Saint-Martin-le-Beau

Saint-Martin-le-Beau est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.

Saint-Martin-le-Beau
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes de Bléré Val de Cher
Maire
Mandat
Alain Schnel
2020-2026
Code postal 37270
Code commune 37225
Démographie
Gentilé Saint-martinois
Population
municipale
3 181 hab. (2019 )
Densité 173 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 24″ nord, 0° 54′ 37″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 108 m
Superficie 18,44 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bléré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-le-Beau
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-le-Beau
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Saint-Martin-le-Beau
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Saint-Martin-le-Beau
Liens
Site web www.saintmartinlebeau.fr

    Ses habitants sont appelés les Saint-martinois.

    Géographie

    Localisation et paysages

    Saint-Martin-le-Beau est située à 20 km à l'est de Tours, entre le Cher et la forêt d'Amboise.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Saint-Martin-le-Beau.

    La commune est bordée sur son flanc sud par le Cher (1,846 km) qui constitue sa limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 16,89 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Filet (4,553 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

    Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[3]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5],[6]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant [7],[8]. Sur le plan piscicole, le Cher est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].

    Le Filet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune de Dierre et se jette dans le Cher à Tours, après avoir traversé 10 communes[10]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[7]. Sur le plan piscicole, le Filet est également classé en deuxième catégorie piscicole[9].

    Trois zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « les Communs », « la vallée du Ruisseau de Battereau et ses étangs » et « la vallée du Ruisseau du Filet »[11],[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-le-Beau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[16] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,2 %), cultures permanentes (28 %), terres arables (12,2 %), zones urbanisées (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), prairies (5,3 %), eaux continentales[Note 7] (1,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Martin-le-Beau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et le Filet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2016 et 2018[25],[23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-le-Beau.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 369 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1221 sont en en aléa moyen ou fort, soit 89 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1991, 1992, 1993 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Sanctus Martinus de Bello au XIe siècle[28].

    Il s'agit d'une des nombreuses communes françaises dont l'église est consacrée à saint Martin et dont elle a pris le nom. La légende locale n'a certainement aucun fondement étant donné la fréquence de cette dédicace en France.

    Lors de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Le Beau-sur-Cher[29].

    Histoire

    Selon une légende, Saint-Martin-le-Beau remonte aux incursions des Vikings : une bataille sanglante aurait opposé en 903 les Tourangeaux aux hommes du Nord, après que ces derniers ont miraculeusement fui Tours à la vue du reliquaire de saint Martin. Pour rendre grâce à celui-ci, les Tourangeaux victorieux bâtirent une chapelle en son honneur.

    En 1044 eut lieu la bataille de Nouy, situé sur la commune, entre Thibaud III de Blois et Geoffroy II Martel qui fit tomber la Touraine dans le giron de l'Anjou.

    La chapelle d'origine fut remplacée par une église romane au XIIe siècle, agrandie ensuite au XVIe siècle. Le , l'église est fortement endommagée à la suite d'un incendie volontaire[30]. Réparée, elle rouvre au culte en [31].

    Durant l'Occupation, la ville se trouvait sur la ligne de démarcation. Raymonde Sergent, qui tenait un café dans le village, fit passer la ligne à des dizaines de personnes. Arrêtée, elle fut déportée à Auschwitz où elle mourut en [32].

    Héraldique

    Les armes de Saint-Martin-le-Beau se blasonnent ainsi :

    De gueules à la châsse de Saint Martin d'or posée sur un brancard du même, à la champagne cousue de sinople chargée d'une grappe de raisin tigée et feuillée aussi d'or[33].


    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1959 Georges Paul Brochard   Bourrelier
    1959 1971 Marcel Habert   Viticulteur
    1971 1977 Charles Gérard Delétang   Viticulteur
    1977 1989 Marcel Habert   Viticulteur
    1989 2001 Pierre Rabier    
    03/2001 2008 Alain Kerbriand-Postic PS Conseiller général (2004-2015)
    03/2008 mai 2014 Didier Avenet SE Viticulteur
    05/2014 mai 2020 Angélique Delahaye UMP-LR Agricultrice
    05/2020 En cours Alain Schnel SE  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2019, la commune comptait 3 181 habitants[Note 8], en diminution de 0,44 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2061 2981 3231 4451 4061 4221 3451 3531 379
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3401 3411 2971 3231 3311 3681 4081 2961 288
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2071 2391 2121 1331 1271 0301 0671 1591 130
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1061 2201 4032 0512 4272 4812 6062 9853 148
    2019 - - - - - - - -
    3 181--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Saint-Martin-le-Beau se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Pierre-des-Corps.

    L'école maternelle Dolto et l'école élémentaire La Bergeronnerie accueillent les élèves de la commune.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Plaque de rue en l'honneur de Raymonde Sergent.
      Raymonde Sergent, née Delalande, y est née en 1903, dans une famille d'agriculteurs. En 1928, elle y prend, avec son mari Paul Sergent, le café-hôtel de l'Union, après avoir travaillé plusieurs années avec lui dans des restaurants ouvriers parisiens. Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que son mari a été fait prisonnier, elle entre dans la Résistance, faisant passer des clandestins en zone libre. Les Allemands l'arrêtent une première fois en 1941, mais la libèrent faute de preuves, puis deux fois en 1942. La troisième est la dernière : elle sera déportée le du camp de transit de Compiègne vers Auschwitz. Ce convoi du fut un double transport emmenant vers des camps de concentration et d'extermination nazis : 230 femmes, comptant parmi les « 31 000 »[38] et 1 466 hommes, parmi les « 45 000 »[38]. Raymonde Sergent meurt à Auschwitz en 1943.

    Une rue de son village natal porte maintenant son nom.

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    3. Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Saint-Martin-le-Beau », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    5. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    6. « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Fiche Sandre - le Filet », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    11. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    12. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Martin-le-Beau », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, Formations dialectales (suite) et françaises : étymologie de 35000 noms de lieux, Librairie Droz, Genève, p. 1560
    29. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : Communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 301 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 213.
    30. Ivan Roullet, « Nuit de destruction à Saint-Martin-le-Beau », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
    31. « L'église de Saint-Martin-le-Beau renaît de ses cendres », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
    32. Éric Alary, La ligne de démarcation, Paris, Perrin, , 429 p., p. 143.
    33. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Association Mémoire Vive, « Présentation de Mémoire Vive des convois des 45000 et des 31000 d’Auschwitz-Birkenau »

    Voir aussi

    Bibliographie

    Monographies
    • Saint-Martin-le-Beau, Village de Touraine dans l'Histoire de France, Robert Uhart, 1re édition imprimée pour le compte de l'auteur ; 2e édition : Éditions P.S.R. - La Roche-Rigault, 1990 (ISBN 2-908571-00-5)
    • Naître à Saint-Martin-le-Beau aux 18e et 19e siècles, Jean-François Badier, Auto-édition, 2009 (ISBN 978-2-7466-1430-7)
    • Maires d'Indre-et-Loire - Saint-Martin-le-Beau, Montlouis-sur-Loire, Amboise, Lussault-sur-Loire, Mosnes, Saint-Pierre-des-Corps..., Jean-François Badier, Auto-édition, 2013 (ISBN 978-2-9546-0290-5)
    • La famille Bougrier de Saint-Martin-le-Beau, notables tourangeaux entre 19e et 20e siècle, Jean-François Badier, Auto-édition, 2022 (ISBN 978-2-9546-029-1-2)

    Article connexe

    Liens externes

    • Portail de l'Indre-et-Loire et de la Touraine
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.