Pluvigner
Pluvigner [plyviɲe] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Pluvigner | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
Intercommunalité | Auray Quiberon Terre Atlantique |
Maire Mandat |
Diane Hingray 2020-2026 |
Code postal | 56330 |
Code commune | 56177 |
Démographie | |
Gentilé | Pluvignois |
Population municipale |
7 676 hab. (2019 ) |
Densité | 93 hab./km2 |
Population agglomération |
43 981 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 46′ 00″ nord, 3° 01′ 00″ ouest |
Altitude | Min. 24 m Max. 144 m |
Superficie | 82,83 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Pluvigner (ville isolée) |
Aire d'attraction | Pluvigner (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pluvigner (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.pluvigner.fr |
Géographie
Localisation
Le bourg de Pluvigner se situe à vol d'oiseau à 23,0 km au nord-ouest de Vannes, à 26,8 km à l'est de Lorient et à 32,3 km au sud de Pontivy.
Géographie physique
Sa superficie est de 8 283 hectares dont 17 % constitue un massif forestier dense (bois de Trélécan, Kérisac, Kéronic) à proximité des forêts de Camors et de Floranges.
Son relief se caractérise par une pente nord-est, sud-ouest présentant un dénivelé de 90 mètres. Le point culminant atteint 144 mètres au lieu-dit le Soucho, le point le plus bas 24 mètres au lieu-dit Kernoël. Un réseau hydrographique très important délimite les frontières naturelles de la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auray », sur la commune d'Auray, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 964,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Pluvigner est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pluvigner, une unité urbaine monocommunale[16] de 7 543 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pluvigner, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). La forêt occupe 1 545 ha soit 18,7 % de la surface communale. Les feuillus sont majoritaires mais les conifères sont bien représentés.
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 4,1 % | 342 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 0,9 % | 72 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 34,0 % | 2 818 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 5,8 % | 482 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 30,5 % | 2 530 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 5,5 % | 458 |
Forêts de feuillus | 6,1 % | 502 |
Forêts de conifères | 4,1 % | 341 |
Forêts mélangées | 8,5 % | 702 |
Landes et broussailles | 0,1 % | 10 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 0,4 % | 33 |
Source : Corine Land Cover[21] |
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Pleigvinner en 1259 ; Pleuvingner en 1327 ; Ploevigner en 1387 ; Plouigner en 1405 ; Pluvigner en 1428 ; Plevigner en 1453 ; Ploegner en 1516 ; Plevigner en 1636[22].
Le nom de la commune est d'origine bretonne. Il est issu de l'appellatif toponymique Ploe, et de l'anthroponyme Guinner[24], renvoyant à Saint Guinier, saint patron éponyme de la commune[25].
Histoire
Âge du fer et période romaine
Entre 1983 et 1988, une fouille de sauvetage permet la mise au jour d'un habitat gaulois au lieu-dit "Le Talhouët"[26]. Le site, daté de La Tène moyenne à finale, couvre une surface d'environ 1 hectare et demi. il est composé de deux enclos emboîtés, d'une maison circulaire et d'un bâtiment de stockage, type grange[27]. Diverses sépultures jouxtent le site. L'ensemble est probablement à mettre en relation avec le peuple des Vénètes, qui contrôlait alors ce territoire.
Moyen Âge
Le trésor de Pluvigner contenait des pièces cachées à la fin de la Guerre de succession de Bretagne entre 1360 et 1364 ; il contenait notamment 259 monnaies flamandes, qui constituaient 84 % de l'ensemble de ce trésor monétaire[28].
Époque moderne
Pierre Le Gouvello, chevalier de Keriolet , né en 1602 à Auray (il passa son enfance au château de Kerlois), fut agnostique, athée et mena une vie dissolue. En 1636 il se rendit à Loudun pour y observer les Folles de Loudun ; il se convertit alors et devint religieux, transformant son château en hospice pour les pauvres.
En 1687-1688, des violences ont lieu à Pluvigner contre les caquins de Bretagne, descendants supposés des lépreux médiévaux. La population s'oppose aux autorités qui voulait interdire la coutume empêchant aux caquins d'enterrer leur morts au cimetière paroissial[29].
La trève de Saint-Bieuzy, qui dépendait sous l'Ancien Régime de la paroisse de Pluvigner, devint une commune en 1793, mais celle-ci fut incorporée dans celle de Pluvigner avant 1806[30].
Révolution française
En 1799 des bandes royalistes, formées en bonne partie d'hommes de Pluméliau, Grand-Champ, Pluvigner, Plumergat, etc.. formèrent un rassemblement de 5 à 6 000 hommes[31].
Le XIXe siècle
En décembre 1864 ouvre la ligne des Chemins de fer d'Orléans, d'Auray à Napoléonville (Pontivy), en passant par Pluvigner. La ligne est ouverte au transport des voyageurs (trois trains par jour dans chaque sens) et au transport du fret. La liaison s'arrête en 1951 et la gare disparait en 1981[32].
Le monument aux morts de Pluvigner porte les noms de 19 soldats morts pour la France pendant la guerre de 1870[33].
Une épidémie de dysenterie fit 600 malades (dont 46 moururent) à Pluvigner en 1876. Le docteur Alfred Fouquet explique la propagation de la maladie par les conditions de vie déplorables des habitants de la région qui « ne prennent absolument aucun soin, soit de leur propreté, soit de celle de leurs maisons. Ils jettent les selles des malades devant leur porte et parfois les vident dans la maison même, au milieu des cochons et des poulets, au milieu desquels ils grouillent. (...) Ils se refusent d'ailleurs à prendre aucun médicament »[34].
La Belle Époque
Le curé de Pluvigner vit son traitement[35] suspendu en janvier 1903 pour avoir prêché et enseigné le catéchisme en breton[36].
En 1909 est créée l'association des « Keriolets de Pluvigner », vouée initialement à des activités d'éducation physique et gymnique et à une fanfare. Le nom choisi fait référence à Pierre Le Gouvello de Keriolet ; la section football fut créée en 1921[37].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Pluvigner porte les noms de 342 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[33].
L'Entre-deux-guerres
Un soldat de Pluvigner (Joseph Messager) est mort pour la France au Maroc à la suite du combat d'Oued-Amrine en 1925[33].
La Seconde Guerre mondiale
Le 23 janvier 1943, un bombardier américain B-17, endommagé lors d’une mission et poursuivi par deux avions allemands, s’écrasa dans le bois de Kéronic. Sept aviateurs furent tués et trois survécurent. Deux stèles ont été inaugurées le 5 novembre 1994 en présence de Charles Roth survivant et de Mel Schulstad, pilote habituel mais absent le jour de la mission[38].
- Plaque de la stèle près de la mairie.
- Plaque de la deuxième stèle dans le bois de Kéronic.
À la fin du mois de juin 1944, la compagnie FFI dirigée par le capitaine Henri Le Frapper participa dans la région de Pluvigner et Brandivy à des actions de harcèlement contre les troupes allemandes ; le sept résistants FFI furent tués près du carrefour de La Forêt-Le Purgatoire en Brandivy[39]. Cinq autres furent fusillés par les Allemands le même jour au lieu-dit Chanticoq à Bieuzy-Lanvaux[40]. Neuf autres résistants furent fusillés le au lieu-dit Le Véniel[41].
Le monument aux morts de Pluvigner porte les noms de 76 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi elles trois membres de la famille Elstein, réfugiée à Pluvigner en octobre 1940 et morts en déportation, victimes de la Shoah, au camp de concentration d'Auchwitz en 1942[33].
L'après Seconde Guerre mondiale
Sept soldats originaires de Pluvigner sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine et quatre pendant la Guerre d'Algérie[33].
Le XXIe siècle
Le un avion de chasse F-16 de l'armée de l'air belge, parti de la base de Florennes et devant se ravitailler en carburant à Lann-Bihoué, s'écrase au lieu-dit "Le Poteau" en Pluvigner en raison d'une avarie de moteur, détruisant en partie une maison lors du crash ; les deux pilotes purent s'éjecter à temps, l'un d'eux restant suspendu par son parachute pendant deux heures à une ligne à haute tension[42].
Économie
Agriculture
- 127 exploitations et 140 exploitants en l'an 2002.
Industrie
- « Hill-rom », un des leaders mondiaux de mobilier pour le domaine médical, environ 350 salariés[43].
- « Bretagne Chrome », environ 50 salariés.
Politique et administration
Chef-lieu de canton qui regroupe les communes de Brech, Camors, Landaul et Landévant, Pluvigner centralise les syndicats intercommunaux tels que le S.I.V.O.M. et le S.I.V.U. Au total, 21 913 habitants en 2011.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2019, la commune comptait 7 676 habitants[Note 8], en augmentation de 4,49 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
- La population de Pluvigner est actuellement en constante progression. C'est une population jeune, composée à 30 % de moins de 25 ans.
Langue bretonne
Le nom de la commune est Pleuwigner en breton.
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le 9 novembre 2006. La commune a reçu le label de niveau 1 de la charte le 19 juin 2010.
À la rentrée 2017, 134 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique[51].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Églises ou chapelles
- Chapelle Notre-Dame-de- Orties - XVe siècle
- Église paroissiale Saint-Guigner - XVIe siècle
- Chapelle Saint-Adrien - XVe siècle
- Chapelle Saint-Colomban - XVe siècle
- Chapelle de la Trinité - Fin XVe siècle (Le Moustoir)
- Chapelle de Notre-Dame-de-la-Miséricorde - XVIe siècle
- Chapelle Saint-Mériadec - XVIe siècle
- Chapelle Sainte-Brigitte - XVIe et XVIIe siècles
- Chapelle Saint-Guy - Vers 1600
- Chapelle Notre-Dame-de Fatima-aux-Granges - 1895. Depuis 1962, la chapelle est utilisée par la communauté CPCR qui organise à côté des retraites ignatiennes[52].
- Chapelle de Saint-Bihui - XVIe siècle
- Chapelle de Saint-Goal - XVIIe siècle
- Chapelle Saint-Fiacre à Trélecan - XVe siècle
- Chapelle Saint-Guénaël - XIXe siècle
Les châteaux
- Château de Kerlois - XVIIe siècle
Le château, qui appartint à Pierre Le Gouvello de Keriolet, date pour l'essentiel du XVIIe siècle (façade) mais conserve quelques éléments du XVe siècle. Au début de ce siècle, il appartenait alors à Eon de Kernigues, écuyer du duc Jean V. Depuis 1800, le château est la propriété de la famille Le Bobinnec. La chapelle privée a été bâtie par la mère de Pierre Le Gouvello de Keriolet, en action de grâces pour la conversion de son fils à Loudun.
- Château de Keronic - XVIe siècle
Jadis appelée Queronic, c'est une imposante demeure des XVe / XVIIe siècles, mais largement remaniée par la famille Harscouët de Saint Georges vers 1860. C'est toujours la propriété de cette famille, représentée actuellement par le vicomte Christian de la Tullaye. Situé au milieu de grands bois, le logis comporte une grande chapelle. En outre, une autre chapelle existe dans le parc le long d'une allée, au sud du château.
- Château de Rimaison - Avant le XVIIIe siècle
- Château de Tancarville : il est en ruine dès le XVIIIe siècle. Cependant, la chapelle Saint-Fiacre, ancienne chapelle du château, est toujours debout.
Autre monuments ou sites dignes d'intérêts
- La fontaine Saint-Guigner (1526)
- Le tertre tumulaire de Souho
- Les stèles de Pluvigner et Cosquéric (âge du fer) ;
- Plusieurs mottes féodales situées à Coët, Magoër, Kerchéro, Kerbernard ou Goh Castel Xe et XIe siècles ;
- Des sépultures de l'âge de fer ;
Tourisme
- Ses marchés nocturnes le 18 juillet et le 8 août 2008.
- Ses Fest-noz renommés.
- Le site gaulois de Talhouët composé de maisons d’habitation, de structures domestiques, ainsi que de sépultures datant des IIe et IIIe siècles avant notre ère.
- L’église Saint-Guigner du XVIe siècle et sa grande fontaine accolée à un lavoir.
- Les arcades de la chapelle Notre-Dame-des-Orties en face de l’église : seuls éléments restant de la chapelle.
- Les nombreuses chapelles et leurs pardons où la musique bretonne tient une place importante : chapelle Saint-Colomban, chapelle de la Trinité, chapelle Saint-Mériadec, chapelle Sainte-Brigitte, chapelle Saint-Guy, chapelle Notre-Dame de Fatima, chapelle Saint-Bihui, chapelle Saint-Goal, chapelle Saint-Fiacre et chapelle Saint-Guénaël.
- La chapelle Notre-Dame-de-Miséricorde, lieu de prière de Pierre de Kériolet surnommé le « diable de Kerlois ». Il mène une vie de débauche avant de se convertir. La chapelle impressionne par la richesse de son mobilier et de ses sablières sculptées de nombreuses têtes énigmatiques.
- Le circuit de Talhouët (10 km) disponible à l’antenne de Pluvigner, en mairie.
Culture
- La BiblioPef - place Notre-Dame-des-Orties.
- Centre Multimédia - place Notre-Dame-des-Orties.
- L'école de musique municipale « Porh Hirello » - rue du Presbytère.
Enseignement
Pluvigner compte trois écoles et un collège.
- École Joseph-Rollo ;
- École Saint-Guignier ;
- École Sainte-Anne ;
- Collège du Goh-Lanno.
Sports
- Clubs de football :
- Les "Keriolets de Pluvigner" (évoluant en R1) ; ce club a atteint en 2007 les 32e de finale de la Coupe de France de football (battus par l'US Le Mans) ; le club a été fondé en 1909 (c'était alors une association catholique pratiquant des activités d'éducation physique et gymnique ainsi que de fanfare), la section football étant créée en 1921. Le club porte le nom du chevalier de Keriolet[53].
- l'"AS Pluvigner" (évoluant en D2) ;
- Club de volley-ball ;
- "Pluvigner Rugby Club" a une école de rugby de 60 enfants environ et 40 seniors. L'équipe fanion évolue en 1re série ;
- Rollers Cop, Club de roller .
- Tennis Club Pluvigner. En 1976, le Club Omnisport de Pluvigner est créé. Le tennis est une des sections, il prend son indépendance en 1988 et devient le Tennis Club Pluvigner. Il compte actuellement 110 licenciés dont une majorité de jeunes. Il propose le tennis en loisir et en compétition à partir de 4 ans. L’équipe pédagogique comprend 2 entraîneurs diplômés. Le TC Pluvigner a engagé 2 équipes seniors hommes (D2 et D3), une équipe senior dames D2 et 4 équipes jeunes pour la saison 2022.
- Pluvigner Basket Ball
- PLUVI’BAD.
Jumelages
- Cahirciveen (Irlande) depuis 1984.
Personnalités liées à la commune
- L’abbé Joseph Le Bayon dit Job Le Bayon (1876-1935), auteur dramatique, est né à Pluvigner.
- Le gendarme Pierre Annic, résistant, est né au lieu-dit Les Granges, à Bieuzy-Lanvaux, ancienne trève de Pluvigner[54].
- Jean-Marie Goasmat (1913-2006), cycliste réputé pour ses performances dans le Tour de France d'après guerre, vivait à Pluvigner.
- Yvon Palamour (1932-2018) y est né, ébéniste d'art, sonneur, luthier, conférencier, récipiendaire de l'Ordre de l'Hermine, promotion 2015 dont la famille est originaire de la commune depuis le XVIe siècle[55].
Héraldique
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Les armoiries de Pluvigner se blasonnent ainsi :
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Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- René Louis Harscouët de Saint-George, né le à Hennebont, décédé le au château de Kéronic à Pluvigner.
- René Achille Gérard Marie Harscouët de Saint-George, né le à Pluvigner, décédé le à Pluvigner.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
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- Nègre, Ernest., Toponymie générale de la France : volume 2 : formations non-romanes ; formations dialectales (OCLC 1040366162, lire en ligne).
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- Daniel Tanguy, Fouille de sauvetage programmée sur un site d'habitat de l'âge du fer, au Talhouet, commune de Pluvigner (Morbihan), SRA Bretagne.
- Gaby Le Cam, Un site de l'âge du fer au Talhouët en Pluvigner, Société d'Archéologie et d'Histoire du Pays de Lorient.
- Gildas Salaün, « Les trésors monétaires médiévaux », Trésors enfouis de l'âge du fer à la Révolution, Musée d'Histoire et d'Archéologie de Vannes, éditions Locus Solus, 2013, (ISBN 978-2-36833-016-6).
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Voir aussi
Bibliographie
- Joël Lecornec, « Le tertre tumulaire de Souho en Pluvigner », Annales de Bretagne, no 79, 1, 1972, p. 35–37
Articles connexes
Liens externes
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