Saint-Jeoire
Saint-Jeoire, encore appelée localement Saint-Jeoire-en-Faucigny, est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ne doit pas être confondu avec Saint-Jeoire-Prieuré.
Saint-Jeoire | |||||
Le château de Beauregard, qui domine la ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Bonneville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des quatre rivières | ||||
Maire Mandat |
Antoine Valentin 2020-2026 |
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Code postal | 74490 | ||||
Code commune | 74241 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Jeoiriens | ||||
Population municipale |
3 370 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 148 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
4 671 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 08′ 20″ nord, 6° 27′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 498 m Max. 1 863 m |
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Superficie | 22,75 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Jeoire (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Genève - Annemasse (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bonneville | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | saint-jeoire.fr | ||||
Géographie
La commune se situe dans l'ancienne province de Faucigny, à mi-chemin entre Annemasse et Cluses. Elle est située au nord-ouest de la confluence du Risse et du Giffre, dans une vallée triangulaire assez encaissée, bordée au nord-ouest par la pointe des Brasses (1 503 mètres) et l'Herbette, et au sud par une grosse montagne solitaire, le Môle (1 863 mètres).
Saint-Jeoire est située à 13 km de Taninges, à 14 km de Scionzier, à 15 km de Cluses, à 16 km de Bonneville, à 20 km d'Annemasse et à 38 km de Thonon-les-Bains.
La gare la plus proche est la gare de Marignier, située à 8 km.
L'accès à l'A410 et à l'A40 en direction de Genève est à 12 km du bourg.
Communes limitrophes
Viuz-en-Sallaz | Bogève | Onnion | ||
La Tour | N | Mieussy | ||
O Saint-Jeoire E | ||||
S | ||||
Saint-Jean-de-Tholome | Ayse | Marignier |
Urbanisme
Typologie
Saint-Jeoire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jeoire, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 4 671 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,4 %), zones urbanisées (9,2 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), prairies (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Le toponyme de la commune est Saint-Jeoire selon le Code officiel géographique français[10]. Jeoire provient d'une traduction du nom du saint Georges de Lydda, Georgius[11].
La graphie de la commune jusqu'en 1860 — année de la réunion de la Savoie à la France — est Saint-Jeoire-en-Faucigny[12]. Le nom de la commune était associé au syntagme « -Faucigny », du nom de la province de localisation pour la distinguer de Saint-Jeoire-Prieuré, en Savoie Propre, au sein du duché de Savoie.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit San Zhouro, selon la graphie de Conflans[13].
Histoire
Le village mitoyen d'Onnion comporte les traces les plus anciennes d'occupation humaine des deux Savoie, avec des outils datant de -70000 retrouvés dans le massif des Brasses. L'occupation humaine a ensuite cessé du fait de la glaciation, pour ne reprendre que vers -3000 : on a pu trouver à Saint-Jeoire des vestiges d'occupation d'hommes de Cro-Magnon, et d'autres objets ultérieurs, notamment de l'âge du fer.
Plus tard, aux alentours de l'an mil, des bénédictins s'installeront à l'emplacement du village, où ils élèveront une petite chapelle placée sous le vocable de Saint-Georges, qui donnera son nom au village. Les documents les plus anciens mentionnant l'existence du village datent de 1185, et il y est déjà question d'un seigneur, Ponce de Saint-Jeoire. En 1269, le village est une mitralie (centre de recouvrement des impôts).
Noble Vullierme de Saint-Jeoire, teste le . Dans ce document, il est fait mention de la maison forte de la Ravoire, propriété du testateur. Il en est de même en 1349, quand Pierre de Saint-Jeoire teste à son tour dans la cour de sa maison forte : en la grand cour de sa maison forte de la Ravoire[14].
En 1339, un recensement établit sa population à quelque 1 350 habitants, ce qui en fait l'un des villages les plus peuplés de la région. L'église paroissiale de l'époque est assez ancienne pour qu'on envisage sa réfection en 1318. Durant le XIVe siècle, les seigneurs de Saint-Jeoire sont partisans de l'évêque de Genève, et mènent la guerre contre les comtes de Savoie.
En 1366, Pierre de Saint-Jeoire et son voisin Hugues de La Fléchère (dont le château de Beauregard domine Saint-Jeoire) participent à la croisade lancée par le comte Vert. La vie du village est alors essentiellement agricole, et la plupart des familles citées dans les documents de l'époque ont toujours des représentants dans le village ! Le , est signée la première lettre patente établissant une franchise pour Saint-Jeoire, permettant la tenue d'un marché le vendredi, et de deux foires annuelles, libérant les transactions entre habitants de toute taxation, et fixant l'élection chaque année de deux syndics et de douze conseillers. La commune a désormais un sceau et peut recevoir de nouveaux bourgeois.
Lors de l'occupation du Faucigny par les Bernois, alliés aux Genevois et aux Français vers 1590, la maison forte de la Ravoire est détruite ainsi que celle de Saint-Jeoire et du Turchon, Beauregard étant incendiée.
En 1618, on rapporte un miracle effectué par saint François de Sales à Saint-Jeoire. En 1772, le roi Charles-Emmanuel III de Sardaigne octroie aux communes la possibilité de racheter les droits seigneuriaux, ce qui est fait à Saint-Jeoire en 1785 : les habitants ne paient donc plus d'impôts aux seigneurs.
Pendant la période révolutionnaire, l'année 1795, la municipalité dépendant du département du Mont-Blanc, dans le district de Cluses, est rebaptisée "Ambion"[15],[16]. Pendant l'Empire, elle redevient Saint-Jeoire, au sein du canton de Viuz-en-Sallaz, dans le nouveau département du Léman[15],[17].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
Ses habitants sont appelés les Saint-Jeoiriens[12].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].
En 2019, la commune comptait 3 370 habitants[Note 3], en augmentation de 4,85 % par rapport à 2013 (Haute-Savoie : +7,33 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune de Saint-Jeoire est située dans l'académie de Grenoble. En 2019, elle administre une école primaire regroupant 263 élèves[21]. Il existe par ailleurs un établissement privé, l'école primaire privée Saint-François, regroupant 119 élèves[22].
La commune dispose par ailleurs d'un collège, Gaspard Monge, regroupant un peu moins de 700 élèves provenant de neuf communes voisines[23],[24].
Elle accueille également un lycée professionnel privé, le CECAM (Centre Educatif Catholique d'Apprentissage des Métiers), qui dispose notamment d'un internat[25],[26].
Patrimoine local et culture
Lieux et monuments
Le territoire de la commune accueille ou a accueilli plusieurs édifices médiévaux :
- Le château de Beauregard[27].
- Au Nord-Est de la commune, se trouve la maison forte de Turchon (attestée, brûlée par les Bernois),
- à l'Est la maison forte de La Ravoire (attestée) et le château de Saint-Jeoire ou maison forte du Rocher (attesté).
- Le château de Cormand (attesté)[28]
- Le château Cornu (attesté)
- La maison forte de Chounaz, située sur les premières pentes de la rive gauche du Risse.
- Le château des Colombières[29].
- Le château de Béné-Ruphy[29].
- Le château Foncet (mairie actuelle).
Elle possède également un petit patrimoine religieux :
- l'église Saint-Georges reconstruite en style néo-gothique lombard en 1855-1858 en conservant le clocher existant mais séparée de lui[30].
- la chapelle du Turchon (XVIIe siècle).
- la chapelle du Bon Refuge (XVIIe siècle).
Personnalités liées à la commune
- Saint François de Sales, qu'on rapporte avoir changé miraculeusement du vin frelaté en bon vin dans l'auberge du village en 1618[réf. nécessaire].
- Famille de La Fléchère :
- Jean-Pierre de La Fléchère (1727-1804), natif de la commune le . Militaire dans l'armée des États de Savoie, il est nommé général en chef et gouverneur de Cagliari qu'il défend victorieusement contre la flotte française en 1793. Vice-roi de Sardaigne, il sera par la suite président du Congrès militaire piémontais en 1799, puis du Conseil suprême de l'administration du Piémont en 1800 ;
- Georges-François de La Fléchère (1775-1843), natif de la commune le . Colonel dans l'armée des États de Savoie, il sera gouverneur de la ville et de la province de Sassari en 1825, puis commandant de la province de Savoie en 1829. Il sera promu général en 1830 ;
- Marie Ange Alexis Étienne de La Fléchère de Beauregard (1822-1887), syndic puis maire de la commune jusqu'en 1887, député de la Savoie au Parlement de Turin.
- Germain Sommeiller (1815-1871), natif de la commune le . Ingénieur, député de Savoie au parlement sarde de 1853 à 1857 (où il fut battu par le comte de La Fléchère), inventeur du marteau pneumatique à l'origine de la percée du tunnel du Mont-Cenis.
- À la faveur d'une souscription lancée dès 1871, une statue de Sommeiller fut érigée en 1881 au centre du bourg. Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle fut déboulonnée, enterrée, et fut remise en place après la Libération. Il est à nouveau mis à l'honneur en 2021 à l'occasion des 150 ans de sa disparition.
- François Rubin, Résistant (Glieres, Vercors[31]) médecin et maire de 1947 à 1967.
- Georges-Louis Mercier (1808-1893), natif de la commune le . Docteur en droit, avocat à la Cour de cassation de Turin (1848), intendant général de la Savoie (1849) chargé d'organiser son rattachement à la France, membre de la Cour de cassation de Paris en 1860, dont il devient Premier Président en 1877[32],[33]. Grand-officier de la Légion d'honneur (1882)[34], Commandeur de l'Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare.
- Jacques Monge, né en 1718 dans le hameau d'Aveyran, émigra à Beaune où il devint marchand forain puis bâtonnier de la confrérie des merciers[35]. Il est le père des mathématiciens Louis et Gaspard Monge; le collège communal porte le nom de ce dernier.
- Jacques Veggia (né en 1942), footballeur français, natif de la commune et champion de France en 1964 avec l'AS Saint-Étienne puis entraîneur, dans les championnats régionaux, de l'US Annemasse, puis du FC Gaillard (ancêtre de l'Évian Thonon Gaillard Football Club)
- Marc-Emmanuel Dufour, né le 1er janvier 1965, animateur de télévision et chauffeur de salle, est originaire de la ville. Il a présenté entre autres, l'émission Tous ensemble sur TF1.
- Jean-Claude Carrier (1897-1944), résistant français, Compagnon de la Libération. Tué au village de Pouilly avec dix autres hommes. Un monument commémoratif a été érigé sur les lieux en leur honneur.
- Auguste Aulnette (né en 2002), skieur alpin français, champion olympique de la jeunesse du Combiné en 2020
Héraldique
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Les armes de Saint-Jeoire se blasonnent ainsi : D'or au sautoir de sable. Les armoiries de la commune sont celles de la famille de Saint-Jeoire[36].
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Voir aussi
Bibliographie
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 451-458 « Saint-Jeoire ».
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Jeoire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Code officiel géographique de Saint-Jeoire sur le site de l'Insee, consulté le 16 juin 2016.
- Claude Terreaux, Pays de Savoie : petite encyclopédie savoyarde, C. Bonneton, , 191 p. (ISBN 978-2-86253-058-1), p. 126.
- « Saint-Jeoire », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison - L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Éditions Picard, 2007 (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 87.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Paris, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 185 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129), p. 103-104, « II- Le district de Cluses ».
- Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Paris, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 185 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129), p. 109-114.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Haute-Savoie (74) > Saint-Jeoire > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté en ).
- « Haute-Savoie (74) > Saint-Jeoire > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté en ).
- Site du collège sur www.ac-grenoble.fr.
- « Haute-Savoie (74) > Saint-Jeoire > Collège », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté en ).
- Site du CECAM.
- « Haute-Savoie (74) > Saint-Jeoire > Lycée », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté en ).
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 51.
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Chuet (section) », Mémoires & documents, vol. 47, , p. 156-159 (lire en ligne).
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance. Collection L'amateur Averti, , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 52.
- La première église fut démolie à la fin du XVIIIe siècle pour en reconstruire une nouvelle, contre la butte de Sur Nâves, pour dégager une nouvelle place au centre du bourg. Comme on désirait conserver le clocher existant (encore en excellent état), on devait construire la nouvelle église séparée du clocher. Cette réalisation (1855-1858) fait de l'église de Saint-Jeoire la seule de notre département à avoir conservé et mis en valeur toutes les caractéristiques, à l'extérieur comme à l'intérieur, de ce style néo-gothique lombard.
- Plaque souvenir dans le bourg
- Georges J. Béné, Saint-Jeoire en Faucigny, un village de Haute-Savoie de son origine à nos jours, Saint-Jeoire, 2001, p. 99-100.
- François Miquet, « Les Savoyards au XIXe siècle - Les premiers présidents et les procureurs généraux », Revue savoisienne, , p. 206-207 (lire en ligne).
- « Cote LH/1832/26 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- http://roglo.eu/roglo?lang=fr;i=3059824
- Comte Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 5, Grenoble, Allier Frères, 1863-1966, p. 305-317.
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