Saint-Côme-et-Maruéjols

Saint-Côme-et-Maruéjols est une commune française située dans le sud du département du Gard en région Occitanie.

Saint-Côme-et-Maruéjols

Vue de La Liquière.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Michel Verdier
2020-2026
Code postal 30870
Code commune 30245
Démographie
Gentilé Saint-Cômois, Saint-Cômoises[1]
Population
municipale
804 hab. (2019 )
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 45″ nord, 4° 12′ 11″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 206 m
Superficie 13,01 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gilles
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Côme-et-Maruéjols
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Côme-et-Maruéjols
Géolocalisation sur la carte : Gard
Saint-Côme-et-Maruéjols
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Côme-et-Maruéjols
Liens
Site web Mairie de Saint-Côme-et-Maruejols

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de la Tourancelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Côme-et-Maruéjols est une commune urbaine qui compte 804 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Cômois ou Saint-Cômoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'oppidum de Mauressip, classé en 1978 et inscrit en 1982.

    Géographie

    Les communes de Parignargues, Clarensac, Saint-Dionisy, Calvisson, Souvignargues et Montpezat sont limitrophes à la commune de Saint Côme et Maruéjols. Ses habitants s'appellent les Saint-Cômois et Saintes-Cômoises.

    Saint-Côme-et-Maruéjols, commune de la Communauté d'agglomération de Nîmes Métropole, est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 826 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villevieille », sur la commune de Villevieille, mise en service en 1970[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 754,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 13 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[14] : la « Cuvette de Clarensac et Calvisson » (2 641 ha), couvrant 8 communes du département[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Côme-et-Maruéjols est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[I 1],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51 %), cultures permanentes (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), prairies (6,7 %), zones urbanisées (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Étymologie

    Cosmas, martyr du IIIe siècle. Maruéjols, du gaulois ialo (lieu, clairière, espace) caractérisé par un autre terme gaulois, l'adjectif maro- (grand).

    Histoire

    Antiquité

    Un atelier de poterie produit des amphores à vin de type G8 pendant l'époque augustéenne[19],[20] (27 av. J.-C. - 14 apr. J.-C.).

    Moyen Âge

    • Sanctus-Cosmas[21] 1146

    XIXe siècle

    La commune est née de la fusion, en 1812, des deux communes voisines de Saint-Côme et de Maruéjols[22] ; la première, au cours de la Révolution française, porta provisoirement les noms de Caramaule et de Cosme[22]. Claude dit "de Begaud" a vécu sur ces terres arides et a construit un « poulaillé ». Son chien avait commune de réveiller le voisinage.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Michel Verdier SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANIM), dont le siège se trouve à Nîmes et dont le président est Yvan Lachaud (UDI).

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2019, la commune comptait 804 habitants[Note 7], en augmentation de 4,15 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    508542558742705720694645646
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    615611610586533466349355355
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    402366383378345335318266297
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    327294290351410570712753772
    2018 2019 - - - - - - -
    809804-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 329 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 804 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 440 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6,7 %7,7 %8,5 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 550 personnes, parmi lesquelles on compte 81,5 % d'actifs (72,9 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 18,5 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 79 emplois en 2018, contre 74 en 2013 et 68 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 405, soit un indicateur de concentration d'emploi de 19,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,7 %[I 10].

    Sur ces 405 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 11 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    53 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Côme-et-Maruéjols au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble53
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    35,7 %(7,9 %)
    Construction815,1 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1120,8 %(30 %)
    Activités immobilières611,3 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1426,4 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    713,2 %(13,5 %)
    Autres activités de services47,5 %(8,8 %)

    Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,4 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 53 entreprises implantées à Saint-Côme-et-Maruéjols), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[26] :

    • Bela SARL, commerce de détail de fruits et légumes en magasin spécialisé (395 k€)
    • SAS Du Bois Sacre, location de terrains et d'autres biens immobiliers (k€)

    Agriculture

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations34271514
    SAU[Note 13] (ha)475483422303

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 27 en 2000 puis à 15 en 2010[29] et enfin à 14 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[30],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 475 ha en 1988 à 303 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 22 ha[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Tour hellénistique et ruines attenantes d'habitat : cad. A 810 (inscription MH 8 septembre 1978).
    • Horloge communale : très originale tour coiffée d'une sorte de petite flèche à tuiles en écailles ressemblant à un minaret (fin XIXe siècle) d'une hauteur de 27 mètres, édifiée en 1882/83 en remplacement d'un campanile en fer forgé au sein de l'ancien château aujourd'hui mairie et école
    • Église Saint-Côme de Saint-Côme-et-Maruéjols : rebâtie à la fin du XVIIe siècle
    • Fontaines ou griffes sur deux places pittoresques ombragées de platanes
    • Hameau de Maruéjols
    • Ancien moulin à vent surplombant le village à 202 mètres d'altitude

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Côme-et-Maruéjols » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Côme-et-Maruéjols » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Côme-et-Maruéjols » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Côme-et-Maruéjols » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. http://www.habitants.fr/habitants_saint-come-et-maruejols_30245.html
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Villevieille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Côme-et-Maruéjols et Villevieille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Villevieille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Côme-et-Maruéjols et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Côme-et-Maruéjols », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF la « Cuvette de Clarensac et Calvisson » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. [Laubenheimer 1985] Fanette Laubenheimer, « La production des amphores en Gaule Narbonnaise », Centre de Recherche d'Histoire Ancienne, Besançon, vol. 66, , p. 308. Cité dans [Desbat 1987] Armand Desbat, « Note sur la production d'amphores à Lyon au début de l'empire » (Actes du Congrès de Caen, 1987), S.F.E.C.A.G., , p. 159-166 (lire en ligne [PDF] sur sfecag.free.fr), p. 160, 165.
    20. [Laubenheimer 2001] Fanette Laubenheimer, « Le vin gaulois de Narbonnaise exporté dans le monde romain, sous le Haut-Empire », dans Fanette Laubenheimer (dir.), 20 ans de recherches à Sallèles d'Aude, Presses universitaires Franc-Comtoises, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 51-65, p. 52, fig. 1 : carte des ateliers producteurs d'amphores en Narbonnaise à l’époque augustéenne.
    21. Lay. du Tr. des chapitres, t. 1, p. 63.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. « Entreprises à Saint-Côme-et-Maruéjols », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    27. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    28. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    29. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Côme-et-Maruéjols - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.