Saint-Pastous

Saint-Pastous est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Saint-Pastous

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Jacques Debien
2020-2026
Code postal 65400
Code commune 65393
Démographie
Gentilé Saint-Pastousiens
Population
municipale
142 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 00′ 53″ nord, 0° 03′ 27″ ouest
Altitude Min. 420 m
Max. 1 661 m
Superficie 8,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argelès-Gazost
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Pastous
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Pastous
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Saint-Pastous
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Pastous

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau de Saint-Pastous et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Pastous est une commune rurale qui compte 142 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 541 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Saint-Pastousiens ou Saint-Pastousiennes.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Pastous se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ayros-Arbouix (1,2 km), Boô-Silhen (1,3 km), Vier-Bordes (1,7 km), Préchac (2,7 km), Agos-Vidalos (2,8 km), Geu (3,0 km), Ayzac-Ost (3,2 km), Lau-Balagnas (3,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Pastous fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Dabant-Aygues qui regroupe huit communes[4].

    Carte de la commune de Saint-Pastous et des proches communes.
    Communes limitrophes de Saint-Pastous[5]
    Geu Berbérust-Lias
    Boô-Silhen Gazost
    Ayros-Arbouix Vier-Bordes

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau de Saint-Pastous et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 274 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 19 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[20] : les « massifs du Montaigu et de Hautacam » (5 411 ha), couvrant 7 communes du département[21] et le « pied du massif de Hautacam entre Argelès et St-Créac » (961 ha), couvrant 12 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pastous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 2],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39,9 %), forêts (22,7 %), prairies (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 100[I 5].
    Parmi ces logements, 52,2 % sont des résidences principales, 44,0 % des résidences secondaires et 3,8 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D100 qui monte à Hautacam puis D100b.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Saint-Pastous à l'est d'Argelès-Gazost.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[26] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • Sancti Pastoris, latin (v. 1050-1070, cartulaire de Bigorre ; v. 1075, cartulaire de Saint-Savin) ;
    • Sen Pastos, latin et gascon (v. 1105, cartulaire Saint-Savin) ;
    • Sent Pastos, Sent Pastor (XIIe siècle ou XIIIe siècle, livre vert de Bénac) ;
    • Sempastors (1285, montre Bigorre) ;
    • Sancto Pastore, latin (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
    • Sent Pastos, Senpastos (1349, livre vert Bénac) ;
    • Sent Pastors, Sent Pastoos, Sent Pastos (1429, censier de Bigorre) ;
    • St Pastous (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : Sanctus Pastor.
    Nom occitan : Sent Pastors.

    Histoire

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    Le nom primitif du village était Lump ou Lourp. Le village de Lurp est mentionné dans une bulle papale de 1167, adressée à l'Abbé de Saint-Savin. On ne peut préciser avec certitude à quelle occasion ce nom fut remplacé par Sen Pastous.

    L'utilisation du nom de Saint-Pastous en Lavedan semble remonter au XIe siècle, période à laquelle une petite seigneurie de ce nom s'installa au village de Lurp. La première citation remonte vers 1050.

    Le premier seigneur connu est Guillaume-Bernard de Saint Pastous cité en 1105.

    On connaît également Bertrand de Saint Pastous, né vers 1260.

    Cette famille prolifique possède de multiples branches dans le sud de la France, notamment celles de Bonrepos (Prat-Bonrepaux, 09), de Montbrun (32), de Lapeyrère (31), etc.

    La branche des Saint Pastous seigneurs de Bonrepos (Prat-Bonrepaux, Ariège) remonte au minimum à Bertrand de Saint Pastous, père d'Arnaud-Guillaume de Saint Pastous de Bonrepos (né vers 1290, cité en 1337) marié à Anne-Bernarde de Poussin. Cette famille a été maintenue en sa noblesse par Laugeois à l'intendance de Montauban le . Cette branche est toujours vivante actuellement.

    Régis Valette fait remonter la noblesse de cette famille en 1397.

    La branche des Saint-Pastous seigneurs de Lapeyrère (31) remonte au minimum à Aymar de Saint Pastou (né vers 1400) co-seigneur de Montbrun (32). Cette branche s'achève avec Anne de Saint Pastou de Lapeyrère (dame et héritière de Lapeyrère) qui épouse en 1624 : François Ignace Deguilhem qui deviendra plus tard : François ignace de Guilhem de Saint Pastou de Lapeyrère de Lacombe.

    Constitué en commune à la révolution, le village de Saint-Pastous allait peu après regrouper les anciennes paroisses de Saint-Germès et de Sainte-Marie, ainsi que le hameau de Bayès connu comme le quartier des cagots.

    Cadastre napoléonien de Saint-Pastous

    Le plan cadastral napoléonien de Saint-Pastous est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[27].

    Politique et administration

    La mairie en 2017.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1948 1953 Pierre Lannes    
    1953 1986 Étienne Anthian    
    1986 1995 René Cabanne    
    mars 1995 mars 2014 François Cazau    
    mars 2014 mars 2020 Gérard Cha    
    mars 2020 en cours Jacques Debien    

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Arribèra de Davantaygue, canton de Davantaygue (1790), Argelès (depuis 1801). Sainte-Marie (commune en 1790), Bayés et Saint-Germès (non citées dans la première répartition, mais communes dans la seconde), sont réunies à Saint-Pastous entre 1791 et 1801[28].

    Intercommunalité

    Saint-Pastous appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31]. En 2019, la commune comptait 142 habitants[Note 8], en augmentation de 10,08 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    432432446541506444502521536
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    490470495418381354407370359
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    294302277221195174179139111
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    106918278911099388116
    2014 2019 - - - - - - -
    131142-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[34].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]2,3 %7,7 %3,6 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 82 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6 % d'actifs (75 % ayant un emploi et 3,6 % de chômeurs) et 21,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 9 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 66, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,7 %[I 10].

    Sur ces 66 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de l'Assomption de Saint-Pastous en 2017.
    L'église Sainte-Marie de Lurp en 2017.
    Le lavoir en 2017.
    Le monument aux morts municipal.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent au mont de sinople chargé d'une fleur de lys d'or, sommé d'une aigle essorante de sable tenant avec son bec une clochette du même.
    Commentaires : blason vérifié auprès de la mairie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Pastous » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pastous et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pastous et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Saint-Pastous », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Saint-Pastous », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Saint-Pastous et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Saint-Pastous et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pastous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « massifs du Montaigu et de Hautacam » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « pied du massif de Hautacam entre Argelès et St-Créac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    27. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Saint-Pastous en 1826
    28. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    29. « Liste des juridictions compétentes pour Saint-Pastous », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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