Saint-Béat-Lez
Saint-Béat-Lez (prononcé [sɛ̃ bea lɛz]; en gascon Sent Biat Les) est, depuis le , une commune nouvelle située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie, issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-Béat[1].
Saint-Béat-Lez | |||||
![]() La Garonne et le centre du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises | ||||
Maire Mandat |
Anna Changeux 2022-2026 |
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Code postal | 31440 | ||||
Code commune | 31471 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Béatais-Léziens | ||||
Population municipale |
383 hab. (2019) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 54′ 52″ nord, 0° 41′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 476 m Max. 1 763 m |
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Superficie | 9,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bagnères-de-Luchon | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais-Léziens.
Saint-Béat-Lez est une commune rurale qui compte 383 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais ou Saint-Béataises.
Géographie
Commune située dans le Comminges et Petit-Comminges au pied du pic du Gar, dans les Pyrénées, dans le sud du département de la Haute-Garonne, sur la Garonne à 33 km au sud-est de Saint-Gaudens.
Communes limitrophes
Saint-Béat-Lez est limitrophe de six autres communes :
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 996 hectares ; son altitude varie de 476 à 1 763 mètres[3].
La commune est située au pied du pic du Gar.

Saint-Béat
La commune est arrosée par la Garonne située au centre de la commune.
Lez
Le ruisseau de Lez traverse la commune.
Transports
- Par la route : route nationale 125 ou la D 44.
- Par le train : la ligne Montréjeau - Luchon : gare de Marignac - Saint-Béat, (circulations sont suspendues depuis le 18 novembre 2014).
- Par l'autobus : ligne régulière de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT)
- Par l'avion : aéroport Toulouse-Blagnac
Le tunnel de Saint-Béat-Lez
Commencés en 2013, les travaux de construction du tunnel se sont terminés en 2018.
Le tunnel de Saint-Béat-Lez placé sur la N 125 a pour longueur 1 066 mètres, il est entré en service le 3 mai 2018[4].
Il a été inauguré le 30 avril 2018 en présence de Pascal Mailhos (préfet de la région Occitanie), Carole Delga (présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée), et Georges Méric (président du Conseil départemental de la Haute-Garonne)[5].
- L'entrée du tunnel en venant de Eup.
- L'entrée du tunnel en venant de Saint-Béat-Lez.
Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Garonne, un bras de la Garonne et le ruisseau Rieu Sec, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[8].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mauléon-Barousse », sur la commune de Mauléon-Barousse, mise en service en 1995[15] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 121,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 36 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,3 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Toponymie
La ville se trouvant sur un rétrécissement de la Garonne, le lieu fut nommé par les Romains le « Pas du Loup » : Passus Lupi.
Saint-Béat serait, outre une tautologie (beatus : bienheureux ou saint), le nom d'un saint très local. Ce saint est aussi connu comme l'évangélisateur de la Beauce où il aurait tué un dragon.
Histoire
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La commune nouvelle regroupe les communes des Lez et de Saint-Béat, qui deviennent des communes déléguées, le [27]. Son chef-lieu se situe à Saint-Béat.
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Dans l'antiquité, le site de Saint-Béat est connu comme un « Passus Lupi » (passage du loup), car le resserrement de cette partie du val d'Aran n'aurait alors permis qu'à des loups efflanqués de passer sans se mouiller les pattes dans la Garonne.
Cette ancienne place forte commandait la vallée de la Garonne. Son importance l'avait fait surnommer la « clé de la France ».
Depuis, Saint-Béat-Lez est surtout connu pour ses carrières de marbre blanc, découvertes sans doute en cherchant à élargir l'étroit passage et exploitées depuis l'époque gallo-romaine. La légende locale n'hésitait pas à dire que son marbre avait permis d'édifier la colonne Trajane à Rome, ainsi que tout ce qui était en pierre blanche dans la région. C'est naturellement faux. C'est en revanche en partie avéré pour les colonnettes du couvent de Saint-Bertrand-de-Comminges tout proche, ainsi que plusieurs sculptures de la villa romaine de Chiragan, à Martres-Tolosane. Il a servi pour les autels tauroboliques de Lectoure (176, 239 et 241 ap. JC). Le marbre de Saint-Béat fut le matériau utilisé pour les bassins et plusieurs statues du parc de Versailles.
Les armoiries de Saint-Béat, « clef de France », s'expliquent par l'édification d'une citadelle qui contrôle le passage de la vallée de la Garonne.
Pendant longtemps, outre ses carrières, la ville était le site d'une foire où s'échangeaient les ânes et mulets destinés à l'Espagne, contre du bois venant des forêts aranaises et charrié par la Garonne. Cette foire avait traditionnellement lieu à la Saint-Martin.
Une particularité : jusqu'à la Révolution, Saint-Béat (du moins sa partie est, séparée de la partie ouest par la Garonne) formait, avec Melles et Argut-Dessus, une des enclaves languedociennes du diocèse appelé « diocèse civil du Petit-Comminges » (l'un des 24 diocèses civils des États du Languedoc). Sa partie ouest, avec Arlos, faisait partie de la jugerie dite de « Rivière-Verdun » (formée d'innombrables enclaves allant de Verdun-sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban, jusqu'à la frontière espagnole). Cette jugerie dépendait, elle, de la Gascogne comme le Couserans et le Comminges[28].

Dans leur cahier de doléances, les habitants décrivent le site de la ville, comme un endroit particulièrement déshérité, soumis aux débordements de la Garonne, comme aux chutes de pierres depuis les falaises qui surplombent la ville.

De 1914 à 1953, le tramway électrique de Marignac au Pont-du-Roy va desservir Saint-Béat et ses carrières[29].
L'ouverture de la station de ski du Mourtis a donné un nouvel élan touristique à la ville, comme plus récemment son festival de sculpture de marbre, qui permet à de jeunes sculpteurs de s'exprimer par leur art.
C'est depuis le une commune nouvelle issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-Béat[1].
Politique et administration
Nom | Code Insee |
Code postal | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Saint-Béat (siège) |
31471 | 31440 | 7,37 | 345 (2016) | 47 | ![]() ![]() |
Lez | 31298 | 31440 | 2,60 | 59 (2016) | 23 | ![]() ![]() |
Administration municipale
Jusqu'à son prochain renouvellement, en 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle est composé de l'ensemble des membres en exercice des conseils municipaux des anciennes communes. La mairie est celle de Saint-Béat.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de Bagnères-de-Luchon.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2019, la commune comptait 383 habitants[Note 5].
Économie
La commune de Lez est classée en zone montagne et possède une seule exploitation agricole[32], en 2012.
La société Omya y exploite du marbre dit de Saint-Béat[33].
- La société Omya et le tunnel de Saint-Béat.
Enseignement
Saint-Béat-Lez fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle, une école élémentaire et le collège François Cazes. Pour le lycée, il faut aller au lycée Edmond Rostand, à Bagnères-de-Luchon[34].
Activités sportives
Culture locale et patrimoine
Saint-Béat
- Les vestiges préhistoriques ;
- La carrière de marbre de Saint-Béat appelée brèche romaine : carrières de marbre blanc exploitées depuis l'époque romaine et de marbre bleu turquin ;
- Le château fort du XIIe siècle et sa chapelle ;
- L'église Saint-Béat-Saint-Privat[35], romane du XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1926, puis classée en 1994[36]. Un tombeau y abrite les reliques de saint Béat et de saint Privat ;
- Le musée du Trésor de l'église ;
- La chapelle de Géry ;
- La chapelle de Ladivert ;
- La chapelle troglodytique Saint-Roch ;
- La maison natale du maréchal Joseph Gallieni ;
- L'écomusée le Moulin des Arts[37].
- Le château de Saint-Béat vers 1840, par Eugène de Malbos.
Le château fort et sa chapelle. L'église Saint-Béat-Saint-Privat. La chapelle Saint-Roch. - Linteau de porte surmonté d'un chrisme de la chapelle de Ladivert.
Lez
- L'église de l'Assomption de Lez ;
- La brèche romaine, ancienne carrière de marbre, est partagée entre Lez et la commune voisine de Saint-Béat.
- Tour à signaux au nord du village.
- Monument aux morts.
- Un manoir.
- Fontaine et abreuvoir.
- Lavoir.
- Sculpture en marbre blanc d'une montagne où un cours d'eau descend et arrose le village (les mains).
La brèche romaine. La tour à signaux. - L'église de l'Assomption
- Un manoir
À proximité :
- La station de ski le Mourtis ;
- Le col de Menté.
Personnalités liées à la commune

- Joseph Magdelaine Martin (1753-1815), né à Saint-Béat, général des armées de la République, préfet des Pyrénées-Orientales de 1801 à 1813.
- Jean Léonard Barrié (1762-1848), militaire français des XVIIIe et XIXe siècles, est né à Saint-Béat.
- Romain Cazes (1810-1881), peintre, élève d'Ingres, né à Saint-Béat. Il a réalisé quelques tableaux et de nombreuses fresques allégoriques et religieuses à Bagnères-de-Luchon, Saint-Mamet, Albi, Oloron-Sainte-Marie, Bordeaux et Paris. Il existe un fonds Cazes au musée Ingres de Montauban.
- Gérard Marchant (1813-1881), psychiatre, est né à Saint-Béat.
- Joseph Gallieni (1849-1916), fait maréchal de France à titre posthume en 1921, est né à Saint-Béat.
- Edmond Rostand s'est inspiré d'un des balcons de la ville pour une scène de Cyrano de Bergerac.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Arrêté du 30 avril 2018 portant création de la commune nouvelle de Saint-Béat-Lez », sur haute-garonne.gouv.fr, (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Vanessa Marguet, « Le tunnel de Saint-Béat ouvre enfin, mais la déviation est loin d'être terminée », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- http://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/le-tunnel-de-st-beat-inaugure-a23997.html
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Béat-Lez », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Saint-Béat-Lez » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- Sandre, « la Garonne »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Mauléon-Barousse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Béat-Lez et Mauléon-Barousse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mauléon-Barousse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Béat-Lez et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Haute-Garonne », sur http://www.haute-garonne.gouv.fr/, (consulté le ).
- Voir cartes de Cassini, cartes de Gascogne et de Rivière-Verdun.
- Site FACS, Les chemins de fer secondaires de France : 31 - département de Haute-Garonne lire (consulté le 19 novembre 2011)
- https://www.petiterepublique.com/2021/12/15/saint-beat-un-conseil-municipal-reduit-a-10-des-elections-a-organiser/
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- http://carto.observatoire-des-territoires.gouv.fr/GC_preport.php?lang=fr&s=144&view=map1&id_rep=r01&selId0=12158&nivgeo=com
- « Historique et Activités - Omya », sur Omya (consulté le ).
- http://www.st-beat.fr/scolarite/
- « Église Saint-Benoît-et-Saint-Privat de Saint-Béat | Musée du Patrimoine de France », sur museedupatrimoine.fr (consulté le ).
- Notice no PA00094446, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 28 juin 2010.
- Le Moulin des Arts sur le site de la mairie de Saint-Béat, consulté le 23 avril 2013.
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