recueillis datent essentiellement du Moustérien, sauf une portion distale de pointe de Châtelperron et quelques lames ou fragments de lames[30].

    Dolmen de Chez Vinaigre.
    Dolmen de Chez Vinaigre

    Le dolmen de Chez Vinaigre près de Bernac et Périchou, à ~3,5 km au sud du bourg[26], daterait de 6 000 ans.

    Antiquité

    La voie romaine de Saintes à Périgueux, appelée en Charente le chemin Boisné, passait au nord-est de la commune[31]. Les archéologues pensent localiser sur cette voie et pas loin de la commune la mansion (village-étape romain) de Sarrum qui figure sur la carte de Peutinger, même si aucune trace décisive n'a encore été trouvée à ce jour[32].

    On a retrouvé récemment une tombe gallo-romaine dans un champ à l'Étang. On a aussi retrouvé des vestiges de l'époque mérovingienne près du cimetière (sarcophages wisigoths ou francs)[33].

    Moyen-Âge

    La paroisse était située à la limite entre les diocèses d'Angoulême et de Périgueux.

    Entre le Xe et XVIIIe siècles, Ronsenac est le siège d'une viguerie, alors dans le diocèse de Périgueux, rattachée ensuite avec les six autres vigueries du comté d'Angoulême, qui en compte une vingtaine à la suite de son extension au XIe siècle[34].

    Sous l'Ancien Régime, l'ancien château de Ronsenac, situé près de l'église, était le siège d'une importante seigneurie qui appartenait à la famille Arnaud, dont une branche était à Bouëx et l'autre à Champniers. Au XVIIe siècle, Pierre Arnaud est plusieurs fois maire d'Angoulême. Son fils, André, seigneur de Ronsenac, conseiller au présidial, meurt en 1782 à l'âge de 82 ans.

    XXe siècle

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune est desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Blanzac à Villebois-Lavalette appelée le Petit Mairat. La gare était au nord du bourg.

    XXIe siècle

    Au début de ce siècle, la commune produisait des truffes assez renommées. Le lait des vaches était recueilli par une importante laiterie coopérative[9].

    Administration

    Mairie de Ronsenac.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2009 Bernard Gaudou SE Directeur commercial
    2009 en cours Jean-Paul Guillon    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2019, la commune comptait 570 habitants[Note 3], en diminution de 4,04 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1541 2011 1921 2421 1561 2191 2141 1741 165
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1201 1011 0651 100966927834830740
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    762747666647627609619583534
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    506470515526548548589572570
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 274 hommes pour 297 femmes, soit un taux de 52,01 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    2,1 
    10,5 
    75-89 ans
    11,1 
    25,0 
    60-74 ans
    22,5 
    19,4 
    45-59 ans
    22,0 
    15,7 
    30-44 ans
    14,4 
    10,1 
    15-29 ans
    12,0 
    19,3 
    0-14 ans
    15,8 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[41].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Charmant et Ronsenac. Ronsenac accueille l'école primaire, et Charmant l'école élémentaire. L'école de Ronsenac accueille deux classes de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[42].

    Lieux et monuments

    • Le prieuré Saint-Jean-Baptiste. La fondation de ce monastère se situe entre 1081 et 1101 à la suite de la donation de l'église de Ronsenac par l'évêque de Périgueux à Hugues, abbé de Cluny. Situé à quelques centaines de mètres hors du diocèse d'Angoulême, il sera l'un des seuls prieurés clunisiens en Périgord avec celui de La Rochebeaucourt. Pendant la guerre de Cent Ans, la région est très éprouvée le prieuré est alors remanié. En 1684 le prieuré est donné pour partie aux bénédictins anglais chassés de leur pays. Vendu comme bien national après la Révolution, il est séparé de l'église qui devient paroissiale[43]. Il sert alors de ferme et sort de l'abandon en 1987. Il est rapidement classé monument historique depuis 1990[44]. Des travaux importants de recherches archéologiques et de restauration y sont entrepris depuis lors.
    • L'église Saint-Jean-Baptiste, adossée au prieuré, a remplacé son ancienne église dont le chœur s'est effondré au XVIe siècle. Depuis la Révolution, l'église est paroissiale, à la suite de l'abandon du prieuré[43]. De l'église prieurale, il ne reste que la nef et les chapiteaux décorés[45].
    • En bas du bourg, on peut trouver la Fontaine légendaire, source dont l'eau limpide et fraîche est fort bienvenue en été. C'est la source du Ronsenac.
    • Le dolmen de Chez Vinaigre est un dolmen en pierre rouge, situé à ce lieu-dit[46]. 45° 26′ 58″ N, 0° 16′ 17″ E

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Ronsenac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Ronsenac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 286
    10. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    13. Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    14. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 103
    23. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 170
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 574.
    25. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    26. « Ronsenac, carte interactive » sur Géoportail..
    27. [Discamps 2011] Emmanuel Discamps, Hommes et hyènes face aux recompositions des communautés d'Ongulés (MIS 5-3) : Éléments pour un cadre paléoécologique des sociétés du Paléolithique moyen et supérieur ancien d'Europe de l'Ouest (thèse en Préhistoire et Géologie du Quaternaire, dir. Francisco D'Errico et Jean-Luc Guadelli), Université Bordeaux 1, Sciences et Environnements, (lire en ligne [PDF] sur ori-oai.u-bordeaux1.fr), p. 86.
    28. Discamps 2011, p. 88.
    29. Discamps 2011, p. 90.
    30. Discamps 2011, p. 89.
    31. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 163
    32. Jacques Dassié, « Mediolanum Santonum - Vesunna » (consulté le ).
    33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 210-211.
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    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Ronsenac (16283) », (consulté le ).
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    46. Mégalithes de légende, « Dolmen de Chez Vinaigre », (consulté le )

    Voir aussi

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