Lizant

Lizant est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Lizant

Église Sainte-Radegonde-Saint-Junien.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Jean-Claude Gauthier
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86136
Démographie
Population
municipale
391 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 10″ nord, 0° 16′ 48″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 157 m
Superficie 16,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lizant
Géolocalisation sur la carte : France
Lizant
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Lizant
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lizant

    Géographie

    Les habitants sont appelés les Lizantais et les Lizantaises.

    Localisation

    Lizant est situé à km au nord-est de Taizé-Aizie la plus grande ville aux alentours, et au sud de Civray.

    Lizant et les communes alentour.

    La commune est proche du parc naturel régional Périgord Limousin.

    Le village est niché dans une vallée aux aspects montagnards. Il est bordé, dans sa partie sud, par la Charente. En outre, il s'est développé à la confluence de quatre petites rivières : le Cornac, le Pas de Mule, le Cibiou qui se rejoignent dans le bourg pour former la Sonnette.

    C’est la commune qui est située la plus au sud du département de la Vienne. Le paysage est déjà charentais avec ses vallons accentués.

    Lizant éoliennes et moutons

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Lizant présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose [1] :

    • pour 43 % par des Terres Rouges (ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central) situées sur les plateaux,
    • pour 4 % de calcaire dans les vallées et les terrasses alluviales,
    • pour 53 % d'argile à silex peu profonde sur les plateaux du seuil du Poitou.

    En 2006, 81,7 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture et 18,3 % par des forêts et des milieux semi-naturels[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides, dunes et plages… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

    La richesse du sous-sol des collines a permis, dès le Moyen Âge, l’exploitation de la pierre. Ainsi, les pierres retirées des carrières ont permis la construction de l’église Saint-Nicolas de Civray.

    Hydrographie

    La commune est traversée par 8,3 km de cours d'eau dont les principaux sont le ruisseau Du Pas de la Mule sur une longueur de 4,8 km, le Cibiou sur une longueur de 2,2 km et la Charente sur une longueur de 1,3 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 897 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Civray », sur la commune de Civray, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 859,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 55 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communication et transports

    La route départementale D 1 commence à Lizant et relie la commune à Dangé-Saint-Romain.

    Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

    Les aéroports les plus proches de Lizant sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Lizant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), forêts (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), prairies (8,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du village dérive de « Lèze », qui désigne une argile. En effet, le bourg est situé sur une terrain très argileux[22].

    Histoire

    Lizant a subi les ravages de la guerre de Cent Ans et des guerres de Religion.

    L’agriculture a été pendant longtemps centrée sur la châtaigne et le blé.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Depuis 2015, Lizant est dans le canton de Civray (no 6) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Lizant était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jean Lévescault    
    mars 2008 mars 2014 Joël Duqueroie    
    mars 2014 En cours Jean-Claude Gauthier    

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Énergies nouvelles

    Sur le sol de la commune, un parc, regroupant 12 éoliennes, devrait voir le jour en mai 2014 après neuf ans de procédure. Ce parc, le plus grand du département de la Vienne, est à cheval sur les communes de Saint-Macoux, de Saint-Gaudent, de Lizant et de Voulême. Ce parc représente une puissance totale de 24 MW pour une production estimée à 53 GWh, soit la consommation annuelle moyenne de 26 500 habitants. Les éoliennes sont composées d'un mât de 100 m de hauteur et de pales de 50 m. Cette énergie renouvelable devrait permettre d'économiser chaque année 17 000 tonnes de CO2.

    Protection de l’environnement

    Depuis 2011, la commune est signataire de la Charte Terre Saine « Votre commune sans pesticides ». La charte Terre Saine Poitou-Charentes invite les communes et les établissements publics intercommunaux à participer à la réduction des pesticides et à la préservation d'un environnement sain en région Poitou-Charentes.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2019, la commune comptait 391 habitants[Note 7], en diminution de 8,86 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8168887527869649569811 032966
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    920904887873858884809778748
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    727685676620639592632602566
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    553517502526508443459464429
    2018 2019 - - - - - - -
    396391-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 27 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Lizant ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie de Lizant administre une population totale de 470 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (cinq personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 465 habitants.

    En 2010, la répartition de la population par sexe était la suivante : 47,8 % d'hommes pour 52,2 % de femmes.

    Enseignement

    La commune de Lizant dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école maternelle publique dépend de l'inspection académique de la Vienne.

    Les communes de Lizant, Voulême et Saint-Gaudent sont en regroupement pédagogique intercommunal. Ainsi, les maternelles sont localisées à Lizant puis les CP et CE1 à l’école de Voulême et enfin les CE2, CM1 et CM2 à l’école de Saint-Gaudent.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[28], il n'y a plus que 8 exploitations agricoles en 2010 contre 10 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 25 % et sont passées de 583 hectares en 2000 à 730 hectares en 2010 dont 248 irrigables[28]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[29].

    46 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 16 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 11 % pour le fourrage et 18 % reste en herbes[28].

    Quatre exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un élevage de bovins (266 têtes en 2010 contre 326 têtes en 2000). les élevages de moutons et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[28]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, ce troupeau, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30].

    La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

    • Chabichou du Poitou (AOC)
    • Beurre Charente-Poitou (AOC)
    • Beurre des Charente (AOC)
    • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
    • Veau du Limousin (IGP)
    • Porc du Limousin (IGP)
    • Jambon de Bayonne (IGP)

    Commerce et service

    En 2012, le seul commerce encore ouvert au sein du village est une boulangerie.

    Secteur protégé

    L'établissement et service d'aide par le travail (ESAT) Joseph-Rouil est ouvert depuis 1981 et accueille 60 personnes reconnues travailleurs handicapés. Ses activités sont le conditionnement et les travaux à façon, la blanchisserie industrielle, l’entretien et la création d'espaces verts, l’assemblage et le montage, la découpe et le travail du bois.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Radegonde-Saint-Junien. Elle est située au cœur du village. L’édifice est accolé sur son côté droit aux maisons et les autres côtés sont longés par le ruisseau de Cornac. Le chevet est droit. Il date du XVe siècle. L’église possède deux fenêtres de style gothique flamboyant. Le bâtiment a été restauré en 1765. Il est doté de deux nefs. L’église est dédiée à deux saints très vénérés dans le Poitou : sainte Radegonde et saint Junien qui est né à Champagné-le-Sec et qui a vécu en ermite à Chaunay. Les deux saints sont morts le même jour, saint Junien à Chaunay (ou à Mairé-l’Evescaut) et sainte Radegonde à Poitiers. La cloche date de 1731.
    • Maison à la tour. Elle date du XIIe siècle. La maison se caractérise, de nos jours, par la présence d’une tour pentagonale avec à sa base une porte cloutée que surmonte un linteau en accolade avec un écusson. Cette maison est construite sur une chute d’eau. Il s’agit de vestiges d’une construction plus importante qui possédait deux tours. Elle marquait, alors, l’entrée du bourg, sur la route allant de Charroux à Saintes. Elle aurait été la propriété des Templiers et pourrait dépendre de la commanderie de Civray. La maison a été, par la suite, transformée en huilerie.
    • Colombier du XVIIe siècle au lieu dit Boisseguin[31].
    • Le Tilleul de Sully est classé en tant que monument naturel[32].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à cinq tours d'or maçonnée de sable ordonnées en chevron[33].
    Détails
    Blason à confirmer
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Civray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Lizant et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Civray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lizant et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    28. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    29. Agreste – Enquête Structure 2007
    30. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    31. Ce lieu dit n'a pas de lien avec la famille Dugros de Boisseguin. Cette famille appartient à l'ancienne bourgeoisie de la Saintonge (Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 14, pages 374 à 375 Dugros de Boisseguin.
    32. DREAL Poitou-Charentes / SDAP, 2013
    33. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=13217
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