Saint-Barthélemy (Seine-et-Marne)

Saint-Barthélemy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Barthélemy.

Saint-Barthélemy

L'église Saint-Barthélemy.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Morin
Maire
Mandat
Michel Roch
2020-2026
Code postal 77320
Code commune 77402
Démographie
Gentilé Barthéloméens
Population
municipale
338 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 02″ nord, 3° 21′ 41″ est
Altitude Min. 159 m
Max. 203 m
Superficie 14,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 6 kilomètres au nord-est de La Ferté-Gaucher.

    Communes limitrophes

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Barthélemy.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • le ru de Chambrun (ou ru du Vallot), 7,05 km[1], affluent du Grand Morin ;
    • le ru Yonnet, 2,08 km[2], qui conflue avec le ru du Val ;
    • le cours d'eau 02 de Thiercelieux 1,39 km[3], qui conflue avec le ru du Val.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,95 km[4].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,5 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 737 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -3,6 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 55 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Barthélemy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 118 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[22] (source : le fichier Fantoir) dont Villiers-les-Maillets (château), Champ Bardin, Trois maisons.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,5% ), forêts (3,9% ), zones agricoles hétérogènes (2,2% ), zones urbanisées (1,7% ), prairies (1,7 %)[23].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'une carte communale approuvée. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration[26],[27].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 148 dont 99,3 % de maisons et 0,7 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 3,5 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 81,3 % contre 18 % de locataires et 0,7 % logés gratuitement[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité, un hagiotoponyme, fait référence à Barthélémy, apôtre du Ier siècle auquel est dédiée l'église.

    Le nom est mentionné sous les formes Ecclesia de Sancto Bartholomeo en 1112[29] ; Sanctus Bartholomeus in Bello loco en 1230[30] ; Saint Barthélemy en Beaulieu en 1656[31] ; Saint-Barthélemy-en-Beaulieu en 1793[32].

    Au cours de la Révolution française, en l'an II, la commune porte le nom de Barthélemy-Préhaut[33] (ou Gréhaut)[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1953 mars 1989 Roger Roch    
    mars 1989 En cours
    (au 28 juillet 2020)
    Michel Roch   Agriculteur retraité, fils du précédent
    Vice-président de la CC des Deux Morin (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[35],[36]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [37],[38].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Saint-Barthélemy ne dispose pas d'assainissement collectif[39],[40].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[41]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[39],[42].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[39],[43],[44].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2019, la commune comptait 338 habitants[Note 6], en diminution de 6,37 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    353376364380389412395443461
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    482465446438427427440424417
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    414402407344328300272260237
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    257194205209327361340329365
    2014 2019 - - - - - - -
    343338-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 140, représentant 358 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 820 euros[48].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 35, occupant 150 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,6 % contre un taux de chômage de 8,9 %. Les 21,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7 % de retraités ou préretraités et 5,6 % pour les autres inactifs[49].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 11 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 3 dans la construction, 2 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale[50].

    En 2020, 3 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[51].

    Agriculture

    Saint-Barthélemy est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[52].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[53]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 19 en 1988 à 14 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 66 ha en 1988 à 133 ha en 2010[52]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Barthélemy, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Saint-Barthélemy entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[52],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 19 12 14
    Travail (UTA) 32 21 23
    Surface agricole utilisée (ha) 1 250 1 489 1 862
    Cultures[54]
    Terres labourables (ha) 1 148 1 412 1 799
    Céréales (ha) 751 985 1 231
    dont blé tendre (ha) 454 669 809
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 85 94 298
    Tournesol (ha) 25
    Colza et navette (ha) 120 104 129
    Élevage[52]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 493 363 418

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux remarquables

    La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[55].

    La tour-clocher de l’église.

    Autres lieux et monuments

    • L'église Saint-Barthélemy, auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
      • Fonts baptismaux (nef)[56] ;
      • Dalle funéraire de deux ecclésiastiques (Mur ouest, à l'entrée)[57].
    • Le château de Villiers-les-Maillets

    Construit par l'architecte parisien Firmin Perlin (2) (1747-1783) pour Antoine comte Daguin de Villette (1725-1803) qui possédait le fief depuis le 18 décembre 1761, l'ayant acquis de François des Cressonnières (3).

    Le gros-œuvre fut achevé en 1775. D'un néoclassicisme d'un style original, doté d'un seul étage et de combles, le corps de logis se caractérise par sa façade donnant sur la cour d'honneur, avec en partie centrale un avant-corps en refend sur toute la hauteur, coiffé d'un fronton de forme curviligne bordé par une corniche rampante qui, avec la corniche horizontale, enserrent le tympan vertical pour mieux le mettre en valeur. Des chambranles moulurés encadrent toutes les baies dont le traitement composé de doucines, cavets et listels est semblable à celui de l'hôtel Mercy-Argenteau 16 boulevard Montmartre à Paris, réalisé également par Firmin Perlin et récemment restauré. La corniche se déroule en modillons, en périphérie du logis, comme une dentelle jouant en permanence avec la lumière et les ombres créées par le soleil. La tour médiévale circulaire qui se trouve à proximité est un vestige de l'ancien château féodal ainsi que les douves en eau qui entoure le château actuel situé au même emplacement que le précédent ; la maison du garde-chasse au bord des douves date de la même époque. La chapelle a été construite par Etienne Bessot comte de Lamothe à la fin du XIXe siècle, lorsqu'il hérita du domaine de sa petite-cousine, Alix de Mastin, arrière-petite-fille de la marquise de Flamarens qui fut l'adjudicataire du château en 1804 (4), à la suite du décès d'Antoine Daguin de Villette.

    Elisabeth-Olympe-Louise-Armande-Félicité du Vigier, marquise de Flamarens, née à Bordeaux et baptisée le 14 novembre 1752 en l'église métropolitaine et primatiale Saint-André de Bordeaux, décéda en son château de Villiers-les-Maillets le 17 novembre 1835. Elle épousa le 1er Décembre 1767, en la chapelle de l'hôtel du duc de Nivernais, le frère jumeau du vicaire général de Monseigneur Phélypeaux d’Herbault, Agésilas-Joseph de Grossolles (1732-1818), marquis de Flamarens, baron de Montastruc et d’Aurenque, vicomte de Saint-Martin, seigneur de Peyrecave, guidon de gendarmerie, brigadier des armées du Roi, lieutenant-général de la province de Saintonge et d’Aunis; il sera propriétaire des châteaux de Flamarens, Buzet-sur-Baïse, Bouligneux, Tonneins et Montastruc (disparu). La marquise de Flamarens sera « Dame pour accompagner » Madame Adélaïde, quatrième fille de Louis XV et vivra à la cour de Versailles de 1771 à 1783.

    Orpheline de mère à un an et de père à dix ans, elle vécut son enfance sous la protection de son oncle maternel, Monseigneur Georges-Louis Phélypeaux d'Herbault, (1729-1787) archevêque de Bourges et commandeur de l'ordre du Saint-Esprit, garde des sceaux et surintendant des finances de l'ordre. Il lui lèguera son hôtel particulier 87 rue de Grenelle à Paris, autrefois n°245 rue de Grenelle faubourg Saint-Germain, appelé à l'origine hôtel d'Orrouer et connu aujourd'hui sous le nom d'hôtel de Bauffremont. Son cousin, le comte de Maurepas la prit également sous sa protection; elle fera plus tard les honneurs du salon du comte et de la comtesse au 75 rue de Grenelle et passera de longs moments, en leur compagnie, au château de Pontchartrain. A Versailles, la marquise de Flamarens disposera d'un appartement au Grand Commun ; elle rejoindra souvent le comte et la comtesse de Maurepas dans leur appartement situé au-dessus de celui du Roi ainsi qu'à l'Ermitage mis à la disposition du comte de Maurepas.

    À la suite de la Révolution, la marquise de Flamarens devra vendre de nombreux biens et pour acquérir le château de Villiers-les-Maillets elle se sépara de son château familial de Saint-Martin-Lamonzie qu'elle vendit le 12 octobre 1803 au général-comte Jean Boudet (1769-1809) , en l'étude de Maître Denis, notaire à Paris. C'est ainsi que le château de la famille du Vigier est toujours conservé par la famille Boudet.

    [réf. nécessaire]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Saint-Barthélemy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Chambrun (F6534000) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Yonnet (F6523200) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 02 de (F6523100) » (consulté le ).
    4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 21 décembre 2018
    5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    6. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    7. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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