Vier-Bordes

Vier-Bordes est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Bordes.

Vier-Bordes

Vue de Vier.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Pascal Collado
2020-2026
Code postal 65400
Code commune 65467
Démographie
Gentilé Vierbordésiens
Population
municipale
98 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 59′ 57″ nord, 0° 03′ 19″ ouest
Altitude Min. 640 m
Max. 1 709 m
Superficie 9,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argelès-Gazost
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Vier-Bordes
Géolocalisation sur la carte : France
Vier-Bordes
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Vier-Bordes
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Vier-Bordes

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau d'Aygueberden, le ruisseau d'Estibos et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Vier-Bordes est une commune rurale qui compte 98 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 219 habitants en 1861. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Vierbordésiens ou Vierbordésiennes.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Vier-Bordes se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 28 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ayros-Arbouix (1,0 km), Préchac (1,5 km), Saint-Pastous (1,7 km), Beaucens (2,4 km), Boô-Silhen (2,6 km), Artalens-Souin (2,7 km), Lau-Balagnas (2,9 km), Adast (3,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Vier-Bordes fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Dabant-Aygues qui regroupe huit communes[4].

    Carte de la commune de Vier-Bordes et des proches communes.
    Communes limitrophes de Vier-Bordes[5]
    Saint-Pastous
    Ayros-Arbouix Gazost
    Artalens-Souin Beaucens

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau d'Aygueberden, le ruisseau d'Estibos, le ruisseau de Couyéou de Mates, le ruisseau Estau et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 293 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 21 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[20] : les « massifs du Montaigu et de Hautacam » (5 411 ha), couvrant 7 communes du département[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Vier-Bordes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 2],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    La fontaine.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (52,2 %), forêts (27,2 %), prairies (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 108[I 5].
    Parmi ces logements, 36,9 % sont des résidences principales, 61,3 % des résidences secondaires et 1,8 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D100 qui monte à Hautacam puis D100c.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Vier-Bordes à l'est d'Argelès-Gazost.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[25] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Vier

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Bièr.

    Bordes

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Bòrdas.

    Borde « cabane, maisonnette, métairie » est un mot d'origine germanique (francique bort « planche », d'où borda « cabane » en latin tardif), désignant d'abord la maison isolée, puis des hameaux.

    Histoire

    Vier-Bordes résulte de la fusion des deux communes : Vier et Bordes intervenue en 1848[26].

    Cadastre napoléonien de Vier-Bordes

    Politique et administration

    La mairie en 2017.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1995 mars 2001 Maurice Prat    
    mars 2001 mars 2008 François Villeneuve    
    mars 2008 mars 2014 Véronique Marcou    
    mars 2014 en cours Pascal Collado    

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Arribèra de Davantaygue, canton de Davantaygue (1790), Argelès (depuis 1801). Communautés distinctes Vier et Bordes sont réunies en 1848[29].

    Intercommunalité

    Vier-Bordes appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    La population a atteint un maximum en 1856 avec 219 habitants, puis a baissé périodiquement pour atteindre 53 habitants en 1975. Elle a ensuite connu une hausse jusqu'en 2019 avec 98 habitants.

    Le tableau ci-dessous intègre les habitants de Bordes recensés à part avant 1848 (entre 58 et 67 habitants)[26].

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    140210205199171192218191191
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    219219210201190195199192162
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1341171181059894927564
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    666553555874808192
    2014 2019 - - - - - - -
    10498-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[33] 1975[33] 1982[33] 1990[33] 1999[33] 2006[34] 2009[35] 2013[36]
    Rang de la commune dans le département 325 417 381 353 346 339 318 305
    Nombre de communes du département 479 473 473 474 474 474 474 474

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2017[37].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]12,5 %7,9 %3,4 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 59 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (75,9 % ayant un emploi et 3,4 % de chômeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59 %[I 10].

    Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Laurent en 2017.
    La chapelle en 2017.
    Une croix.

    Personnalités liées à la commune

    Parmi les nombreux enfants de Vier, on peut se souvenir de Jean-Louis Sarthedessus, qui fut longtemps maire et poète de talent, bien qu'étant un « simple petit paysan ayant seulement le certificat d'études », comme il aimait à le rappeler.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la fasce d'argent, au chef d'or chargé d'une cloche de sable accostée de deux fleurs de lys du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Vier-Bordes » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

      Site de l'Insee

      Autres sources

      1. Stephan Georg, « Distance entre Vier-Bordes et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      2. Stephan Georg, « Distance entre Vier-Bordes et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      3. « Communes les plus proches de Vier-Bordes », sur www.villorama.com (consulté le ).
      4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
      5. Carte IGN sous Géoportail
      6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
      7. « Fiche communale de Vier-Bordes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
      8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      13. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      14. « Orthodromie entre Vier-Bordes et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
      15. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      16. « Orthodromie entre Vier-Bordes et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
      17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vier-Bordes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      21. « ZNIEFF les « massifs du Montaigu et de Hautacam » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      25. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
      26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bordes », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
      27. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Vier en 1826
      28. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Bordes en 1826
      29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
      30. « Liste des juridictions compétentes pour Vier-Bordes », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
      31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      33. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
      34. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
      35. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
      36. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
      37. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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