Saint-Rémy-sur-Creuse
Saint-Rémy-sur-Creuse est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Rémy-sur-Creuse | |||||
La Creuse à Saint-Rémy-sur-Creuse en mars 2011. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Châtellerault | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Grand Châtellerault | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Conte 2020-2026 |
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Code postal | 86220 | ||||
Code commune | 86241 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
391 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 57′ 15″ nord, 0° 41′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 43 m Max. 123 m |
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Superficie | 12,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Châtellerault (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châtellerault-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Hydrographie
Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dange-Fleau », sur la commune de Dangé-Saint-Romain, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 659 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 51 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Rémy-sur-Creuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), forêts (37,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), zones urbanisées (2,7 %), eaux continentales[Note 8] (2,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Le village de Saint-Rémy-sur-Creuse est dominé par une imposante falaise de tuffeau, formée il y a 90 millions d'années. Dans le front de cette falaise, sur plus de trois kilomètres, ont été creusées au cours des siècles des habitations troglodytes. À l'origine, il s'agit de souterrains refuges de l'époque médiéval, de la période de la première guerre de 100 ans. Puis ces souterrains ont été récupérés et agrandis pour être transformés en habitat à partir du XVIIe siècle. Les conditions de vie dans un troglodyte étant très rude, il s'agissait d'habitations réservées aux populations pauvres et marginales. Les autres habitants du village se sont donc aménagés progressivement des fermes plus modernes au fil des années. Ces habitations vont être abandonnées à la fin du XIXe siècle, mais des marginaux continuent d'y vivre jusque dans les années 1990.
En 1998, certaines caves sont rachetées par une association baptisé NUCLEUS qui veut y établir un centre d'interprétation de la préhistoire. On y accueille tout type de publique, pour y faire des démonstrations de taille de silex, de travail de la pierre, de création du feu, jusqu'en 2013, date à laquelle l'association cesse d'exister.
De nos jours, depuis 2007, une de ces caves a également été restaurée par un particulier qui y habite à l’année.
Par ailleurs, une nouvelle association, baptisé Saint-Rémy Village Troglodyte loue, depuis 2013, sept caves pour laisser le public y accéder et sauvegarder ce patrimoine. Au travers de visites guidées, d’animations pour les enfants, de spectacles ou de l’organisation de divers manifestations, les bénévoles de l’association font découvrir ce patrimoine et l’histoire de ce village de l’époque médiévale à celle des tisserands du chanvre, d'avril à octobre (www.ethnicite.fr)
Toponymie
Le village de Saint-Rémy-sur-Creuse doit son nom au saint protecteur du Prieuré qui se trouvait sur les hauteurs du bourg au moment de sa création. Le nom de Saint-Rémy est alors associé à celui de la rivière qui borde le village, La Creuse.
Histoire
Préhistoire
La grotte dite « des palets de Gargantua » a servi de lieu de passage à la Préhistoire. Un « palet de Gargantua » situé sur la falaise a été dynamité en 1910 lors de la construction de l'école et de la mairie[20]. Des fouilles archéologiques menées dans les années 1970 ont fait apparaître des pointes de sagaies du type Lussac-Angles, ainsi qu'une série de burins en silex du Grand-Pressigny. Ce matériel, daté de la période magdalénienne, prouve que Saint-Rémy se trouvait au sein du territoire de ces chasseurs-cueilleurs réputés pour leurs gravures (grottes de la Marche, frise sculptée du Roc-aux-Sorciers…).
Antiquité
Si quelques occupations gallo-romaines sont attestées dans les environs, ce n'est qu'au Moyen Âge que l'histoire de Saint-Rémy va vraiment démarrer.
Moyen Âge
En 1189, Richard Cœur de Lion fonde le bourg et déclare que Saint-Rémy est une ville libre (c'est-à-dire exempte d'impôts). Les paysans payent quatre sous aux moines du prieuré pour pouvoir s'installer sur le territoire de cette commune, puis ils n'ont plus rien à payer. La croissance démographique de la ville augmente alors fortement mais attise aussi les rivalités avec les seigneurs voisins qui eux perdent de la population et donc de l'argent. La ville va alors être régulièrement attaquée. Les seigneurs français veulent faire peur aux habitants pour les renvoyer chez eux. Mais les seigneurs anglais attaquent également. Envoyés par le roi Henri II, leur mission est de détruire la tour de garde que Richard a fait construire sur les hauteurs du bourg sans demander l'autorisation de son père. Il ne reste aujourd'hui qu'un seul vestige de cette tour, il s'agit de l'une des tourelles de la muraille d'enceinte, elle est appelée « tour de Ganne » ou « tour de Galles » et se situe à proximité de l'actuelle église.
Non loin de là, dans la falaise de tuffeau, apparaît un lieu de refuge au XIIe – XIIIe siècle pour les paysans locaux, la « forteresse de Chalopy ». Elle est aménagée à l'époque pour se protéger justement des attaques françaises et anglaise. Il s'agit de souterrains refuges composés de salles étroites et de couloirs exigus. Le but est de pouvoir se cacher et de tenir un siège de plusieurs jours. Des réserves d'eau et de nourriture, ainsi que des pièces d'habitats et même une étable sont créés dans la falaise pour cela. Cette falaise devient alors un véritable labyrinthe qui a pour but de piéger l'ennemi qui oserait s'y aventurer.
À partir de 1204, après la mort de Richard Cœur de Lion autour de 1199, la zone est reconquise par les seigneurs de Touraine et redevient alors française pour toujours. Les caves sont progressivement abandonnées et réoccupées, puis ré-abandonnées jusqu'au XVIIe siècle.
Époque Moderne et Contemporaine
Du XVIIe au XIXe siècle ce sont des familles de tisserands de chanvre et de chanvriers qui colonisent les caves de Saint-Rémy. Elles y mènent une vie prospère pendant trois siècles, utilisant la rivière et les nombreuses sources de la falaise pour cultiver et transformer la plante qu'ils cultivent, le chanvre (Cannabis sativa). L'activité de ces derniers entraîne néanmoins une pollution assez importante de leur environnement, notamment de la rivière, car l'une des étapes de traitement du chanvre, le rouissage, consiste à faire tremper la plante dans l'eau pendant 10 jours, mais, le chanvre en se décomposant va dégager des fluides et des gaz toxiques. Les préfectures demandent alors aux chanvriers d'aménager des bassins au pied de la falaise pour faire tremper le chanvre et de ne plus utiliser la rivière. Au XVIIIe siècle, la falaise est occupée sur près de 3 km par une cinquantaine de famille de chanvriers et de tisserands. Puis, avec la généralisation de l'éducation, l'apparition des premières manufactures, les tisserands et les enfants vont peu à peu quitter les lieux. Depuis 2013, le site « Ethni'Cité, village Troglodyte », ouvert d'avril à octobre, accueille les visiteurs dans ces caves pour leur faire découvrir au cours de visite libre, audio ou guidée, l'histoire de ces caves et de cette falaise.
Héraldique
Blason | De sinople à la tour d'argent , maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ, accostée en chef de deux truelles d'argent posées celle de dextre en bande et celle de senestre en barre; au chef d'argent chargé d'un léopard de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].
En 2019, la commune comptait 391 habitants[Note 9], en diminution de 2,49 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 31 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Économie
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[26], il n'y a plus que neuf exploitations agricoles en 2010 contre douze en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 6 % et sont passées de 1 167 hectares en 2000 à 1 244 hectares en 2010 dont 591 sont irrigables[26]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares.
55 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre et du maïs à parts égales), 13 % pour les oléagineux (colza et tournesol essentiellement), 13 % pour le fourrage et 6 % restent en herbe. En 2000, trois hectares (zéro en 2010) étaient consacrés à la vigne[26].
Les élevages de volailles ont disparu au cours de cette décennie[26].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Une partie du village troglodytique creusé sous le château est visitable à l'année.
- Église Saint-Rémy, de style roman du XIe-XIIe siècle, notable pour sa fenêtre « claustra » du XIe.
- Tour de Gannes, seul vestige du château fort érigé par Richard Cœur de Lion[27].
- Château de la Chaise dont l'élévation et la toiture ont été inscrites comme monument historique en 1967. Le château est situé à 3 km de Leugny, sur le coteau. Il date des XVe et XVIe siècles. Il fut construit par la famille d'Aviau (de Piolant).
- Une croix hosannière, datant du XVIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Richard Cœur de Lion (1157-1199).
- Catherine Lagatu (1919-2007).
Religion
En s'installe le prieuré Notre-Dame-de-Lourdes sur le territoire de la commune, un groupe de prêtres et de fidèles s'y retrouve désormais chaque dimanche. Le , la procession jusqu'aux troglodytes où un autel et une vierge de Lourdes ont été placés au début du siècle dernier a été relancée en 2015.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Dange-Fleau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Rémy-sur-Creuse et Dangé-Saint-Romain », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Dange-Fleau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Rémy-sur-Creuse et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- R. Mineau et L. Racinoux, La Vienne légendaire et mythologique, Librairie ancienne Brissaud à Poitiers.
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 65.
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