Saint-Dionisy
Saint-Dionisy (précédemment Saint-Dionizy[2]) est une commune française située dans le sud du département du Gard en région Occitanie.
Saint-Dionisy | |
Saint-Dionisy vu depuis l'oppidum Roque de Viou | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Jean-Christophe Gregoire 2020-2026 |
Code postal | 30980 |
Code commune | 30249 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Dionisyens[1] |
Population municipale |
1 070 hab. (2019 ) |
Densité | 313 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 48′ 20″ nord, 4° 13′ 46″ est |
Altitude | Min. 36 m Max. 181 m |
Superficie | 3,42 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Langlade (banlieue) |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Gilles |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rhony et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Dionisy est une commune urbaine qui compte 1 070 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Langlade et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Dionisyens ou Saint-Dionisyennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'oppidum de Nages, inscrit en 1980 puis classé en 2006.
Toponymie
Dionisy qui renvoie à Dionysius est le même nom que Denis, premier évêque de Paris, martyrisé à Montmartre sous l'empereur Dèce, vers 250. Enseveli sous la basilique éponyme, il est représenté décapité, se relevant pour porter sa tête. Nom issu du grec Dionysos (fils de Zeus). Patron des oiseaux, il est invoqué contre les maux de tête.
Géographie
Les communes de Saint-Côme-et-Maruéjols, Clarensac, Langlade, Nages-et-Solorgues et Calvisson sont limitrophes à la commune de Saint Dionisy. Ses habitants s'appellent des Saint-Dionisyens et Saint-Dionisyennes.
Saint-Dionisy, commune de la communauté d'agglomération de Nîmes Métropole, est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[3].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vestric-et-Candiac », sur la commune de Vestric-et-Candiac, mise en service en 1966[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 700,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 11 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 15,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[15] : la « Cuvette de Clarensac et Calvisson » (2 641 ha), couvrant 8 communes du département[16].
Urbanisme
Typologie
Saint-Dionisy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[I 1],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langlade, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 4 965 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,8 %), cultures permanentes (21,7 %), zones urbanisées (18,5 %), forêts (3,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Oppidum de Roque de Viou, fondé par les Volques Acéromiques. Cet oppidum a ensuite été délaissé par les Volques pour l'Oppidum de Nages.
Locus de Sancto-Dyonisio (dénombrement de la Sénéchaussée) 1384.
Héraldique
Blason | D'argent à l'olivier arraché de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Canton
La commune fait partie du canton de Saint-Gilles, qui dépend de l'arrondissement de Nîmes et de la deuxième circonscription du Gard.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANM), dont le siège se trouve à Nîmes et dont le président est Franck PROUST (LR).
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2019, la commune comptait 1 070 habitants[Note 7], en augmentation de 9,41 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 408 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 043 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 460 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 9] | 6,5 % | 7,8 % | 9 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 677 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (68,5 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 9],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 209 emplois en 2018, contre 180 en 2013 et 154 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 469, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,7 %[I 13].
Sur ces 469 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 8 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 92,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
99 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Dionisy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 99 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 5 | 5,1 % | (7,9 %) |
Construction | 20 | 20,2 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 19 | 19,2 % | (30 %) |
Information et communication | 3 | 3 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 4 | 4 % | (3 %) |
Activités immobilières | 5 | 5,1 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 16 | 16,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 13 | 13,1 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 14 | 14,1 % | (8,8 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20,2 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 99 entreprises implantées à Saint-Dionisy), contre 15,5 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[24] :
- Negauto, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (7 042 k€)
- IP Investissement Patrimonial, agences immobilières (251 k€)
- Les Chapes Du Sud, travaux de revêtement des sols et des murs (138 k€)
Agriculture
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 8 lors du recensement agricole de 2020[Note 12] et la surface agricole utilisée de 174 ha[Carte 3],[Carte 4].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Oppidum de Roque de Viou (également sur commune de Nages-et-Solorgues). Site archéologique (Âge du fer 2 ; Antiquité). L'oppidum (cad. Saint-Dionizy B 758 à 791, lieu-dit Roque-de-Vif, Nages-et-Solorgues A 346, lieu-dit les Combes, 348 à 357, lieu-dit les Castels, 977, lieu-dit les Belardes) : inscription par arrêté du 3 avril 1980 - Les parcelles AC 5, 7 à 9, 11, 12, 14 à 16, 18, 23, 24, 27 à 32, 36 à 38, partie de l'oppidum, en totalité : classement par arrêté du 23 octobre 2006. Une première phase d'habitat s'étend du VIIIe au début du VIe siècle av. J.-C., caractérisée par des cabanes en matériaux périssables et une base creusée dans le rocher. Les foyers sont établis sur un sol en terre battue. Des vases à provision ont été mis au jour. Après un abandon de deux cents ans, une nouvelle ville est édifiée à l'emplacement des cabanes, vers 380-360 av. J.-C. La ville est entourée d'un rempart en pierres sèches jalonné de tours quadrangulaires. Vers 290-280, cette ville est abandonnée au profit du site voisin de Nages. Le site est partiellement réoccupé à l'époque gallo-romaine, entre 25 apr. J.-C. et 50 apr. J.-C. Propriété de la commune.
- Temple protestant : ancienne église d'origine romane contre laquelle fut accolée en 1876 une tour d'horloge surmontée d'un gracieux campanile en forme de bulbe.
- Deux anciens lavoirs
- Pittoresque et ancien cimetière protestant au milieu d'une superbe forêt de cyprès dominant le village sur la face nord de la Roque de Viou.
Nota : avec Boissières, il s'agit du seul village de Vaunage à ne pas posséder d'église pour le culte catholique.
À noter également qu'au milieu des années 1940, des prospections géologiques systématiques accompagnées de forages très profonds (près de 3000 m) en vue de trouver d'éventuelles nappes de pétrole ont été effectués sur le territoire communal et dans la plaine de la Vaunage. Ces recherches se sont néanmoins révélées infructueuses. En février et mars 2011, la société Total procède au rebouchage de l'un de ces puits à Saint Dionizy mais avec une suspicion forte d'essais et de procédés de recherche de gaz de schiste ...
Personnalités liées à la commune
- Maurice Agulhon, professeur au Collège de France.
- Pierre Baux, médecin français.
- Raoul Stéphan, auteur de l'ouvrage régionaliste « Bécagrun » retraçant l'histoire et la vie d'un berger et agriculteur en Vaunage à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.
Galeries
- Mairie.
- Temple protestant.
- Lavoir de la route de Nîmes
- Lavoir du chemin de Calvisson.
- Monument aux morts.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[25].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Langlade » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Dionisy » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- http://www.habitants.fr/habitants_saint-dionizy_30249.html
- Changement du nom de la commune par le décret no 2011-311 du 22 mars 2011, consulté le 25 mars 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Dionisy et Vestric-et-Candiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Dionisy et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Dionisy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « Cuvette de Clarensac et Calvisson » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Saint-Dionisy », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
Liens externes
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