Saint-André-de-Majencoules
Saint-André-de-Majencoules est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie. Outre le village de Saint-André-de-Majencoules lui-même, la commune regroupe plusieurs autres villages, hameaux et lieux-dits dont Pont-d'Hérault et Le Rey.
Pour les articles homonymes, voir Saint-André.
Saint-André-de-Majencoules | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Le Vigan |
Intercommunalité | Communauté de communes Causses Aigoual Cévennes |
Maire Mandat |
Christophe Boisson 2020-2026 |
Code postal | 30570 |
Code commune | 30229 |
Démographie | |
Population municipale |
599 hab. (2019 ) |
Densité | 27 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 01′ 46″ nord, 3° 40′ 28″ est |
Altitude | Min. 180 m Max. 900 m |
Superficie | 21,79 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Le Vigan (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Vigan |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault , l'Arre, l'Arboux, la Valniérette et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-André-de-Majencoules est une commune rurale qui compte 599 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 2 024 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelés les Andrémajencoulois ou Andrémajencouloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : une maison, inscrite en 1980.
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mandagout », sur la commune de Mandagout, mise en service en 1983[6] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 538 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 48 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[15].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18] : la « rivière de l'Hérault à Pont-d'Hérault, l'Arre aval et ruisseaux confluents » (136 ha), couvrant 6 communes du département[19], et la « rivière de l'Hérault à Valleraugue » (91 ha), couvrant 3 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[18] : les « vallées amont de l'Hérault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[21].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-André-de-Majencoules est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (86,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Le village fait partie de l'« enclave catholique », notamment avec les villages voisins de Notre-Dame-de-la-Rouvière, Saint-Martial, etc.[25]
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Majencoules et de Majencoules-l'Hérault[26].
Le village est un lieu historique du rallye automobile Français, ayant accueilli durant très longtemps le Critérium des Cévennes.[27]
Héraldique
Blason | De gueules au sautoir alésé d'argent, au chef aussi d'argent chargé d'une étoile de gueules accostée de deux croissants du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Canton
La commune fait partie du canton de Valleraugue, dont le conseiller général est Thomas Vidal (DVD). Le canton dépend de l'arrondissement du Vigan et de la cinquième circonscription du Gard dont le député est William Dumas (PS).
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2019, la commune comptait 599 habitants[Note 9], en diminution de 3,85 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 270 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 534 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 800 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 11,3 % | 13,3 % | 10,5 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 338 personnes, parmi lesquelles on compte 73,5 % d'actifs (63 % ayant un emploi et 10,5 % de chômeurs) et 26,5 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 112 emplois en 2018, contre 123 en 2013 et 97 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 217, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,1 %[I 10].
Sur ces 217 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
68 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-André-de-Majencoules au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 68 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 7 | 10,3 % | (7,9 %) |
Construction | 8 | 11,8 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 23 | 33,8 % | (30 %) |
Information et communication | 2 | 2,9 % | (2,2 %) |
Activités immobilières | 3 | 4,4 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 8 | 11,8 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 10 | 14,7 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 7 | 10,3 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,8 % du nombre total d'établissements de la commune (23 sur les 68 entreprises implantées à Saint-André-de-Majencoules), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35] :
- Srva 91, location de terrains et d'autres biens immobiliers (269 k€)
- Diagnos'thermo, analyses, essais et inspections techniques (98 k€)
- Monts & Merveilles, activités des parcs d'attractions et parcs à thèmes (60 k€)
- Pauses, location de terrains et d'autres biens immobiliers (54 k€)
- Aigoual Helicoptere, transports aériens de passagers (45 k€)
Agriculture
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 37 | 19 | 12 | 23 |
SAU[Note 15] (ha) | 968 | 1 314 | 38 | 107 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 37 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 19 en 2000 puis à 12 en 2010[38] et enfin à 23 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 38 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[39],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 968 ha en 1988 à 107 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 26 à 5 ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Église paroissiale Saint-André de Saint-André-de-Majencoules dont le clocher est surmonté d'un campanile en fer forgé ;
- Église de l'Immaculée-Conception du Sigal.
- Temple de l'Église protestante unie de France du Rey.
- L'Église de Pont d'Hérault de la fin du XIXe siècle. Pèlerinage traditionnel du (fête de l'Assomption). Le hameau possède deux ponts sur l'Hérault, l'un routier, l'autre plus spectaculaire est le viaduc de l'ancien chemin de fer mis en service en 1874 ;
- Le Château de Saint-André-de-Majencoules. Ses bases remontent au XIIIe siècle, mais le bâtiment a été reconstruit et sérieusement remanié au XVIIIe siècle[40] ;
- Le Château du Rey. Ses bases remonteraient au XIIIe siècle. Incendié lors de la Révolution française, il a été restauré et profondément remanié dans les années 1840 à 1850, dans l'esprit « Troubadour » — très en vogue à l'époque[41]. Si les tours arborent des toitures coniques recouvertes d'ardoises, on regrettera que le reste de la couverture de l'édifice soit composé de tôles, de type canalite en fibro-ciment ;
- Filature de Peyregrosse. Usine de soie, propriété de M. Carrière, active en 1909 ;
- L'ancienne gare de Pont d'Hérault. Son allure est imposante pour un hameau, mais il faut se souvenir qu'elle desservait toute la haute vallée de l'Hérault (le projet de prolongation d'une ligne de chemin de fer jusqu'à Valleraugue au pied du mont Aigoual ne vit jamais le jour). Cette gare fit la couverture du magazine La Vie du Rail n°354 du 23 juin 1952, à propos d'un article sur la ligne Nîmes-Le Vigan.[réf. nécessaire]
Personnalités liées à la commune
- Louis Abric (1886-1953), boulanger et écrivain de langue occitane, est né sur la commune[42] ;
- Albertine Sarrazin (1937-1967), écrivaine et première femme française à raconter sa vie de prostituée, de délinquante et son expérience en prison pour femmes, a élu domicile au hameau de Camias en 1964[43].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-André-de-Majencoules » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-André-de-Majencoules » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-André-de-Majencoules » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-André-de-Majencoules » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Robert Sauzet, Les Cévennes catholiques, Paris, Perrin,
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Souvenirs "Chez Maurice" à Pont d'Herault. »
- Saint-André-de-Majencoules : Christophe Boisson élu maire, publié le par Yanick Michel, sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
- Le nouveau conseil installé, Christophe Boisson élu maire, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
- [PDF] Saint-André-de-Majencoules, convocation du conseil municipal, page 1/1, publié le sur le site reseaudescommunes.fr (consulté le ).
- Le maire : Christophe Boisson, publié sur le site saintandredemajencoules.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Saint-André-de-Majencoules », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-André-de-Majencoules - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- Le château de Saint-André ou Manoir Saint Louis, publié le par Jean Mignot, sur le site Saint André de Majencoules - Gard (consulté le 8 mars 2019)
- Hôtel Château du Rey - Restaurant L'Abeuradou - Historique
- Le criquet de Lunel et de la Petite Camargue (no 5) : La chanson des gens de Lunel, page 8 sur 16, publié le sur le site Issuu (consulté le ).
- Jacky SERODY, « Albertine Sarrazin à Alès et St André de Majencoules », sur C'est arrivé dans le Gard.. (consulté le )
Voir aussi
Publications
- Cultures et Territoire rural, 2016. Mémoire et Patrimoine en Cévennes. Richesse culturelle d’un territoire rural, Saint-André de Majencoules. Montpellier, Atelier Six éd., 60 pages, 21 cm.
Article connexe
- Liste des communes du Gard
- Dans le canton :
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-André-de-Majencoules sur le site de l'Institut géographique national ;
- Saint André de Majencoules sur le site de l'Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes.
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