Saint-Laurent-de-Muret

Saint-Laurent-de-Muret est une commune française, située dans l'ouest du département de la Lozère en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Laurent et Muret.

Saint-Laurent-de-Muret

Saint-Laurent-de-Muret et le pic de Mus.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes du Gévaudan
Maire
Mandat
Pierre Rey
2020-2026
Code postal 48100
Code commune 48165
Démographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
186 hab. (2019 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 11″ nord, 3° 12′ 27″ est
Altitude Min. 976 m
Max. 1 381 m
Superficie 46,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marvejols
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Peyre en Aubrac
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Saint-Laurent-de-Muret
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Saint-Laurent-de-Muret
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Saint-Laurent-de-Muret
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Laurent-de-Muret

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Bès, la Biourière, le Piou, le ruisseau de chanteperdrix, le ruisseau de Sinières et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de l'Aubrac, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « plateau de l'Aubrac ») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Laurent-de-Muret est une commune rurale qui compte 186 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 702 habitants en 1881. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Marvejols. Ses habitants sont appelés les Pontels ou Pontelles.

    Géographie

    Le truc de Muret (1 244 m).

    La commune est située dans le Massif central sur la bordure est de l'Aubrac. Le granite prédomine sur la grande majorité du territoire communal mais on compte ici ou là plusieurs petits sommets intéressants d'origine volcanique : le pic de Mus (1 324 m), le truc de Muret (1 244 m) et la Tournelle (1 208 m). Plus à l'ouest, on trouve deux montagnes tabulaires (mesas), buttes témoins de basalte dégagées par l'érosion glaciaire : la montagne de Rabios (1 353 m) — caractérisée au sud par un imposant éboulis et par une grosse pierre (moure dé l'égo - museau de la jument) en bordure du vide — et la montagne « Plô du Faltre » (1 380 m), point culminant de la commune.

    Plusieurs cours d'eau descendent de ces hauteurs et s'en vont rejoindre la Colagne : la Biourière au sud (belle vallée glaciaire), le Piou, le ruisseau de Saint-Laurent et le ruisseau de Sinières (par la Crueize), constituant de beaux parcours de pêche à la truite.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Laurent-de-Muret[1]
    Prinsuéjols-Malbouzon Le Buisson
    Marchastel Antrenas
    Les Salces Bourgs sur Colagne

    Habitat

    Le Mas et le Recoux.
    Ferme du Sauvage à droite et de Bonalbert à gauche. Village de Taupinet à l'arrière plan.

    L'habitat dans la commune est relativement dispersé et est composé de petits hameaux ou de fermes étagés à différentes altitudes.

    Au sud, dans la vallée du Piou, se trouvent les hameaux les moins élevés : le Mas (1 100 m), constitué autour d'une ancienne ferme fortifiée, et Vergnecroze (1 130 m). Un peu plus vers l'ouest, un peu à l'écart, se trouvent la ferme du Sauvage (1 180 m) et celle de Bonalbert (1 200 m).

    Plus à l'ouest, on trouve dans la vallée de la Biourière, au terminus de la route, le hameau très isolé de la Blatte (1 190 m). Quelques kilomètres au nord-est de la Blatte, se trouve Saint-Laurent (1 180 m), chef-lieu de la commune (église du XIXe siècle, mairie, salle des fêtes). Une petite route permet de rejoindre au sud-ouest Vergnecroze (par le col de Bourgnogue) et Muret (1 200 m) au pied de son rocher.

    En traversant la D 900 (qui va de Marvejols à Nasbinals), on peut rejoindre Chantegrenouille et le Chayla. En reprenant la D 900 vers Nasbinals, on arrive dans la partie haute de la commune : une petite route qui part sur la gauche mène à Chaldecoste (1 250 m) et Taupinet (1 300 m, plus haut hameau de la commune). Un peu plus loin sur la D 900, un peu à l'écart, se trouve Sinières (1 220 m, un des trois plus gros hameau de la commune avec Saint-Laurent et le Mas).

    Un peu plus loin, se trouve la ferme du Cornage. Enfin, après avoir passé un petit col sur la D 900, on prend une petite route à gauche qui mène à la ferme du Faltre (1 280 m), connue dans la région pour l'extrême rudesse de son climat. Juste au-dessus, la montagne « Plô du Faltre » est d'ailleurs le point culminant de la commune (1 380 m) et son buron est l'un des plus hauts de la région (1 356 m).Taupinet et le Faltre sont parmi les lieux de vie du Massif central qui connaissent les conditions climatiques les plus rudes en raison du froid hivernal, des vents violents et de l'enneigement très important (d'autres villages dans la Margeride ou au mont Mézenc sont aussi hauts en altitude mais le climat y est plus sec et leur position plus abritée).

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2],[3]. La commune fait partie du parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [4] et occupant une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[5],[6].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « plateau de l'Aubrac »[8], d'une superficie de 25 475 ha, un site comportant un grand nombre de tourbières abritant une flore très spécialisée : plantes carnivores, linaigrettes, et certaines espèces relictes des dernières glaciations comme la Ligulaire de Sibérie[9].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[10] :

    • le « Moulin de Beisserette » (6 ha), couvrant 3 communes du département[11] ;
    • la « plaine de la Tioule et montagne de Bonnecombe » (760 ha), couvrant 2 communes du département[12] ;
    • la « rivière du Bès au lieu-dit «La Grue« » (1 ha), couvrant 2 communes du département[13] ;
    • le « ruisseau du Piou » (4 ha)[14] ;
    • la « tourbière de Pougalion » (15 ha), couvrant 2 communes du département[15] ;
    • la « vallée de la Biourière » (1 339 ha), couvrant 3 communes du département[16] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] : le « plateau de l'Aubrac lozérien » (28 285 ha), couvrant 18 communes dont une dans le Cantal et 17 dans la Lozère[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-de-Muret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marvejols, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (53,8 %), forêts (24,1 %), prairies (18,7 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Politique et administration

    Liste des maires de Saint-Laurent-de-Muret
    Période Identité Étiquette Qualité
    1811 1817 Jean GRANIER    
    1817 1826 Dominique JARROUSSE    
    1826 1831 Jean-François REMIZE    
    1831 1847 Jean-Guillaume LAURENS    
    1847 1848 Jerôme SALLES    
    1848 1870 Jean-LAURENS    
    1870 1881 André LAURENS    
    1881 1885 Paulin JAILLET    
    1885 1912 Jean-Baptiste DELPRAT    
    1912 1925 Xavier TIEULON    
    1925 1929 Justin GRANIER    
    1929 1959 Léopold GELY    
    1959 1965 Raymond GERBAL    
    1965 1983 Albert LAURENS    
    1983 2008 Louis BRASSAC    
    2008 2020 Jean-François de JABRUN    
    2020 En cours Pierre REY    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2019, la commune comptait 186 habitants[Note 6], en diminution de 0,53 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600252463480513650645676590
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    615634601659671702671600597
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    616575544502521563603571332
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    304277218188182164169170187
    2018 2019 - - - - - - -
    183186-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 80 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 193 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 140 [I 4] (20 420  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,1 %6,1 %6,1 %
    Département[I 7]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 114 personnes, parmi lesquelles on compte 82,5 % d'actifs (76,3 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 17,5 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Marvejols, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 47 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,7 %[I 10].

    Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 33 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités

    L'économie est entièrement tournée vers l'agriculture et en particulier l'élevage bovin pour la viande (production de broutards et de génisses). La race Aubrac est prédominante dans les exploitations. Celles-ci, beaucoup moins nombreuses qu'il y a 30 ans, sont par contre plus grandes qu'autrefois et se caractérisent par des bâtiments de stabulation imposants.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et Monuments

    Notre-Dame-de-la-Montagne au sommet du pic de Mus.
    • Église Saint-Laurent de Saint-Laurent-de-Muret datant du XIXe siècle.
    • Statue de Notre-Dame-de-la-Montagne sur le pic de Mus (lieu d'un ancien pèlerinage).
    • Four à pain restauré de Taupinet avec sa fontaine et son auge. Des corps de ferme y ont été mis en valeur à proximité du four. Un fleurissement judicieux aux alentours du four enjolive le tout.

    Personnalités liées à la commune

    Au village du Mas, a vécu l'écrivain Jean Rustique (1889-1978), pseudonyme littéraire de Louis Castou. Né à Sainte-Lucie, commune de Saint-Léger-de-Peyre, cet auteur s'est profondément attaché à ce coin de Lozère et a écrit de nombreuses pages sur les gens du pays, la nature, la pêche ou la chasse dans un style qui fait un peu penser à Jean Giono ou Marcel Pagnol. Jean Rustique écrit dans un français mâtiné de nombreuses expressions occitanes ou dérivées de l'occitan (comme dans cette phrase tirée d'un texte paru dans le Chasseur français en  : « Espérez un peu, monsieur le Curé, que je pose cette bête sur la table ! »[25]). Ses œuvres les plus connues sont : De Garabit à Mur-de-Barrez.. sans âne (1928), Pays d'Aubrac (1931), Marie-Hélène (1939), Le Fil d'Ariane (1968?).

    En 1849 à Saint-Laurent-de-Muret, vécut le célèbre rebouteux Pierrounet où il travaillait en tant que cantalès. Il a sa statue à Nasbinals où il a exercé plus tard. L'histoire dit qu'il aurait appris à soigner en s'exerçant sur les veaux.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. Décret du 23 mai 2018 portant classement du parc naturel régional de l'Aubrac (région Occitanie)
    5. « Pourquoi un PNR sur l'Aubrac ? », sur https://www.parc-naturel-aubrac.fr/ (consulté le )
    6. « PNR de l'Aubrac - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Laurent-de-Muret », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9101352 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Laurent-de-Muret », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF le « Moulin de Beisserette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « plaine de la Tioule et montagne de Bonnecombe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « rivière du Bès au lieu-dit «La Grue« » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « ruisseau du Piou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF la « tourbière de Pougalion » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « vallée de la Biourière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « plateau de l'Aubrac lozérien » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    25. Jean Rustique, « Confiteor », Le Chasseur français, no 652, , p. 332 (lire en ligne).
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