Saint-Pandelon
Saint-Pandelon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine. Elle appartient à la région historique de la Gascogne.
Saint-Pandelon | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Dax | ||||
Maire Mandat |
Christian Carrère 2020-2026 |
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Code postal | 40180 | ||||
Code commune | 40277 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Pandelonnais | ||||
Population municipale |
711 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 77 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 40′ 14″ nord, 1° 02′ 15″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 61 m |
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Superficie | 9,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Pouillon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Dax (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dax-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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L'agriculture y représente une activité économique importante.
Géographie
Localisation
Commune de Gascogne, historiquement rattachée à la Chalosse, son paysage vallonné marque le tout début des contreforts des Pyrénées
Saint-Pandelon est à la fois proche des plages (30 km), de la montagne (les Pyrénées sont à 40 km) et de la forêt des Landes. Elle est adjacente à Dax, et située à 40 km de Bayonne, 50 km de Mont-de-Marsan, 80 km de Pau et d'Irún, 100 km de Donostia/Saint-Sébastien, 150 km de Bordeaux et 700 km de Paris. La commune française la plus éloignée de Saint-Pandelon est Lauterbourg située à 919,5 km à vol d'oiseau.
Mimizan (60 km)[1] | Bordeaux (130 km) | Paris (630 km) | ||
Océan Atlantique (30 km) | N | Méditerranée (330 km) | ||
O Saint-Pandelon E | ||||
S | ||||
Pampelune (150 km) | Pyrénées (40 km) | Pau (70 km) |
Communes limitrophes
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Géologie et relief
Le sous-sol de la commune a donné naissance à trois carrières permettant l'extraction et exploitation la pierre ophitique et une mine de sel produisant 10 000 tonnes de sel par année.
La superficie de la commune est de 918 hectares ; l'altitude varie entre 1 et 61 mètres[3].
Hydrographie
Saint-Pandelon est perché sur un coteau aux pentes abruptes en surplomb de la rive gauche du Luy. Une partie des terres de la commune est classée dans la zone Natura 2000, car elles sont inondables.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958[10] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pandelon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pouillon, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[18] et 5 593 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dax dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,6 %), forêts (30,2 %), terres arables (26,7 %), zones urbanisées (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Il n'existe pas dans le calendrier de saint éponyme portant le nom de Pandelon mais ce nom pourrait venir de Pantaleonte, adaptation latine d’un nom grec. Aux XIe et XIIe siècles, la cité se nomme d’ailleurs Sanctus Pantaleon.
Les nombreux historiographes qui se sont intéressés aux origines du nom des communes landaises s'accordent à dire que « Saint-Pandelon » serait une déformation de saint Pantaléon de Nicomédie, du nom du médecin à la cour de l'empereur Maximien Hercule qui fut martyrisé à Nicomédie vers l'an 303.
Aucune autre commune ne porte le nom Saint-Pandelon en France[24].
Histoire
Préhistoire
Des traces d’occupation préhistorique sont signalées sur le site de Saint-Pandelon, témoignant de l’ancienneté de la cité.
Antiquité
De l'occupation romaine survivent des maisons capcazalières.
- Maison hountanglaise à Saint-Pandelon.
- Maison hounanglaise à Saint-Pandelon.
- Maison Luppé à Saint-Pandelon.
- Maison Luppé à Saint-Pandelon.
Moyen Âge
Le clergé joua un rôle (favorisé par les franchises accordées par les Plantagenêts), comme en témoignent les constructions réalisées dans les trois derniers siècles médiévaux (toutes ou presque ont disparu). Il subsiste le château des évêques qui servit de résidence aux évêques officiant à la cathédrale Notre-Dame ; construite au XIIIe siècle et écroulée au XVIIe siècle, il n'en subsiste plus que le splendide portail des apôtres, chef-d'œuvre de la sculpture de l'époque.
Cité voisine de Dax, la commune de Saint-Pandelon abrite les évêques de cette ville dès le XIVe siècle ce qui a contribué à son dynamisme tout au long de son histoire. Le logis que leur servit de résidence d'été (classé Monument historique), vendu comme bien national lors de la Révolution, avait été agrandi et décoré sur ordre de Mgr Le Quien de Neufville de 1774 à 1778; il a conservé de cette époque un ensemble unique de papiers peints, principalement issus de la fabrique de Duras à Bordeaux, découvert puis mis en valeur par ses acquéreurs en 1965, Jacques Subes (fils du ferronnier d'art Raymond Subes) et son épouse Françoise (cf. leur article Les papiers peints du 18e... etc., dans "L'Estampille" n° 108/, pp 18 à 29, ill.), dont la collection d'art, comprenant la succession Subes, fut vendue (en 1000 lots) aux enchères publiques sur place les 23 et 24/07/2016.
Au tout début du XIVe siècle, sa position surélevée est choisie pour construire une place forte, édifiée par Garcia-Arnaud de Caupenne, évêque de Dax.
Temps modernes
À la Renaissance, le château fort est transformé en une demeure d’agrément. Saint-Pandelon se dote par ailleurs d’un deuxième château au XVIIe siècle.
Révolution française et Empire
C’est au cours de la Révolution, en 1790, que la commune est créée. Regroupant divers quartiers éparpillés, elle est alors baptisée Pont-de-Luy, en raison du petit cours d’eau du même nom qui circule dans le village.
Époque contemporaine
Au XIXe siècle, la commune se développe : on y trouve deux charpentiers, un cordonnier, deux forgerons, un maçon et trois sabotiers. Des carrières ont également été exploitées. De trois d’entre elles était extraite de la pierre ophitique. Une mine de sel produit par ailleurs 10 000 tonnes de sel par année[25].
La Compagnie des Tramways à Vapeur de la Chalosse et du Béarn (TVCB) a exploité une ligne de tramways à voie métrique longue de 31 km qui effectuait 3 arrêts à Saint-Pandelon entre 1914 et 1937[26],[27].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[28].
Liste des maires
Jumelages
- Saint-Maxire (France) depuis 2013[29].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31]. En 2019, la commune comptait 711 habitants[Note 7], en augmentation de 0,99 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Enseignement
Située dans l'académie de Bordeaux, l'école primaire publique de Saint-Pandelon participe au regroupement pédagogique avec Bénesse-lès-Dax et Heugas.
Le lycée professionnel rural Sainte-Élisabeth[34] de Saint-Pandelon accueille les élèves de Bac Pro SAPAT, Capa SAPVER et Bepa SAP.
Manifestations culturelles et festivités
Les fêtes patronales du village ont lieu le dernier week-end d'août. Le samedi des fêtes a lieu la course pédestre : les "Foulées saint-pandelonnaises."
Le Jazz fait son Bœuf : un groupe d'amis amateurs de jazz propose un jazz de qualité pour tous avec convivialité.
Sports
Le foyer rural, créé en 1983, comprend une section sports.
Une activité de Futsal (football en salle) est proposée aux Saint-Pandelonnais.
Cultes
Saint-Pandelon est un des huit relais composant la paroisse catholique du Bon Pasteur.
Économie
Depuis le début du XXe siècle, Saint-Pandelon tire profit de ses richesses minières en exploitant des carrières d’ophite.
L’ophite est une roche magmatique compacte proche du basalte que l’on trouve beaucoup dans les Pyrénées. Son nom vient de sa teinte verte et de son aspect de peau de serpent.
Au début du XXe siècle des carrières sont creusées à Saint-Pandelon dans le but d’exploiter ses sols riches en ophite. Longeant le cours du Luy, elles s’étendent sur près de 1 500 mètres.
Saint-Pandelon exploite également une mine de sel produisant 10 000 tonnes de sel par année.
Plusieurs exploitations agricoles sont présentes sur la commune : élevage de canards, élevage de poules, élevage de bovins et culture du mais.
Plusieurs exploitations sylvicole sont présentes sur la commune : pin et chêne.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le Monument aux Morts : Sous les auspices de la Victoire, le monument aux morts de Saint-Pandelon célèbre la mémoire des 27 citoyens de la commune tombés lors de la Première Guerre mondiale. C’est grâce à l’entreprise d’un certain Dupin que le monument aux morts de Saint-Pandelon est érigé en 1923, sur la place de l’Église. Composé d’un socle en pierre, sur lequel est posé un piédestal soutenant un obélisque, il est surmonté d’un coq en pierre, symbole de la France. Le monument est remarquable par sa grande statue en pierre représentant une Victoire, dont l’une des ailes déployées passe devant l’obélisque. Vêtue d’une robe ample, la Victoire a les bras tendus et écartés. Elle regarde vers le bas, la tête légèrement penchée. Ce genre de figure féminine représentant la Victoire orne 9 % des monuments aux morts landais.
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- L'église Saint-Pantaléon-et-Saint-Barthélemy : reconstruite au tournant des XIXe et XXe siècles, l’église Sainte-Mérentine de Saint-Pandelon est alors dédiée à une martyre des premiers siècles. En 1898, on décide de rebâtir l’église de Saint-Pandelon. En effet, l’église originelle, située à l’emplacement actuel du cimetière, a disparu au cours du XIXe siècle. Le nouveau bâtiment est édifié en 1902 sur un terrain donné par la famille d’Anne-Pascale Ducros, ancienne propriétaire du château des Évêques. Sainte Mérentine, à qui l’église est dédiée, est une martyre de 25 ans du IVe ou Ve siècle. En 1850, sa dépouille est extraite par le pape du cimetière Cyriaque de Rome, pour être offerte au lieutenant-colonel de Montenard. C’est l’église de Saint-Pandelon qui abrite désormais le coffre-reliquaire renfermant les reliques de sainte Mérentine. La peinture du chœur de l'église est attribuable à la maison bordelaise Bonnet et Vettiner (Bonnet Jean-Henri et Vettiner Jean-Baptiste), qui a exécuté autour de 1900 plusieurs décors similaires dans des églises de la région (Saint-Pandelon, Soustons, Saint-Geours-de-Maremne, Meès, Pouillon…).
- La fontaine salée, source au goût très salé, est également très ferrugineuse, sulfurée et sodique. Elle est connue pour ses vertus curatives. Une construction en barrons (brique pleine) signale cette fontaine.
La commune compte aussi 5 châteaux :
- le château Ducros, ancien château des évêques ;
- le château d'Hercular ;
- le château Haubardin, construit aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il doit son nom à Haubardin de Luxembourg, gouverneur de Dax du XVIe siècle, le château Haubardin n’est édifié qu’à compter du siècle suivant. Les travaux de construction s’étalent sur deux siècles, pour s’achever en 1764, le maçon ayant inscrit cette date dans le mortier du grenier. La demeure se compose d’un corps de logis, surmonté d’un fronton triangulaire et encadré de deux tourelles d’angle carrées. Les murs de pierre calcaire recouverte d’enduit blanc soutiennent une toiture de tuiles rouge. Quelques vestiges témoignent de la présence d’un moulin à eau dans la propriété. On peut les voir dans le fossé, au bord de la route menant à Peyrehorade[35] ;
- le château Laureta, qui contient des boiseries du XVIIIe siècle ;
- le château Herran.
Sur le parcours du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
Étape jacquaire sur la voie de Tours (via Turonensis), le village possède un gîte qui peut accueillir les pèlerins pour une halte reposante avant d'entamer les contreforts des Pyrénées.
Le village de Saint-Pandelon a toujours accueilli les pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Depuis le , un gîte a été aménagé à leur intention, permettant d'accueillir jusqu'à 6 pèlerins simultanément. Le studio est composé d'une pièce centrale avec 4 lits superposés, un canapé-lit, une salle de bains / WC, un espace repas avec cuisine équipée, un espace salon avec télévision et possibilité de connexion Wi-Fi.
Personnalités liées à la commune
- Mauvoisin Félix, né le 7-12-1890 à Saint-Pandelon, médecin. Auteur d'un manuel de rhumatologie[36],[37].
- Vincent Dezes, né le à Dax, est un joueur français de rugby à XV qui évolue au poste de talonneur. Après une carrière au sein de l'US Dax, il occupe également le poste d'entraîneur dans le club et réside à Saint-Pandelon où il siège au conseil municipal.
- Florence Tastet, née Arrieumerlou le , est une joueuse française championne de France de rugby à XV au sein du club les Pachys d'Herm. Elle réside à Saint-Pandelon où elle siège au comité des fêtes.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Saint-Pandelon(33), consulté le 08 novembre 2013 - Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Dax - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pandelon et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Pouillon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Homonymes sur le site lion11906 de Lionel Delvarre, consulté le 9 décembre 2013.
- lien=http://visites.aquitaine.fr/saint-pandelon
- Magazine des tramways et chemins de fer secondaires n°33, 1985-1,
- http://www.trains-fr.org/facs/lig40.htm
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Annuaire des villes jumelées
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Lycée sainte-Elisabeth », sur Lycée sainte-Elisabeth.
- « chateau-haubardin ».
- Liste des prisonniers de guerre Gallica, numéro 21. (18e RI, 36e division).
- Aurait soigné Maurice Chevalier : (Hans Habe : A Thousand Shall Fall, 1941 ; Ob tausend fallen 1946 : Mauvoisin signalé au Dulag de Dieuze en juillet août 1940 ; traduction française : « Le médecin-chef français Félix Mauvoisin, un médecin parisien d’origine basque, qui, cela dit incidemment, avait traité Maurice Chevalier, m’invita à manger à la table des officiers. »
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