Louzac-Saint-André

Louzac-Saint-André est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-André.

Louzac-Saint-André

La mairie de Louzac-Saint-André.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Lilian Jousson
2020-2026
Code postal 16100
Code commune 16193
Démographie
Gentilé Louzacais Andrésiens
Population
municipale
991 hab. (2019 )
Densité 99 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 51″ nord, 0° 24′ 37″ ouest
Altitude Min. 20 m
Max. 89 m
Superficie 10,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Louzac-Saint-André
Géolocalisation sur la carte : France
Louzac-Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Charente
Louzac-Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Louzac-Saint-André

    Ses habitants sont appelés les Louzacais, Louzacaises et Andrésiens, Andrésiennes ou Louzacais Andrésiens[1].

    Située en limite du département de la Charente-Maritime, cette commune viticole classée dans les Borderies est riveraine de la vallée de la Charente.

    Géographie

    Localisation et accès

    Louzac-Saint-André est une commune située à l'extrême ouest du département de la Charente, en limite même du département voisin de la Charente-Maritime.

    Louzac et Saint-André sont distants de 2,5 km et, si les deux villages sont à km au nord-ouest de Cognac, Louzac est à 17 km de Saintes et Saint-André à 19 km. Angoulême est à 45 km[2].

    Louzac, comme Saint-André, sont situés à l'écart des grands axes routiers, au nord de la N 141 Cognac-Saintes, route Centre-Europe Atlantique, et au sud de la D 731 Cognac-Burie-Saint-Jean-d'Angély.

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes, Royan et La Rochelle.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune est constituée des deux communes associées de Louzac et de Saint-André qui ont chacune leur village, ainsi que de nombreux hameaux et lieux-dits : chez les Rois, chez Devaud, la Nofrache, la Brande, la Croix Fraingan, le Grand Bouroux, le Petit Bouroux, chez Cocuaud, chez les Longs, chez Bujart Lorgère, la Châtaigneraie, Font Joyeuse, le Ribellot, le Pallain, Montlambert, chez Tatin, etc. Le village de Saint-André touche la limite départementale[3].

    Communes limitrophes

    Louzac-Saint-André est limitrophe de cinq autres communes dont au sud-est Javrezac sur une vingtaine de mètres seulement, et Chérac, dans le département de la Charente-Maritime.

    Géologie et relief

    La commune est située sur un plateau calcaire datant du Crétacé, qui s'étage du Turonien (ou Angoumien) au nord-est, au Santonien au sud-ouest, en passant par le Coniacien[4],[5],[6].

    Le relief de la commune offre une altitude moyenne de 70 m, et le plateau est creusé par des vallons, ou combes, principalement au nord et au sud du territoire communal. Le point culminant est à une altitude de 89 m, situé sur la limite nord. Le point le plus bas est à 20 m, situé en limite nord-est sur le Ri Bellot. Le bourg est à environ 60 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Ri Bellot[8],[Carte 1].

    La commune est traversée par le Ri Bellot, un petit affluent de rive droite de l'Antenne, donc sous-affluent de la Charente qui passe au sud.

    Louzac-Saint-André compte des sources et fontaines, comme celle de la Font Joyeuse à l'est du bourg, ou aussi la fontaine du Diguet et la Font Gaubert[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,1
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Louzac-Saint-André est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,7 %), forêts (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), zones urbanisées (7,3 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Une forme ancienne de Louzac est Lozaco (non datée)[18].

    L'origine du nom de Louzac remonterait à un nom de personne gallo-romain Laudius ou gaulois Lüteus[19] auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Laudiacum, « domaine de Laudius »[20],[Note 3].

    La commune de Saint-André a été créée à partir de la paroisse du même nom en 1793[21].

    Elle est attestée sous la forme ancienne Beatus Andreas de Cumbis ou de Aquis[22]. Des combes sont des vallons, toponyme fréquent dans la région. Saint André est un des douze apôtres[20].

    Pendant la Révolution, la commune Saint-André-des-Combes s'est appelée provisoirement André-des-Combes[23].

    Histoire

    Des sarcophages monolithiques ont été retrouvés à Saint-André contenant des ossements, des agrafes de cuivre et des monnaies romaines[24].

    La commune est limitée au nord par la voie d'Agrippa de Saintes à Lyon.

    La paroisse de Louzac a fait partie de la seigneurie de Rochereau et du chapitre de Saintes. Elle comportait aussi la terre de Montlambert et jusqu'à la tempête de 1879 on lisait sur son portail un verset de saint Paul[25]. La terre de Montlambert appartenait au XVIIe siècle à la famille de Sèches. Dans le logis de Montlambert passait la limite entre l'Angoumois et la Saintonge aujourd'hui limite départementale, matérialisée alors par des pierres. Entre le XVIIe et XVIIIe siècles, Montlambert est passé successivement aux familles de Neilles de Lanis, puis Saulnier[26].

    Le les représentants de Louzac à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont Pierre Billard et J. Ripoche et ceux de Saint-André J. Portet et Nicolas Bruand[25].

    L'église de Saint-André était le siège d'un important prieuré qui a subsisté jusqu'à la Révolution.

    La Templerie serait une ancienne possession des Templiers, avec la Commanderie de Richemont, dont il ne reste aucune trace écrite probante ni aucun vestige.

    Sous l'Ancien Régime, la terre de Saint-André était possédée par les seigneurs de Boisroche, qui, au début du XVIIe siècle, était représentée par Jehan d'Arnault, écuyer, maître d'hôtel du duc d'Épernon. Saint-André passa successivement aux Pontlevain en 1631, alors que Boisroche passait à Jacques de Villiers avant 1684. Au XVIIIe siècle, Boisroche et Saint-André passèrent à la famille de Curzay[27].

    Louzac-Saint-André est une commune fondée le après la réunion des deux anciennes communes de Louzac et Saint-André.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, le maquis de Saint-André était dans les bois de Saint-André. Il a été rattaché au maquis de Bir Hacheim.

    Administration

    La mairie

    La mairie de Louzac-Saint-André est située à Louzac.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    depuis 1995 En cours Lilian Jousson Divers Gauche Conciliateur agricole

    Le conseil municipal, outre le maire, est constitué en 2009 de Christian Lacroix, maire délégué de Saint-André, de trois adjoints et de quatre conseillers et six conseillères municipales.

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 11,80 % sur le bâti, 35,10 % sur le non bâti, et 8,40 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2019, la commune comptait 991 habitants[Note 4], en diminution de 3,88 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    493458503422406455467491501
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    473490463452405411412410407
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    371329300294278310334321356
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    3967557479539919939961 024995
    2019 - - - - - - - -
    991--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 516 hommes pour 475 femmes, soit un taux de 52,07 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    0,9 
    8,6 
    75-89 ans
    8,3 
    16,4 
    60-74 ans
    18,0 
    24,2 
    45-59 ans
    25,1 
    17,1 
    30-44 ans
    17,7 
    13,5 
    15-29 ans
    12,1 
    19,6 
    0-14 ans
    18,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Remarques

    Louzac absorbe Saint-André en 1972[21], qui est restée commune associée.

    Évolution démographique de Saint-André
    1800 1851 1901 1921 1931 1968
    234341274231245211
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini[33])

    Au recensement de 2007, Saint-André comptait 306 habitants[34].

    Économie

    Les principales activités sur la commune sont la viticulture et l'agriculture.

    Louzac-Saint-André fait partie du terroir viticole des Borderies, appellation qui désigne une région bien spécifique de production de cognac[35].

    Les 419 actifs ne sont que 75 à travailler sur la commune.

    Ce sont 381 salariés, et 38 non salariés (12 travailleurs indépendants, 24 employeurs et 2 aides familiaux)[36].

    Il y a à Louzac un multiple rural, une coiffeuse, un gite rural et un artisan peintre.

    Équipement, services et vie locale

    Enseignement

    Il y a une école maternelle et une école élémentaire qui occupent les locaux des écoles de Louzac et de Saint-André. L'école maternelle, située à Saint-André, comporte deux classes, et l'école élémentaire, située au bourg de Louzac, trois classes.

    Le secteur du collège est Cognac (Claude-Boucher)[37].

    Santé

    Les pharmacies et les infirmières sont à Cherves-Richemont ou à Cognac.

    Les hôpitaux et les cliniques sont à Cognac, Châteaubernard ou Saintes.

    Culture

    Louzac-Saint-André possède une bibliothèque municipale ouverte les lundis et mercredis après-midi de 14h à 17 h, elle est fermée durant les vacances de Noël et durant les congés d'été.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Martin de Louzac a été construite à la fin du XIIe siècle puis reprise aux XIVe et XVIe siècles[38]. Elle est de plan allongé à un vaisseau. Elle présente une coupole sur pendentifs dans la travée sous clocher, une voûte d'ogives dans la chapelle gauche et un cul-de-four en brique dans le chœur. Ses sculptures représentent des feuillages, des motifs géométriques et pour un modillon en façade une tête humaine. Elle a été partiellement inscrite monument historique le [39].

    Elle abrite un tableau du Christ en croix datant probablement du XVIIIe siècle[40].

    Église Saint-André

    L'église Saint-André du XIIe siècle, porte sur le mur sud de la sacristie la date de 1685 et elle a été restaurée en 1784. Elle est à un vaisseau à nef voûtée en berceau brisé, alors que le chœur en cul-de-four est voûté en plein cintre et que la chapelle droite est voûtée d'ogives[41]. Sa façade avec son portail roman est inscrite monument historique depuis 1991[42].

    Aux abords de Louzac, une croix trône au milieu d'un rond-point. Cette croix a donné son nom au lieu-dit la Croix-Fringant. Elle fait partie des nombreuses croix de chemin de la commune, à Saint-André celle qui a été érigée par les sœurs de la Miséricorde en 1903 et la croix de mission de 1927, à Louzac celle érigée en 1816[43].

    Il y a un cimetière à Louzac et un à Saint-André, un monument aux morts à Louzac et un à Saint-André qui a été construit en 1922 par Raymond Clavery[43].

    Patrimoine civil

    Château de Font Joyeuse

    Le refuge souterrain de Chez les Longs est de datation incertaine[44].

    Le château de Font Joyeuse a été reconstruit au milieu du XIXe siècle sur un emplacement très anciennement bâti[45]. C'est un château en pierre de taille et couvert d'ardoise avec un étage de soubassement un étage et un étage de combles. Les bâtiments de ferme et les communs comportent les ruines d'un moulin, les viviers, la cressonnière. La fontaine qui fournit l'eau en continu serait romaine[réf. nécessaire].

    Montlambert est un logis dont une partie date du XVIe siècle, le logis du Diguet lui est du XVIIe siècle et de nombreuses fermes ont été construites au XVIIIe siècle[43].

    Patrimoine environnemental

    Sur le Ribellot on compte six lavoirs dont le lavoir couvert de Saint-André qui date probablement du XIXe siècle ainsi que des rouissoirs et des fontaines.

    Le site Natura 2000 de la vallée de l'Antenne couvre la partie aval du Ri-Bellot, à partir du pont de Saint-André, donc sur l'ancienne commune de Saint-André et l'ancienne commune de Louzac n'en fait pas partie.

    Plusieurs sentiers de randonnées dont le GR 4, qui va de Royan à Grasse, passent sur le territoire de la commune.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Dauzat classe aussi Louzy (Deux-Sèvres) avec cette même étymologie (Luzi en 1122, Losi vers 1160).
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Louzac-Saint-André » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Saintes », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Louzac-Saint-André », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Cognac, Charente (16), 30 m - [1961-1990] », sur Infoclimat (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 382
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 415.
    20. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 378
    23. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
    24. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 230
    25. Histoire de Cognac, Abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 322
    27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 316
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Louzac-Saint-André (16193) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-André », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. [xls] Insee : recensement 2007 : fiche de synthèse Excel, onglet Communes associées.
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    40. « Louzac-Saint-André », base Palissy, ministère français de la Culture
    41. « Église Saint-André (notice) », notice no IA00059235, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. « Église Saint-André », notice no PA00104566, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. « Louzac-Saint-André », base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. « Souterrain Chez les Longs », notice no IA00059221, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. « Château de Font Joyeuse », notice no IA00059225, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

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