Adast

Adast est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes.

Adast

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Serge Laguibeau
2020-2026
Code postal 65260
Code commune 65001
Démographie
Gentilé Adastois
Population
municipale
297 hab. (2019 )
Densité 283 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 29″ nord, 0° 04′ 36″ ouest
Altitude Min. 434 m
Max. 542 m
Superficie 1,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argelès-Gazost
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Adast
Géolocalisation sur la carte : France
Adast
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Adast
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Adast

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Adast est une commune rurale qui compte 297 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Adastois ou Adastoises.

    Géographie

    Réprésentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreeMap
    Carte topographique

    Localisation

    La commune d'Adast se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Uz (1,0 km), Saint-Savin (1,2 km), Beaucens (1,4 km), Pierrefitte-Nestalas (1,4 km), Soulom (2,1 km), Préchac (2,1 km), Artalens-Souin (2,5 km), Villelongue (2,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Adast fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays de Rivière de Saint-Savin, de part et d’autre du gave de Cauterets[4].

    Adast est limitrophe de quatre autres communes dont Lau-Balagnas au nord par un simple quadripoint.

    Communes limitrophes d’Adast[5]
    Lau-Balagnas
    (par un quadripoint)
    Saint-Savin Beaucens
    Pierrefitte-Nestalas

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau du Gabarret, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les valeurs normales de l'ensoleillement, des températures et des précipitations, observées par Météo-France à Ossun, où se trouve la station météorologique de référence pour le département.

    Données climatiques à Adast.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[8].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 2]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[11],[12],[13].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[14], les « massifs du Cabaliros et du Moun Né » (7 764 ha), couvrant 11 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[14], le « val d'Azun et haute vallée du Gave de Cauterets » (35 378 ha), couvrant 22 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Adast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[I 2],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (26 %), zones urbanisées (23,5 %), forêts (19,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    L'habitat d'Adast est essentiellement constitué de maisons individuelles qui sont pour la plupart d'anciennes fermes reconverties en habitations ou d'anciennes maisons de maître.
    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 137[I 5].
    Parmi ces logements, 82,4 % sont des résidences principales, 15,3 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Passage à niveau de l'ancienne Ligne de Lourdes à Pierrefitte-Nestalas.

    Cette commune est desservie par la route départementale D921 (ancienne N21).

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Adast au sud d'Argelès-Gazost.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[20] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Adast.

    Histoire

    Plusieurs récits, principalement mythologiques, existent et tournent autour du village dont principalement celui intitulé La Fée d'Adast. Il raconte l'histoire d'un jeune héritier tombé amoureux d'une fée. À son mariage avec cette dernière, elle lui fait dire un serment : il ne doit jamais prononcer un certain mot. Sinon, la fée sera ensorcelée. Mais quelques années plus tard, malgré de belles années d'amour, le jeune garçon, devenu plus âgé, sous l'effet de l'alcool et de la colère, prononça le mot contre sa femme, sans s'en rendre compte.

    Cadastre napoléonien d'Adast

    Le plan cadastral napoléonien d'Adast est consultable sur le site des Archives départementales des Hautes-Pyrénées[21].

    Monographie

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie en 2014.
    Le foyer rural en 2021.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1947 Paul Ladevan    
    1947 1953 Paul Pouey    
    1953 1959 Paul Ladevan    
    1959 1965 Emile Galan    
    1965 1971 Paul Ladevan    
    1971 mars 1983 Emile Galan    
    mars 1983 mars 1989 Etienne Puyo    
    mars 1989 mars 1995 Philippe Roux    
    mars 1995 mars 2001 Ferdinand Galan    
    mars 2001 mars 2014 Bernard Marquis   Réélu en 2008
    mars 2014 mars 2020 Jean-Philippe Castaignede SE Technicien
    mars 2020 en cours Serge Laguibeau    

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Arribèra de Saint-Savin, canton de Saint-Savin (1790), puis d'Argelès (1801)[25].

    Intercommunalité

    Adast appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28]. En 2019, la commune comptait 297 habitants[Note 7], en augmentation de 6,45 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    128103125101123123130140129
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    127126120147141142142134128
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    108118112110125135133128135
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    146174200205203227244261292
    2019 - - - - - - - -
    297--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[31].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 136 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 309 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 240 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 8]8,5 %6,1 %9,9 %
    Département[I 9]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 184 personnes, parmi lesquelles on compte 78 % d'actifs (68,1 % ayant un emploi et 9,9 % de chômeurs) et 22 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,5 %[I 12].

    Sur ces 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 96 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts municipal.
    Une croix.

    Il devient au XVIIe siècle le refuge et la demeure du poète Cyprien Despourrins[33] dont la mère était Gabrielle de Miramont[34]. Le château est ensuite acheté par Bernard Abadie-Gaye habitant de Sazos (près de Luz-Saint-Sauveur). Il sera ensuite revendu par Célestin Carrere, un fils de Louise Abadie-Gaye, en 1906. Le château sera par la suite habité par le docteur François Calot (1861-1944), un chirurgien qui fait progresser la chirurgie orthopédique en préférant des traitements conservateurs aux amputations systématiques. Il fait toute sa carrière à partir de 1890 à Berck et prendra sa retraite au château. À la fin des années 1960, le château de Miramont est vendu par les filles de Calot au journaliste et animateur de radio télévision Jacques Chancel, originaire du village voisin d'Ayzac-Ost[35].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur à deux massues de sable* passées en sautoir, liées d'argent, accompagnées de trois têtes de maure de sable*, le tout surmontant trois épées de gueules* en pal.
    Détails

    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (Ce blason ne comporte pas du tout de métal ! Il est donc invisible à l'oeil nu à longue distance).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Adast » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Adast » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Adast
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Adast » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Adast » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Adast » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Adast et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Adast et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Adast », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Adast », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    10. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    11. « Parc national des Pyrénées - la faune », sur www.pyrenees-parcnational.fr (consulté le )
    12. « Parc national des Pyrénées - le territoire », sur le site du parc national des Pyrénées (consulté le )
    13. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Adast », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « massifs du Cabaliros et du Moun Né » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF le « val d´Azun et haute vallée du Gave de Cauterets » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, 2000.
    21. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Adast en 1826
    22. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie d'Adast en 1887
    23. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Adast » (consulté le ).
    24. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Adast » (consulté le ).
    25. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    26. « Liste des juridictions compétentes pour Adast », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    32. Avezac, Marie-Armand-Pascal d', Essais historiques sur le Bigorre : accompagnés de remarques critiques, de pièces justificatives, de notices chronologiques et généalogiques, Bagnères, J. M. Dossun, , 312 p. (lire en ligne) Lire en ligne
    33. Girault de Saint-Fargeau -Guide pittoresque du voyageur en France - éditeur: Didot frères, 1838 - Lire en ligne
    34. Barendeguy-Dupont - une voie des Pyrénées - 1854 - Lire en ligne
    35. Renée Mourgues, « Adast, le havre pyrénéen de Jacques Chancel », sur La République des Pyrénées, .
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