Saint-Julien-l'Ars

Saint-Julien-l'Ars est une commune de la Région Nouvelle Aquitaine (Poitou-Charente), située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Sancto-Julianais[1].

Pour les articles homonymes, voir Saint-Julien.

Saint-Julien-l'Ars

L'église.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Béatrice Vanneste
2021-2026
Code postal 86800
Code commune 86226
Démographie
Gentilé Sancto-Julianais
Population
municipale
2 779 hab. (2019 )
Densité 151 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 34″ nord, 0° 30′ 39″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 130 m
Superficie 18,46 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Julien-l'Ars
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-l'Ars
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-l'Ars
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Saint-Julien-l'Ars
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Julien-l'Ars
Liens
Site web https://www.saintjulienlars.fr/

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 731 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauvigny-Mareu », sur la commune de Chauvigny, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 782,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 16 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien-l'Ars est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Julien-l'Ars, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 660 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,8 %), zones urbanisées (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le bourg de Saint-Julien-l'Ars se trouve sur la voie romaine de Poitiers à Bourges. Des traces de l'occupation à l'époque gallo-romaine y ont été découvertes (vestiges d'ateliers, une tête sculptée, etc.)[24]. Un cimetière mérovingien a été trouvé à proximité de l'église.

    Le château.

    Propriété des comtes de Poitiers, puis attribuée en 964 à l'abbaye de la Trinité de Poitiers[25], celle-ci la donna en fief à la famille de Cléret, qui construisit le château, et conserva le domaine jusqu'en 1687. Il passa ensuite à la famille de Saint-Varent.

    Avant 1790, Saint-Julien-l'Ars faisait partie de l'archiprêtré de Morthemer, de la châtellenie et de la sénéchaussée de Poitiers.

    Saint-Julien-l'Ars accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme la célébration de l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI[26].

    Un peu plus tard, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour La Réunion[27].

    Saint-Julien-l’Ars a fusionné avec la commune de Savigny-l’Évescault le . Celle-ci redevient commune distincte le [28].

    La gare de Saint-Julien-l'Ars est mise en service le par l'État, lorsqu'il ouvre à l'exploitation la section de Mignaloux-Nouaillé à Chauvigny[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? 1942 Alphonse Tranchand   Révoqué par le Gouvernement de Vichy[30]
    mars 1977 juin 1995 Raymond Courtois    
    juin 1995 mars 2008 Martine Daban PS-DVG Médecin psychiatre
    Conseillère régionale de Poitou-Charentes (2004 → 2010)
    mars 2008 septembre 2017[31]
    (démission)
    Jean-Hubert Brachet[32] DVG Retraité de la fonction publique
    septembre 2017[33] 21 décembre 2020[34]
    (décès)
    Dominique Eloy[35] DVG Chargé de communication numérique en disponibilité
    7 janvier 2021 En cours Béatrice Vanneste[36]   Directrice commerciale SNCF, ancienne première adjointe
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2019, la commune comptait 2 779 habitants[Note 8], en augmentation de 11,56 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    307293300652807805871984983
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0321 1061 2058278981 0691 1091 0941 183
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2231 2951 2591 1281 0761 0881 1251 1391 181
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1801 2371 4361 7241 9032 0612 1482 1702 395
    2015 2019 - - - - - - -
    2 5782 779-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 120 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département,68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[41], il n'y a plus que 17 exploitations agricoles en 2010 contre 30 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 2 121 hectares en 2000 à 1 799 hectares en 2010 dont 479 hectares sont irrigables. 55 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 27 % pour les oléagineux (surtout du colza et un peu de tournesol), 10 % pour le fourrage et 1 % reste en herbe. En 2000, 4 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne[41].

    Les élevages de bovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la Sainte Trinité d'or, accostée de deux chérubins du même, le tout soutenu d'une nuée d'argent.

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Julien-l'Ars et Chauvigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Julien-l'Ars et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Saint-Julien-l'Ars », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Bulletin du Pays chauvinois n° 15 (1976) et n° 28 (1990)
    25. ancienne « abbaye de la Trinité »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) de Poitiers. Archives départementales
    26. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 177
    27. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008
    28. Archives départementales de la Vienne
    29. « Ligne de Saint-Benoît au Blanc », sur Histoire de lignes oubliées..., (consulté le ).
    30. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    31. « Jean-Hubert Brachet : "Un vrai traumatisme" », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    32. Site de la préfecture de la Vienne (consulté le 10 mai 2008)
    33. Municipale partielle - Saint Julien l'Ars, sur vienne.gouv.fr, Préfecture de la Vienne.
    34. Delphine Léger, « Vienne : Dominique Eloy, le maire de Saint-Julien-l'Ars, est décédé », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    35. « Dominique Eloy élu maire de St-Julien l'Ars », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    36. Delphine Léger, « Béatrice Vanneste est la nouvelle maire de Saint-Julien-l'Ars », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    41. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    42. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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