Saint-Martin-aux-Bois

Saint-Martin-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.

Saint-Martin-aux-Bois

La mairie, dans la cour de l'école
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Alain Lebrun
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60585
Démographie
Population
municipale
283 hab. (2019 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 18″ nord, 2° 34′ 19″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 134 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Oise
Saint-Martin-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Saint-Martin-aux-Bois
Liens
Site web https://www.saintmartinauxbois.fr/

    Géographie

    Description

    Paysage du village : la rue de l'Abbaye.

    Saint Martin aux Bois est un petit village rural du Plateau Picard, situé à km de Maignelay-Montigny, à 15 km de Saint-Just-en-Chaussée et à 25 km de Compiègne.

    Il est aisément accessible depuis l'autoroute A1.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Martin-aux-Bois
    Maignelay-Montigny Coivrel Montgerain
    Ravenel Ménévillers
    Léglantiers Montiers

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 669 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86 %), forêts (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones urbanisées (2,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    À l'origine, la localité s'appelait Ruricourt, Ruvicourt, Rurecourt et était un hameau de Vaumont. Peu à peu, sa dénomination a évolué[21] et le nom de Saint-Martin-aux-Bois apparaît dans une lettre de Philippe le Bel[réf. nécessaire].

    Histoire

    À la fin du XIe siècle, une communauté de chanoines réguliers de saint Augustin est venue fonder l'abbaye Saint-Martin de Ruricourt, dite "aux Bois" (Sancti Martini de Ruricorte alias in Bosco). Entre 1245 et 1260, l'église abbatiale est construite[22]. Elle était au XIIIe siècle une des plus riches d'Île-de-France, mais a été ruinée par la guerre de Cent Ans[23].

    En 1445, un incendie allumé par les Anglais détruit une partie des bâtiments monastiques[22].

    Henri IV aurait défini l’abbatiale comme “la plus belle lanterne de son royaume”[réf. nécessaire], bien qu'elle n'ait jamais été achevée. La façade n'est ainsi qu'un mur de soutènement provisoire[21].

    En 1644, les chanoines de Saint-Augustin sont remplacés par les génovéfains, puis l'abbaye est cédée en 1675 au collège de Clermont à Paris. L'année 1677 marque l'extinction du titre d'abbé de Saint-Martin, puis, lors de la Révolution française, en 1793, les bâtiments abbatiaux sont vendus comme biens nationaux et démolis[21].

    Le déboisement opéré pour permettre la construction des bâtiments abbatiaux et de ses dépendances fait que la commune porte mal son nom et 80 % de la surface boisée a disparu au fil des ans[21].

    Première Guerre mondiale

    Le , le général Anthoine fit à Saint-Martin-aux-Bois une revue du 10e corps d'armée, qu'il commandait[24],[25],[26].

    Une partie des œuvres d'art de l'abbaye a été évacuée en par l'armée française afin de les préserver[27],[28],[29],[30],[31],[32],[33]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Maignelay-Montigny[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Estrées-Saint-Denis..

    Intercommunalité

    Saint-Martin-aux-Boix est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 1977 Henri Leblond    
    mars 1977 1994 Pierre Guyard[36]   Directeur général adjoint des services du conseil régional de Picardie
    juin 1995 mars 2001 Didier Warmé    
    mars 2001 mars 2014 Bernard Thiou[37] SOC[38] Instituteur et journaliste
    mars 2014[39] En cours
    (au 14 avril 2021)
    Alain Lebrun   Cheminot
    Réélu pour le mandat 2020-0026[40].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2019, la commune comptait 283 habitants[Note 7], en diminution de 2,75 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    358348371393404411405396412
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    390378370364388357336344349
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    333321323261252263259274266
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    251218225220245282293294294
    2017 2019 - - - - - - -
    287283-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 145 hommes pour 140 femmes, soit un taux de 50,88 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,7 
    4,1 
    75-89 ans
    5,0 
    13,2 
    60-74 ans
    17,2 
    25,5 
    45-59 ans
    23,5 
    18,4 
    30-44 ans
    16,9 
    22,5 
    15-29 ans
    17,0 
    16,2 
    0-14 ans
    19,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Manifestations culturelles et festivités

    Les premières fêtes médiévales de l'abbaye ont eu lieu les 21 et [46], et les secondes le samedi 11 et dimanche 12 septembre 2021, avec une dizaine de troupes et un tournoi d'archerie[47]

    Économie

    En 2016, le seul commerce de la commune est le Restaurant de l’abbaye[48], bistrot centenaire de Saint-Martin-aux-Bois, labellisé bistrot de pays et recommandé par le Guide du routard, le Club des bons vivants et l’association le Porc d’antan[49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'imposante façade de l'église abbatiale.
    L'aérien chevet de l'église abbatiale.

    Saint-Martin compte un monument historique sur son territoire, la très imposante abbaye de Saint-Martin-aux-Bois, considérée comme un chef-d'œuvre de l'art gothique, et qui est longue de 31 mètres, large de 18,45 mètres et haute de 27 m sous les voûtes[50],[51] (dont l'église est classée monument historique par la liste de 1840, le mur d'enceinte, la ferme et le colombier sont classés en 1984 et la porte fortifiée ainsi que les vestiges du cloître sont inscrits en 1984[52]) : l'église abbatiale du XIIIe siècle faisait partie d'une abbaye fondée au XIe siècle. L'église mesure 31 mètres de long et 26 mètres de haut sous les voûtes.

    Le chœur, à cinq travées terminées par un chevet à sept pans, est fait d'une immense verrière en grisaille de 20 m de hauteur, qui serait une réplique de celles de la Sainte-Chapelle de Paris[53].

    Le mobilier comporte des stalles sculptées datant de 1498 et 1501, avec des miséricordes et des appui-mains sculptées représentent des monstres ou des animaux jouant de la musique, ainsi qu'un bas-relief en marbre blanc de saint Martin datant de 1344[54]. À l'origine appelée « abbaye de Saint-Martin-de-Ruricourt », elle fut construite au XIIIe siècle pour les chanoines de Saint-Augustin, et prend le nom de Saint-Martin-aux-Bois vers la fin de ce siècle. L'ancienne entrée de l'abbaye avec mâchicoulis existe encore avec sa porte charretière et sa porte piétonne, ainsi que des bâtiments abbatiaux, transformés à usage agricole.

    Le Galata, datant des XIIIe et XVe siècles, est un long bâtiment à étage possédant de nombreux contreforts. Il devait autrefois servir de réfectoire, de caves et probablement de maison d’hôte. À partir de 1492 à jusqu’en 1931, il sera la demeure de l’abbé commendataire de l’abbaye. C'est une propriété privée[55]

    Le pigeonnier carré, transformé en une chambre d’hôte et renommé le « colombier[56] ».

    L'abbaye de Saint-Martin-aux-Bois est fermée au public. La rénovation du bâtiment et notamment des verrières est engagée en 2020, mais le budget de cette réhabilitation a été difficile a réunir par cette toute petite commune, propriétaire de l’édifice, qui a bénéficié de subventions de l'état et du département, ainsi que de mécénat d'entreprises[57],[53],[58]

    On peut également noter :

    • Le "Jardin de Loisirs de l'Abbaye" : réalisé en 2002 par l'architecte-paysagiste Sophie Alexinsky (agence « SA-paysage »). La commune souhaitait réaliser un programme sportif sur la prairie de deux hectares attenante à l'édifice. Le jardin de loisirs intègre des aires de jeux dans une composition contemporaine sur le thème du jardin de cloître.
    • Le tour de ville
    • La mare, appréciée des pêcheurs

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbé Jean de Rouvilliers, qui offre, en 1260, le vitrail du chœur[22].
    • L'abbé Gallon de Montigny, mort en 1271, enterré devant le maître-autel dans le chœur[22].
    • Guy de Baudreuil (1492-1531), premier abbé commendataire, nommé en 1492[22].
    • Jean-François Lemaire (né à Saint-Martin en 1775, mort en 1844), chef d'escadron, lieutenant aux grenadiers à cheval de la Garde impériale, participa à toutes les campagnes de 1793 à 1814, chevalier de la Légion d'honneur[59].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Saint-Martin-aux-Bois », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Martin-aux-Bois et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Martin-aux-Bois et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Saint-Martin-aux-Bois et son abbaye du XIIIe siècle », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510, , p. 16.
    22. « Église abbatiale de chanoines réguliers de saint Augustin Notre-Dame », notice no IA60001566, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Abbaye de Saint-Martin-aux-Bois », sur http://data.bnf.fr (consulté le ).
    24. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois (près). Revue du 10e CA par le général Anthoine ; les drapeaux », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    25. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois (près). Revue du 10e CA par le général Anthoine : le général remettant des décorations », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    26. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois (près). Revue du 10e CA par le général Anthoine ; le général pendant le défilé », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    27. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois. Évacuation des œuvres d'art. L'église ; descente de la statue de la Vierge placée au-dessus de la porte de la sacristie », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    28. Section photographique de l'armée, « Photo : Compiègne. Au palais : dépôt d'œuvres d'art : œuvres provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    29. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Miséricorde provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    30. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Miséricorde, provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    31. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Miséricorde, provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    32. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Accotoir de stalle (XIVe siècle) provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    33. Section photographique de l'armée, « Photo : Paris. Au Panthéon. Dépôt d'objets d'art évacués de la zone des armées. Statue en pierre, provenant de l'église de Saint-Martin-aux-Bois », Fonds des Albums Valois - Paris (Seine). Documents 3, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. « Les maires de Saint-Martin-aux-Bois », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    36. « Hommage à Pierre Guyard », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    37. « Bernard Thiou : 40 ans d’histoire avec l’abbaye », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510, , p. 20 « À 68 ans, l’ancien maire du village de 2001 à 2014, en est encore aujourd’hui le premier adjoint. Cet instituteur retraité est arrivé à Saint-Martin-aux-Bois, il y a 40 ans : « Je revenais d’Agadir au Maroc où j’avais fait de l’enseignement en coopération pendant 4 ans, je suis arrivé ici dans la France rurale et profonde. J’ai été très bien accueilli par les habitants et notamment Pierre Guyard (ndlr : l’ancien maire), c’est ce qui m’a tout de suite plu dans le village : il y a un vrai sens de l’accueil » ».
    38. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 9782352581604, lire en ligne).
    39. « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283, , p. 21.
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    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    46. Carlos Da Silva, « Une première fête médiévale à Saint-Martin-aux-Bois : Sollicitée par la confrérie du Cerbère, la commune a répondu favorablement à l’organisation d’une fête médiévale autour de l’abbaye », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    47. Lucien Djani, « La Médiévale de retour les 11 et 12 septembre prochains à Saint-Martin-aux-Bois : L’édition 2020 ayant été annulée, les organisateurs n’ont pas baissé les bras et proposeront la Médiévale sur le site de l’abbatiale. L’opération est portée par la municipalité, le comité des fêtes, l’association des Amis de l’abbaye et la Confrérie du Cerbère », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    48. Site du Restaurant de l'abbaye
    49. Élisabeth Gardet, « Saint-Martin-aux-Bois : le Restaurant de l’abbaye, « c’est un peu comme chez Mamie », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    50. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois. L'église : intérieur ; Pieta », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    51. Section photographique de l'armée, « Photo : Saint-Martin-aux-Bois. L'église : porte de la sacristie surmontée d'une statue de la Vierge », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    52. « Abbaye de Saint-Martin-aux-Bois », notice no PA00114868, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. Simon Gourru, « Son abbaye, un «cadeau empoisonné» pour ce petit village de l’Oise : Chef-d’œuvre de l’art gothique, son abbaye du XIIe siècle est difficile à entretenir pour la mairie de Saint-Martin-aux-Bois, commune de 300 habitants. Si des travaux ont pu débuter sur les verrières de 20 mètres de haut, il aura fallu dix ans pour boucler le financement », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    54. « Trois richesses de la commune : Les stalles », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510, , p. 18.
    55. « Trois richesses de la commune : Le Galata », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510, , p. 18.
    56. « Trois richesses de la commune : Le pigeonnier carré », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3510, , p. 18.
    57. Lucien Djani, « L’abbatiale de Saint-Martin-aux-Bois entre les mains de maîtres-artisans jusqu’en 2022 : Le confinement a retardé l’avancée des travaux, mais l’équipe de l’abbatiale espère pouvoir reprendre les visites dès 2022 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    58. Lucien Djani, « Des spécialistes au chevet de l’abbatiale de Saint-Martin-aux-Bois : La rénovation de l’imposante bâtisse du XIIIe siècle est prise en charge par des compagnons ou maître-artisans rompus aux techniques de restauration des monuments anciens. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    59. « Jean-François Lemaire », base Léonore, ministère français de la Culture.
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