Saint-Dos
Saint-Dos (en béarnais Sendos) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Dos | |||||
L'église de l'Assomption-de-la-Vierge-Marie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Alexandre Cassou 2020-2026 |
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Code postal | 64270 | ||||
Code commune | 64474 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sendosiens | ||||
Population municipale |
158 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 28′ 27″ nord, 1° 01′ 17″ ouest | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 48 m |
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Superficie | 1,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-dos.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Dos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 73 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 52 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 27 km d'Orthez[5], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Auterrive (2,0 km), Carresse-Cassaber (2,3 km), Labastide-Villefranche (2,3 km), Saint-Pé-de-Léren (2,5 km), Castagnède (3,1 km), Escos (3,6 km), Léren (3,7 km), Arancou (4,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Dos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, L'Entran, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[9],[Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bidache », sur la commune de Bidache, mise en service en 1985[16] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 386,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 40 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[22].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[24], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : les « lacs et marécages de Labastide-Villefranche » (109,89 ha), couvrant 3 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[26],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].
Urbanisme
Typologie
Saint-Dos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (43,9 %), eaux continentales[Note 10] (7,3 %), forêts (1,6 %)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 28 et 277.
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Saint-Dos est une mauvaise interprétation par l'administration française du nom gascon Sendòs qui apparaît sous les formes Sendos-Juson, Sendos-Suson et Sancta-Maria de Sendos (respectivement 1120[35] pour les deux premières formes, et XIIe siècle[35], cartulaire de Sorde[36]), Scendos (1151[35]), Nostre-Done de Sendos (1442[35], notaires de Labastide-Villefranche[37]), Sandoos, Sandos de la juridiction de France et Saint-Doz (respectivement 1538[35] pour les deux premières formes, et 1675[35], réformation de Béarn[38]).
Nom béarnais
Son nom béarnais est Sendos.
Histoire
Paul Raymond[35] note qu'en 1385, Saint-Dos comptait dix feux et dépendait du bailliage de Mu.
Comme nombre de villages de la vallée du gave d'Oloron, Saint-Dos à des origines gallo-romaines. Les origines du village seraient attribuables à un officier romain du nom de Sintus, qui reçut des terres à la fin de la conquête romaine.
L'originalité de Saint-Dos (Sendos) est que le village était situé de part et d'autre de la frontière Béarn/Gascogne depuis 1292. Sous l'Ancien Régime, la paroisse élisait d'ailleurs des jurats béarnais et des « députés » gascons.
En 1660, les habitants se rebellèrent contre la gabelle et plusieurs d'entre eux furent pendus sur la place du village. Les marais des « barthes de Branlès » furent asséchés en 1863 avec des aides de Napoléon III.
Politique et administration
Situation administrative
Saint-Dos a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[39].
Liste des maires
Intercommunalité
Saint-Dos fait partie de sept structures intercommunales[40] :
- la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
- le SIGOM ;
- le SIVU des cinq villages ;
- le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
- le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.
La commune accueille le siège du SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2019, la commune comptait 158 habitants[Note 11], en augmentation de 3,27 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Les fêtes du village ont lieu chaque année le troisième weekend d'août et donnent lieu à des bandas, jeux béarnais, dîner champêtre et soirées dansantes.
Patrimoine civil
Le château des comtes de Béarn Sendos (Sintos) à l'architecture civile du XVIe siècle, a remplacé une motte féodale dont « Le Basque gentil », héros local, fut seigneur. Le château primitif se trouvait à la jonction entre les terres du roi d'Angleterre et celles du vicomte du Béarn durant la guerre de cent ans. Pillé en 1793, il fut restauré par le baron de Crouseilhes qui y venait parfois. Occupé par les autorités allemandes de 1940 à fin 1942, puis par des métayers, il est aujourd'hui transformé en remise agricole mais décèle encore de très beaux éléments d'architecture Renaissance.
Le château Mousseigne est une gentilhommière de la fin du XVIIe siècle qui porte le nom de la famille qui l'a construite. On y recense un Jean Mousseigne de Sendos en 1700. Les Mousseigne, grands propriétaires terriens, devaient leur fortune surtout au commerce maritime. Au XVIIe siècle, ils commerçaient au-delà des mers et avaient d'importants actifs aux Indes, à l'île Maurice et à Saint-Domingue.
Le moulin seigneurial fut construit en 1736, et est aujourd'hui au milieu des terres. Le canal de dérivation a été comblé en 1951. Le moulin seigneurial précédent a été détruit lors de la grande crue de 1732. Un crime y a été commis au début du XXe siècle.
Patrimoine religieux
L'église actuelle dite de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[45] date du XIXe siècle, remplaçant un édifice fort ancien emporté par une crue du gave à la fin du XVIIIe siècle. Elle a été financée en partie par le baron Marie Jean Pierre Pie Frédéric Dombidau de Crouseilhes, ministre de l'Instruction publique et des Cultes de la Deuxième république, et propriétaire du château de Saint-Dos. Il fut pair de France en 1845 et sénateur sous Napoléon III.
La chapelle d'Ordios, bien que dépendant aujourd'hui de Labastide-Villefranche, fut construite en 1150 sur ordre du curé de Saint-Dos de l'époque[réf. nécessaire].
Équipements
- Enseignement
Saint-Dos dispose d'une école primaire.
Personnalités liées à la commune
Le baron Frédéric Dombidau de Crouseilhes qui, bien que né à Oloron en 1792 et décédé à Paris en 1861, a habité longtemps le château de Saint-Dos qu'il tenait de sa mère et de sa grand-mère. Le baron de Crouseilhes est célèbre pour avoir fait cesser les châtiments corporels à l'école quand il était ministre de l'Instruction publique de la Deuxième république en 1851.[réf. nécessaire] Prosper Mérimée a raconté les circonstances de sa mort in Lettre de Prosper Mérimée à la comtesse de Montijo - Mercure de France.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Dos » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Dos », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Dos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Dos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Saint-Dos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Dos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Dos et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Dos et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Dos », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Saint-Dos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Bidache - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Dos et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bidache - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Dos et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Dos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Dos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « lacs et marécages de Labastide-Villefranche » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie
Voir aussi
Bibliographie
- Alexis Ichas, Historial de Saint-Dos
- Alexis Ichas, Historial des gaves, Éditions Atlantica
- Alexis Ichas, Chroniques béarnaises du Gave et du Saleys
- Bulletin d'Information de la communauté de communes de Salies-de-Béarn (été 2008)
Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne
Articles connexes
Liens externes
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