Saint-Loup-sur-Semouse
Saint-Loup-sur-Semouse est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Lupéens. Elle fait partie de la Communauté de communes de la Haute Comté.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Loup.
Saint-Loup-sur-Semouse | |||||
Le grand pont sur la Semouse | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Lure | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Haute Comté | ||||
Maire Mandat |
Thierry Bordot 2020-2026 |
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Code postal | 70800 | ||||
Code commune | 70467 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lupéens | ||||
Population municipale |
3 150 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 190 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 53′ 08″ nord, 6° 16′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 231 m Max. 315 m |
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Superficie | 16,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Loup-sur-Semouse (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Saint-Loup-sur-Semouse (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Loup-sur-Semouse (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | saint-loup.eu | ||||
C'est la neuvième ville la plus peuplée du département après Échenoz-la-Méline.
La ville est classée cité des meubles grâce à l'entreprise Parisot.
Géographie
Localisation
La ville de Saint-Loup-sur-Semouse est située dans le nord du département de la Haute-Saône, non loin de la limite sud du département des Vosges.
Elle est implantée dans une large plaine (à environ 250 m d'altitude), à la confluence de trois rivières : la Semouse, l'Augronne et la Combeauté. Ces rivières ont participé au développement de la ville au cours de son histoire.
Alors que l'Augronne rejoint la Semouse en amont du centre-ville, la Combeauté la rejoint quelques kilomètres en aval.
Elle est située à 11 km à l'ouest de Fougerolles, 12 km au nord-ouest de Luxeuil-les-Bains, 18 km au sud de Bains-les-Bains et Plombières-les-Bains (Vosges) et à 32 km de la préfecture haute-saônoise, Vesoul
Quartiers
Cette ville est divisée en 4 quartiers :
- Le Vieux Château : il s'agit du quartier le plus moderne de Saint-Loup, ayant moins de 30 ans. Il est toujours en expansion.
- Le Mont Pautet : établi sur la colline qui lui donnera son nom, ce quartier est caractérisé par sa mixité sociale : environ la moitié de la population est d'origine étrangère.
- Le centre-ville : il s'agit du quartier le plus peuplé de Saint-Loup, on y trouve les principaux services (mairie, poste, et de nombreux commerces) ainsi que le château des Bouly, qui précède le parc public portant le même nom.
- Le Chanois : c'est dans ce quartier sans histoire que vivent quelques Lupéens avec son école et sa richesse multiculturelles.
Plusieurs versions contradictoires sur l'histoire ancienne de Saint-Loup existent :
- Saint-Loup existait déjà sous l'Antiquité sous le nom de Grannum. Lorsque Attila envahit la Gaule en 451, il détruisit la ville. Saint Loup, évêque de Troyes, ayant arrêté les progrès d'Attila, il fut vénéré par les survivants de Grannum qui se mirent sous sa protection. De là date le nom de Saint-Loup donné à ce bourg.
- Saint-Loup ne fut pas la ville gallo-romaine de Grannum. Vers les IVe et Ve siècles, il n'y avait pas de « ville » : c'est une multitude de domaines qui s’éparpillaient entre Luxeuil et Corre. Au VIIe siècle, Colomban s’installe dans le désert de Luxeuil. Les moines commencent à défricher et une nouvelle population s’installe progressivement. Il n’y a aucune grande ville dans la Haute-Saône à cette époque. Au Moyen Âge, Saint Loup aurait été popularisé vraisemblablement à cause de son nom. À cette époque, les loups étaient considérés comme le diable en personne, le nom de la ville aurait donc un rapport avec l'animal qui habitait dans les forêts environnantes.
Au Moyen Âge, la terre de Saint-Loup est tiraillée entre Bourgogne et Lorraine. Au XIIIe siècle, Saint-Loup appartient à la Maison de Faucogney. En 1477 : Saint-Loup devient « Terres de surséance ».
À la Révolution de 1789, Saint-Loup a pour curé Jean-Joseph Claude Descharrières. Ce curé de choc, originaire du Val d'Ajol, est un ancien aumônier militaire. Il organise une milice pour défendre le bourg, mais il ne pourra empêcher le saccage du greffe et de son presbytère par les « sans-culottes » de Fougerolles et Corbenay venus détruire les titres de propriétés seigneuriaux.
Le nom de la ville a connu des variantes « officielles » ou « usuelles » : de Saint-Loup à Saint-Loup les Luxeuil (sur la carte de Cassini, en 1760), en passant par Saint-Loup-sur-Augronne (avec des variantes de Augronne : Eaugronne, Augrogne) ou encore : Saint-Loup en Vôge, le nom officiel de Saint-Loup-sur-Semouse serait fixé par une loi de 1801.
Urbanisme
Typologie
Saint-Loup-sur-Semouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Loup-sur-Semouse, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 3 639 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Loup-sur-Semouse, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), prairies (26,1 %), zones urbanisées (12,9 %), eaux continentales[Note 3] (6,9 %), terres arables (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), cultures permanentes (0,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle est le chef-lieu depuis 1801 du canton de Saint-Loup-sur-Semouse dont elle est désormais le bureau centralisateur. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le territoire du canton s'est agrandi, passant de 13 à 23 communes[11].
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes de la Haute Comté, créée le .
Dans le cadre des prescriptions du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé en par le préfet de Haute-Saône, et qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes des belles sources, de la communauté de communes Saône et Coney et de la communauté de communes du val de Semouse[12], la commune est le siège de la communauté de communes de la Haute Comté, créée le .
Liste des maires
À la suite du décès d'André Masson, deux élections partielles (une cantonale et une municipale) sont organisées fin 1987 et voient dans les deux cas la victoire du socialiste Jean Gallaire et ce, dès le premier tour[24],[25].
En 2004, André Rouiller (UMP) succède à Christiane Jansen (UMP apparentée), décédée en fonction.
Puis, en , le maire apparenté socialiste élu deux ans plus tôt, Michel Leroy, décède et est remplacé par son premier adjoint Thierry Bordot. Réélu en 2014 et 2020, ce dernier est le maire actuel de la commune.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2019, la commune comptait 3 150 habitants[Note 4], en diminution de 3,64 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Immigration
Les données d'immigration sont à lire en sources[30].
Au XXIe siècle, l'immigration de populations des pays de l'Est européen est une donnée nouvelle[31].
Festivités
- Depuis 1928, se tient à Saint-Loup la Foire exposition de Saint-Loup-sur-Semouse[32].
- Fête patronale :
- Le slalom des Deux-Ponts, une course automobile, se tient chaque année.
Économie
Saint-Loup-sur-Semouse possède une vocation industrielle affirmée dès le XVIIe siècle par la présence de tanneries, clouteries et ateliers de tissage.
Le XIXe siècle accueille les artisans de la chaussure, du chapeau de paille et de la broderie.
Saint-Loup est le siège du groupe français de fabrication de meubles Parisot, fondé en 1936. Saint-Loup est dite Cité du meuble depuis qu'en 1860 s'est créée l'industrie de la chaise et du siège, sous le nom d'Usines réunies.
Un atelier de meubles d'art, ouvert en 1931, est lui aussi toujours en activité sous la direction du petit-fils du fondateur.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Le Château des Bouly (ou château de Malliard) est classé monument historique. Il fut construit en 1775 par Jean-Baptiste Bouly, maître de forge de la Baronnerie[33].
- L'église de Saint-Loup fut inaugurée le . Elle recèle un autel en marbre du XVIe siècle, ainsi que des toiles et des statues des XVIIe et XVIIIe siècles.
- La villa des Pervenches.
- Le Grand Pont qui date du XVIIIe siècle.
- Le Pont d'Avignon a d’abord été construit en bois en 1770 ; le pont de fer qui l’a remplacé date de 1824 et est en métal œuvré de la société Bourgeois Caland.
- En 1822, un quai est construit avec des fascines. En 1824, ce quai provisoire est remplacé par un quai en pierre.
- La source du Planey à Anjeux est, de par sa taille, unique dans la Haute-Saône : elle est de type résurgence ou source vauclusienne : c'est un bon but de promenade.
Personnalités liées à la ville
- Mickaël Azouz, maître-chocolatier né à Vesoul. En 1972, il s'installe à Saint-Loup-sur-Semouse.
- Auguste Cardot, journaliste et politicien, né à Saint-Loup-sur-Semouse en 1858
- Jean-Baptiste Demandre, homme d'Église né le à Saint-Loup-sur-Semouse
- Joseph-Albert Deport (1846-1926), né à Saint-Loup-sur-Semouse, un des inventeurs du canon de 75
- Jean-Joseph Claude Descharrières (1744-1831), originaire du Val d'Ajol (au hameau Les Charrières), était curé à Saint-Loup lors de la révolution de 1789, il a organisé une milice pour défendre le bourg.
- Augustin Devoille, né à Saint-Loup-sur-Semouse le et mort dans cette même commune le 28 sept 1870 est un prêtre du diocèse de Besançon, un poète et romancier, un historien et essayiste. Il a aussi publié sous le nom de Mathieu Charrue.
- Henry Guy, homme politique décédé à Saint-Loup-sur-Semouse
- Louis Lebrun, homme politique né à Saint-Loup-sur-Semouse
- Gaston Marquiset (1826-1889), né à Saint-Loup-sur-Semouse, homme politique
- Laurence Parisot (née le à Luxeuil-les-Bains en Haute-Saône), chef d'entreprise, PDG de l'Institut français d'opinion publique (IFOP) et présidente du Mouvement des entreprises de France (MEDEF) de 2005 à 2013. Héritière du groupe Parisot (1er industriel du meuble en France) installé à Saint-Loup-sur-Semouse.
- Armand Petitjean (1884-1970), créateur de la marque de cosmétiques Lancôme.
- Marguerite Perney (1900-1994), artiste lyrique, auteure dramatique, compositrice, née à Saint-Loup-sur-Semouse en 1900 et décédée à Antony (Hauts-de-Seine) en 1994.
- E. Ravignat (1803-1875) illustrateur
- Loup de Troyes (383-478 ou 479).
Héraldique
Blason | Parti: au 1er de gueules à trois bâtons d’or, au 2e de sinople à deux gouges d’or passées en sautoir; le tout posé sur un pont de gueules maçonné de sable lui-posé sur une rivière d’azur et formant une champagne. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Loup-sur-Semouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Loup-sur-Semouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5-6.
- « Les maires de Saint-Loup-sur-Semouse », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Michel Leroy, « Les maires de Saint-Loup-sur-Semouse », Histoire de Saint-Loup-sur-Semouse, Mon cahier du conseil municipal de Saint-Loup-sur-Semouse, (consulté le ).
- Fiche généalogique de Jean-Baptiste DUCHON, sur geneanet.org
- Notice JACQUEY Albert, version mise en ligne le 23 avril 2010, dernière modification le 22 mars 2018
- Fiche généalogique d'Abel Camille Louis GRANDHAYE, sur geneanet.org
- « À la memoire d'André Masson », Bulletin municipal de la commune, 1987
- « Jean-Louis Mariey, ancien maire, n’est plus », L'Est Républicain, (lire en ligne)
- « La liste de droite, conduite par Christiane Jansen (RPR), a fait campagne sur le thème de la sécurité, dans cette ville à fort pourcentage de population immigrée. »
- « Décès du maire de Saint-Loup : Michel Leroy avait 61 ans », La Presse de Vesoul, (lire en ligne, consulté le ).
- « Thierry Bordot, nouveau maire de Saint-Loup : Il succède à Michel Leroy, décédé », La Presse de Vesoul, (lire en ligne, consulté le ).
- « Thierry Bordot, élu maire pour un troisième mandat », sur L'Est républicain, (consulté le ).
- « Une élection cantonale : Victoire du PS au premier tour », Le Monde, (lire en ligne)
- « Une élection municipale », Le Monde, (lire en ligne)
- « Charte du jumelage entre saint-loup/semouse et Maulburg », sur www.saint-loup.eu.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Population de Saint Loup sur Semouse (code postal 70... », sur www.linternaute.com (consulté le ).
- lapressedevesoul.com, « Une famille kosovare arrêtée à Saint-Loup - La Presse de Vesoul », sur www.lapressedevesoul.com (consulté le ).
- « Historique | ».
- « Château des Bouly », notice no PA00102268, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Syndicat d'initiative lupéen
- Communauté de communes du Val de Semouse
- Saint-Loup-sur-Semouse sur le site de l'Institut géographique national
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