Dangé-Saint-Romain

Dangé-Saint-Romain est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Dangéens ou Dangéennes[1].

Pour les articles homonymes, voir Saint-Romain.

Dangé-Saint-Romain

Maison communale de Dangé-Saint-Romain.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Nathalie Marquès-Nauleau
2020-2026
Code postal 86220
Code commune 86092
Démographie
Gentilé Dangéens
Population
municipale
2 969 hab. (2019 )
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 56′ 14″ nord, 0° 36′ 24″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 127 m
Superficie 34,99 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Dangé-Saint-Romain
(ville isolée)
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dangé-Saint-Romain
Géolocalisation sur la carte : France
Dangé-Saint-Romain
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Dangé-Saint-Romain
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Dangé-Saint-Romain
Liens
Site web http://www.dangesaintromain.fr/

    Géographie

    Localisation

    Elle est située à proximité de Châtellerault (entre Tours et Poitiers à environ 50 km).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Vienne traverse la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 671 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1993 à 2016 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records DANGE-FLEAU (86) - alt : 70 m 46° 55′ 00″ N, 0° 37′ 06″ E
    Statistiques établies sur la période 1993-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1993 au 31-12-2016
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,1 3,1 4,9 8,8 11,5 13 12,9 9,9 8,4 4,4 2,2 7
    Température moyenne (°C) 5,1 6,2 8,5 10,9 14,9 18,3 20,1 20 16,4 13,3 8,1 5,2 12,3
    Température maximale moyenne (°C) 8,3 10,2 13,9 16,9 21 25,1 27,1 27 22,8 18,1 11,7 8,3 17,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −15,7
    07.01.09
    −18,1
    09.02.12
    −12,5
    01.03.05
    −6,8
    04.04.96
    −1,7
    01.05.16
    1,7
    01.06.11
    5
    14.07.04
    3,7
    30.08.93
    −0,6
    25.09.02
    −6,2
    30.10.97
    −9,7
    23.11.93
    −13,3
    19.12.09
    −18,1
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,8
    05.01.99
    22,2
    20.02.98
    25,8
    19.03.05
    30,9
    30.04.05
    33,6
    30.05.01
    38,3
    22.06.03
    38,7
    19.07.16
    41,2
    06.08.03
    33,8
    13.09.16
    30,8
    02.10.11
    23,2
    08.11.15
    18,2
    07.12.00
    41,2
    2003
    Précipitations (mm) 59,7 43,9 44,3 50,3 59,1 46,1 55,2 48,4 51,7 66,1 68,4 65,8 659
    Source : « Fiche 86092002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la départementale 910, (ex-nationale 10). La route départementale D 1 commence à Dangé-Saint-Romain et relie la commune à Lizant.

    La gare de Dangé, implantée sur la commune, est desservie par des trains régionaux TER Nouvelle-Aquitaine circulant entre Poitiers et Tours.

    Urbanisme

    Typologie

    Dangé-Saint-Romain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dangé-Saint-Romain, une unité urbaine monocommunale[12] de 2 981 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), forêts (17,8 %), zones urbanisées (6,7 %), eaux continentales[Note 6] (4,3 %), prairies (3,1 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    En 1057, Dangé est citée sous le nom de Parochia Dangiaci dans le charte cartulaire de Noyers, puis sous celui de Parochia Dangiacensis en 1058.

    Avant la Révolution française, la paroisse de Dangé fait partie du duché, de la sénéchaussée et de l’élection de Châtellerault. Traversé par la route royale qui va de Paris en Espagne, elle bénéficie du passage des voyageurs. Elle ne semble pas dominée par des puissants seigneurs, mais animée par des notables aisés et des laboureurs parfois indociles.

    Comme le reste de la France, Dangé accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires. En tant que symbole, il est scié à la fin de la décennie révolutionnaire lors d’un épisode de réaction royaliste[18].

    Au XIXe siècle, les moyens de communication sont progressivement améliorés : routes, pont, chemin de fer et télégraphe en , et instaurent comices agricoles et foires mensuelles.

    Saint-Romain est quant à lui cité sous le nom de « Ecclesia Sancti Romani in episcopatus Turonensi » en 1164. La paroisse appartient à la puissante abbaye Sainte-Croix de Poitiers.

    En , le roi Charles VII autorise l’abbesse de Sainte-Croix de Poitiers à fortifier son « Moustier » de Saint-Romain-sur-Vienne, ce qui assure au village une relative tranquillité et lui permet de se consacrer aux cultures, en particulier celle de la vigne.

    Sous l’Ancien Régime, la paroisse de Saint-Romain fait partie de l’archiprêtré de l’Ile-Bouchard, relevant du diocèse de Tours, mais également du duché, de la sénéchaussée et de l’élection de Châtellerault. Essentiellement agricole, le village ne connaît pas de développement industriel, mais la construction du pont en 1858 lui permet de se moderniser.

    Depuis la fin des années 1950, il existe sur le territoire de Dangé une ancienne cité américaine baptisée La Fayette Village puis Résidence La Fayette en hommage au célèbre général et marquis. Comportant une centaine de pavillons, celle-ci est due à l'occupation du camp de Saint-Ustre (actuelle ZI - zone industrielle) de 1952 à 1967 par les militaires américains chargés de l'intendance, dans la commune voisine d'Ingrandes.

    Malgré la Vienne qui les sépare, les deux communes sont unies en 1971 et forment depuis une seule commune[19].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1971 mars 1983 Henri Ratté[20] (1924-2014)   Responsable de société
    mars 1983 mars 1989 Michel Emery[21]   PDG puis directeur technique et commercial
    Chevalier des Palmes académiques, du Mérite agricole et de la Légion d'honneur
    mars 1989 mars 2008 Robert Stanghellini RPR puis DVD Médecin
    Conseiller général du canton de Dangé-Saint-Romain (1982 → 1994)
    mars 2008 mars 2014 Nelly Mérand[22] (1968- ) Sans étiquette Conseillère principale d'éducation (CPE) dans un collège
    mars 2014 mai 2020 Claude Daguisé (1949- ) DVD Retraité de l'enseignement
    15e vice-président de la CA de Grand Châtellerault (2017 → )
    mai 2020 En cours
    (au 19 janvier 2021)
    Nathalie Marquès-Nauleau[23],[24]
    (1967- )
    LC Enseignante, ancienne adjointe
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Chatellerault, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Poitiers, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Jumelages

    Un jumelage existe depuis 1976 entre la commune de Dangé-Saint-Romain et la commune de Mamer (charte signée à Mamer le , charte signée à Dangé-Saint-Romain le ).

    Un deuxième jumelage existe avec Koubri au Burkina Faso depuis les années 1990. Le comité de jumelage a été créé le à Koubri et le à Dangé-Saint-Romain, son siège est situé à la mairie de Dangé-Saint-Romain.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2019, la commune comptait 2 969 habitants[Note 7], en diminution de 3,38 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    678790699672730685798896900
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    898867835816840789766801790
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8068629249349469129519651 162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 8461 4042 5302 8393 1503 1353 1113 1203 145
    2015 2019 - - - - - - -
    3 0302 969-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La densité de population de la commune est de 90 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE, 2008).

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[28], il n'y a plus que 30 exploitations agricoles en 2010 contre 45 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont stagné et sont passées de 2 810 hectares en 2000 à 2 828 hectares en 2010. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations[28]. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[29].

    58 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orge et maïs), 15 % pour les oléagineux (moitié en colza et moitié en tournesol), 9 % pour le fourrage et 4 % reste en herbes. En 2010, un hectare (4 en 2000) est consacré à la vigne. Le vignoble est exploité par 4 fermes (14 en 2000)[28].

    5 exploitations en 2010 (contre 6 en 2000) abritent un élevage de bovins (464 têtes en 2010 contre 569 têtes en 2000). Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu en 2010 (respectivement 35 têtes sur 4 fermes en 2000 et 402 têtes sur 20 exploitations)[28].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le pont sur la Vienne.
    • Le château de Piolant, ancienne propriété de la famille d'Aviau de Piolant.
    • Le pont sur la Vienne, qui fait la liaison entre Dangé et Saint-Romain a fêté ses 150 ans le mais il avait été bombardé et réparé dans les années 1960.
    • Plusieurs moulins sont implantés sur la commune : moulin de Charçay, les Trois Moulins, le moulin de Surin.
    • Belle halle en bois.

    Patrimoine religieux

    Patrimoine naturel

    La commune abrite sur son territoire une zone naturelle classée d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [30]. Elle englobe la pointe sud-est d’un secteur boisé formant un ensemble plus ou moins morcelé de petits bois privés traversé par l’autoroute A10 implanté sur les communes de Dangé-Saint-Romain et Vellèches. Surplombant d’une trentaine de mètres le vallon formé par le ruisseau des Trois Moulins, le bois des Pierrières et le bois Blanchard forment deux entités bien distinctes.

    Le bois Pierrières se trouve sur des affleurements de craie turonienne et des sols calcaires limono-argileux peu profonds. L’habitat forestier est composé de chênaie pubescente thermophile à chêne pubescent et de chêne vert. Cette dernière essence est typiquement méditerranéenne. Elle possède en Poitou-Charentes une répartition très tranchée : commun et abondant sur les dunes du littorale, il se raréfie considérablement vers l’intérieur, où il se cantonne alors sur les substrats calcaires les plus superficiels, dans des sites climatiquement privilégiés. Ses colonies s’égrènent ainsi du sud du département de la Charente au nord du département de la Vienne, de moins en moins abondantes au fur et à mesure que l’on remonte vers le nord. Le bois des Pierrières peut être considéré comme une de ses zones d’implantation la plus septentrionale en France. Sur le site, le chêne est d’ailleurs accompagné par diverses autres plantes thermophiles, telles que la Germandrée des montagnes ou la Brunelle à grandes fleurs, qui renforcent le caractère d’îlot "méridional" de ce coin du nord du département de la Vienne.

    Le bois Blanchard occupe des sols sableux profonds développés sur argile et grès du Turonien supérieur. L’habitat forestier est composé de chêne pédonculés et de châtaigniers. Ils sont accompagnés, en sous-strate, d’Ajonc d’Europe, de Fougère-aigle et d’Alisier de Fontainebleau. Cette dernière essence est un grand arbuste ou petit arbre caducifolié qui ne dépasse pas 15 m de hauteur, à feuilles largement ovales, faiblement lobées et dentées. Il est une endémique dans l’ouest de l’Europe et présent en France dans un petit quart nord-est où il est toujours rare et disséminé. L’espèce est, d’ailleurs, protégée au niveau national. En Poitou-Charentes, sur la marge occidentale de son aire de répartition, l’espèce est localisée à un unique secteur du Châtelleraudais, sur les communes de Dangé-Saint-Romain et Vellèches, en petites populations disjointes qui ne possèdent à chaque fois qu’un faible nombre de pieds (moins d’une dizaine en général).

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à trois fleurs de lys d'argent.

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le .
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Fiche du Poste 86092002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Dangé-Saint-Romain », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 153.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. « Décès d'Henri Ratté, ancien maire », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    21. « Créateur de Lacto-Labo, Michel Emery n'est plus », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    22. « Nelly Mérand : "Je pense que je me représenterai" », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    23. « Nathalie Marquès-Nauleau élue maire », La Nouvelle République, (lire en ligne)
    24. « Les élus », sur dangesaintromain.fr
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    28. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    29. Agreste – Enquête Structure 2007
    30. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
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