Saint-Saud-Lacoussière

Saint-Saud-Lacoussière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Saud-Lacoussière

Le village de Saint-Saud-Lacoussière.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Pierre Duval
2020-2026
Code postal 24470
Code commune 24498
Démographie
Population
municipale
827 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 39″ nord, 0° 49′ 11″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 370 m
Superficie 58,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Saud-Lacoussière
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Saud-Lacoussière
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Saud-Lacoussière
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Saud-Lacoussière

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    Au nord du département de la Dordogne, en Périgord vert, la commune de Saint-Saud-Lacoussière se trouve dans le parc naturel régional Périgord-Limousin. Son territoire est arrosé du nord-est à l'ouest par la Dronne, principal affluent de l'Isle. Elle est également bordée par un affluent de la Côle, la Queue d'âne, qui lui sert de limite sur 500 mètres à l'est avec la commune de Mialet et sur cinq kilomètres au sud-est avec celle de Saint-Jory-de-Chalais. Avec un peu plus de 58 km2 de superficie[1], c'est la dixième commune la plus étendue du département.

    Le bourg de Saint-Saud-Lacoussière, implanté à moins d'un kilomètre de la Dronne et traversé par la route départementale 79, se situe, en distances orthodromiques, douze kilomètres à l'est de Nontron et seize kilomètres au nord-nord-ouest de Thiviers.

    La commune est également desservie par les routes départementales 82 et 85.

    Entre la Valade au sud-est et la Chapelle Verlaine au nord-ouest, le sentier de grande randonnée GR 654 parcourt le territoire communal sur une douzaine de kilomètres en passant par le bourg.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Saud-Lacoussière et des communes avoisinantes.

    Saint-Saud-Lacoussière est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département de la Haute-Vienne.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Saud-Lacoussière est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée λ, se compose de quartzo-leptynites à biotite et muscovite, en intercalations dans les métaschistes (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 711 - Châlus » et « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].

    Carte géologique de Saint-Saud-Lacoussière.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 189 mètres[7] à l'ouest, près du lieu-dit Larret, là où la Dronne, en aval du saut du Chalard, quitte la commune pour servir de limite entre celles de Champs-Romain et Saint-Pardoux-la-Rivière, et 370 mètres[7] à l'extrême nord, sur la route départementale 6b, en limite des communes de Mialet et Pensol[8].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[11],[12].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 58,04 km2[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 59,89 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dronne, la Queue d'Ane, le Manet, le ruisseau de la Malincourie, le ruisseau de la Bucherie, le ruisseau de Larret, le ruisseau de Rébière, le ruisseau de Vergne-Nègre et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 51 km de longueur totale[17],[Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,6 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle en limite de Sablons et de Coutras en Gironde, après avoir traversé 54 communes[18].

    La Queue d'âne, d'une longueur totale de 18,61 km, prend sa source dans la commune de Mialet et se jette dans la Côle à Saint-Jean-de-Côle, après avoir traversé cinq communes[19].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente », dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[20]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[24].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 042 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[29] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[30],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[31]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 48 km[32], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[33], à 11,4 °C pour 1981-2010[34], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Saud-Lacoussière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[36],[37],[38]. La commune est en outre hors attraction des villes[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,8 %), zones agricoles hétérogènes (41,5 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (0,9 %), terres arables (0,6 %)[41].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Sensaut e la Cossiera[42].

    Histoire

    Au XIIIe siècle, Saint-Saud (appelée Sensaut) était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[43].

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de La Coussière-sur-Dronne[7].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 1995, Saint-Saud-Lacoussière intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

    Liste des maires

    La mairie de Saint-Saud-Lacoussière.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1965 mars 1971 Edmond Mariaud    
    mars 1971 mars 1977 Edmond Mariaud   Retraité
    1977 1995 Jules Couvidat DVG Instituteur puis directeur d'école
    1995 2001 Gilbert Barrateau    
    mars 2001 mars 2014 Sylvie Seegers SE[46] Agricultrice
    mars 2014[47]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Pierre Duval    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Saud-Lacoussière relève[48] :

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

    En 2019, la commune comptait 827 habitants[Note 8], en diminution de 3,73 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8701 8311 8051 9272 2972 2712 5522 6872 703
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5622 4172 5042 1712 3322 4172 5692 7082 690
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6852 7982 6892 6652 2842 1742 1131 6631 602
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4681 2841 1481 045951868861859868
    2015 2019 - - - - - - -
    844827-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Chaque année, début octobre, Fête du cèpe et du veau sous la mère[52]. En 1996 est d'abord organisée la première Fête du cèpe, avec dégustation de produits locaux, et en 2000, le veau sous la mère  de race limousine  est associé au cèpe[53].

    Économie

    Emploi

    En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 294 personnes, soit 34,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-six) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 103 établissements[55], dont 46 au niveau des commerces, transports ou services, 31 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans la construction, six dans l'industrie, et quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Georges Rocal (1881-1967), historien du Périgord, fut curé du village pendant près de 50 ans. Il a publié différents ouvrages décrivant les us et coutumes de la région (Les Vieilles Coutumes dévotieuses et magiques du Périgord, Croquants du Périgord...).
    • Marie-Justin-Maurice Coste dit Maurice Talmeyr (1850-1931), journaliste et écrivain, habita la commune et y décéda.
    • Le comte Joseph de Beynac (1863-1951), maître d’équipage et dandy, propriétaire du château de Beynac.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Saud-Lacoussière » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Saint-Saud-Lacoussière sur le site de l'IGN, consulté le 23 mars 2011.
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Saint-Saud-Lacoussière » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Saud-Lacoussière », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 711 - Châlus de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Saud-Lacoussière », sur le site de l'Insee (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    17. « Fiche communale de Saint-Saud-Lacoussière », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    18. Sandre, « la Dronne »
    19. Sandre, « la Queue d'Ane »
    20. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    21. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    22. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    23. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    24. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    25. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    26. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    27. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    28. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    29. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    30. « Orthodromie entre Saint-Saud-Lacoussière et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    31. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    32. « Orthodromie entre Saint-Saud-Lacoussière et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    33. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    34. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    35. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    36. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    38. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    42. Le nom occitan des communes du Périgord - Sensaut e la Cossiera sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.
    43. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
    44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
    46. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 21.
    47. À Saint-Saud-Lacoussière, Sud Ouest édition Périgueux du 4 avril 2014, p. 25.
    48. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    52. Pierre-Manuel Réault, « Veaux, cèpes et omelettes », Sud Ouest édition Dordogne, 30 septembre 2011.
    53. Jean-Louis Cordier, « L'histoire de la fête du cèpe et du veau », Sud Ouest édition Périgueux, 3 octobre 2015, p. 23.
    54. Dossier complet - Commune de Saint-Saud-Lacoussière (24498) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
    55. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    56. Dossier complet - Commune de Saint-Saud-Lacoussière (24498) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
    57. Jean-Louis Cordier, « L'arboretum, un lieu qui vaut le détour », Sud Ouest édition Périgueux, 8 mai 2018, p. 18.
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Dordogne
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.