Saint-Gaudent

Saint-Gaudent est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ne doit pas être confondu avec Saint-Gaudens.

Saint-Gaudent

L'église (fin XIXe).
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Josette Colas
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86220
Démographie
Gentilé Saint-Gaudentais
Population
municipale
313 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 07′ 00″ nord, 0° 17′ 24″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 153 m
Superficie 11,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Gaudent
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Gaudent
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Saint-Gaudent
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Gaudent

    Géographie

    Saint-Gaudent est une commune rurale.

    La commune est proche du parc naturel régional Périgord Limousin.

    Les citoyens de Saint-Gaudent sont nommés les Saint-Gaudentais et les Saint-Gaudentaises.

    Localisation

    La grande ville la plus proche de Saint-Gaudent est Poitiers et se trouve à 52,33 km au nord, à vol d'oiseau.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Saint-Gaudent présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose [1] pour 100 % de Terres Rouges plus ou moins profondes qui sont situées sur les plateaux. Ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central.

    En 2006, 88,5 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 9,1 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2,4 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

    Hydrographie

    Le Ruisseau du Pas de la Mule est le principal cours d'eau qui traverse le territoire de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 866 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Civray », sur la commune de Civray, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 859,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 51 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communication et transports

    Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

    Les aéroports les plus proches de Saint-Gaudin sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gaudent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (2,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune s'est appelée jusqu'en 1793 : Gaudent, puis jusqu'en 1801 : Saint-Gaudant.

    Histoire

    Le premier arbre de la liberté de la Révolution française est planté par le curé de Saint-Gaudent, Pressac de la Chassagnaye, en [22]. Norbert Pressac, curé proche de ses paroissiens et progressiste[23], fait un discours sur les bienfaits de la Révolution, et exhorte ses concitoyens à finir leurs procès par des arbitrages afin que la concorde et l’union fasse prospérer cet arbre[24]. En 1811, un autre arbre est planté en l’honneur de la naissance du fils de Napoléon Ier, Napoléon II le roi de Rome[25].

    Politique et administration

    Saint-Gaudent dépend de la sous-préfecture de la Vienne à Montmorillon.

    Intercommunalité

    Saint-Gaudent est rattachée à la communauté de communes du Civraisien.

    Depuis 2015, Saint-Gaudent est dans le canton de Civray (n°6) du département Vienne. Avant la réforme des départements, Saint-Gaudent était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 André Cordeau    
    mars 2008 mars 2014 Gabriel Ordonneau    
    mars 2014 En cours Josette Colas    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2019, la commune comptait 313 habitants[Note 7], en augmentation de 3,99 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    367384333361385388401426407
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    412420418416423409412431415
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    395396377355344346356376376
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    320317327337341305285288294
    2014 2019 - - - - - - -
    302313-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 25 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Saint-Gaudent ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 306 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (douze personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 294 habitants.

    La répartition de la population par sexe était :

    • en 1999 : 48,9 % d'hommes et 51,1 % de femmes.
    • en 2004 : 50,9 % d'hommes et 49,1 % de femmes.
    • en 2010 : 45,7 % d'hommes pour 54,3 % de femmes.

    En 2004, selon l'Insee :

    • le nombre de célibataires était de 22,9 % ;
    • les couples mariés représentaient 64,1 % de la population ;
    • les divorcés représentaient 4,5 % ;
    • le nombre de veuves et veufs était de 8,6 %.

    Le nombre de naissances entre 1999 et 2009 est de 22 et celui des décès, durant cette décennie, de 35.

    Enseignement

    La commune de Saint-Gaudent dépend de l'académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'Iinspection académique de la Vienne. L’école primaire publique de Saint-Gaudent est une classe unique de cycle 3 (CE2-CM1-CM2) de 22 élèves. L’école fait partie d’un regroupement pédagogique intercommunal. Ainsi, les maternelles sont localisées à Lizant puis les CP et CE1 à l’école de Voulême et enfin les CE2, CM1 et CM2 à l’école de Saint-Gaudent.

    Santé

    L’association départementale de parents et amis des personnes handicapées mentales de la Vienne gère un établissement – un institut médico-éducatif (IME) - situé au lieu-dit le Roc. Cet établissement est agréé pour dispenser une éducation et un enseignement spécialisés pour des enfants et adolescents atteints de déficience à prédominance intellectuelle.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[31], il n'y a plus que dix exploitations agricoles en 2010 contre 23 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 160 hectares en 2000 à 855 hectares en 2010. 43 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour 88 % des surfaces céréalières mais aussi d'orge), 32 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 8 % pour le fourrage et 15% restent en herbe[31].

    Cinq exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un élevage de bovins (586 têtes en 2010 contre 875 têtes en 2000). L'élevage d'ovins a disparu au cours de cette décennie[31]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7% de 1990 à 2007[32].

    La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

    • Chabichou du Poitou (AOC)
    • Beurre Charente-Poitou (AOC)
    • Beurre des Charente (AOC)
    • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
    • Veau du Limousin (IGP)
    • Porc du Limousin (IGP)
    • Jambon de Bayonne (IGP)

    Développement durable

    Sur le sol de la commune, un parc, regroupant douze éoliennes, devrait voir le jour en mai 2014 après neuf ans de procédure. Ce parc, le plus grand du département de la Vienne, est à cheval sur les communes de Saint-Macoux, de Saint-Gaudent, de Lizant et de Voulême. Ce parc représente une puissance totale de 24 MW pour une production estimée à 53 GWh, soit la consommation annuelle moyenne de 26 500 habitants. Les éoliennes sont composées d'un mât de 100 m de hauteur et de pales de 50 m. Cette énergie renouvelable devrait permettre d'économiser chaque année 17 000 tonnes de CO2.

    Emplois

    Le taux de chômage en 2004 était de 5,8 % et en 1999 il était de 8,1 %.

    Les retraités et les préretraités représentaient 30,5 % de la population en 2004 et 24,9 % en 1999.

    Le taux d'activité était de 77,7 % en 2004 et de 68,9 % en 1999.

    Le nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois de catégories A (personnes sans emploi et recherchant activement un emploi),B (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de 78 h ou moins au cours du mois), C (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de plus de 78 h au cours du mois) au était de 12.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • Église de Saint-Gaudent : elle date du XIVe siècle. Elle a été transformée en foyer rural. De l’édifice primitif, seul demeure le campanile à une baie qui a été refait au XVIIIe siècle. Sa porte d’entrée qui est de style gothique ogival et date du XIVe siècle, a été placée dans la nouvelle église, à l’entrée du transept sud.
    • Église paroissiale : elle a été construite de 1880 à 1882 par les architectes Boutaud et Perlat. Elle est de style néo-gothique. Les trois cloches ont été bénies le .

    Patrimoine civil

    • Château de la Roche d’Orillac : du château d’origine, il ne reste de nos jours que la tour centrale, une porte en accolade et une fenêtre moulurée datant du XVe siècle. Le château est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1935 pour sa cheminée, son portail et son élévation.
    • Logis de Cornac qui date de la fin du XVIIe siècle.
    • Château du Roc : il date du XVIIIe siècle. Il se compose d’un long bâtiment à un étage qu’encadrent deux pavillons.

    Patrimoine naturel

    Équipement culturel

    Une salle de spectacle d’une capacité de 150 personnes

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Civray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Gaudent et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Civray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Gaudent et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 19-20.
    23. Robert Petit, op. cit., p. 22-23.
    24. Robert Petit, op. cit., p. 20-21.
    25. Robert Petit, op. cit., p. 22.
    26. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    32. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    33. Poitou-Charentes Nature, 2000
    • Portail de la Vienne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.