Saint-Jory-de-Chalais

Saint-Jory-de-Chalais est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jory (homonymie).

Saint-Jory-de-Chalais

L'église Saint-Georges de Saint-Jory-de-Chalais.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Bernard Vauriac
2020-2026
Code postal 24800
Code commune 24428
Démographie
Gentilé Saint-Georgiens
Population
municipale
601 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 56″ nord, 0° 53′ 59″ est
Altitude Min. 178 m
Max. 304 m
Superficie 31,73 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Thiviers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jory-de-Chalais
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jory-de-Chalais
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Jory-de-Chalais
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Jory-de-Chalais

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    La commune de Saint-Jory-de-Chalais est irriguée du nord au sud par trois cours d'eau : au centre la Côle, et de chaque côté, ses affluents la Queue d'âne en limite ouest et le Touroulet à l'est.

    Le bourg, établi en bordure du Touroulet, est situé, en distances orthodromiques, dix kilomètres au nord de Thiviers et onze kilomètres à l'est de Saint-Pardoux-la-Rivière, au croisement des routes départementales 77 et 98.

    Au sud-est, la commune est bordée par la route nationale 21, axe qui relie Limoges aux Pyrénées centrales.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Jory-de-Chalais et des communes avoisinantes.

    Saint-Jory-de-Chalais est limitrophe de sept autres communes. Au nord-est, son territoire est distant d'environ 500 mètres de celui de La Coquille.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Jory-de-Chalais est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Jory-de-Chalais.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 178 mètres et 304 mètres[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[9],[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 31,73 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 32,39 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Côle, la Queue d'Ane, le Touroulet, le Mauroussie, le ruisseau de Jalinie et le ruisseau de Pierrefiche, qui constituent un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[15],[Carte 1].

    La Côle, d'une longueur totale de 51,53 km, prend sa source dans la commune de Firbeix et se jette dans la Dronne à Brantôme en Périgord, en limite avec Condat-sur-Trincou, après avoir traversé 11 communes[16].

    La Queue d'âne, d'une longueur totale de 18,61 km, prend sa source dans la commune de Mialet et se jette dans la Côle à Saint-Jean-de-Côle, après avoir traversé cinq communes[17].

    Le Touroulet, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source dans la commune de La Coquille et se jette dans la Côle en limite de Saint-Jory-de-Chalais et de Thiviers, après avoir traversé quatre communes[18].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 070 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[27] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[28],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 48 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 11,4 °C pour 1981-2010[32], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jory-de-Chalais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[34],[35],[36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,9 %), forêts (37,2 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (1 %)[39].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    Panneau d'entrée au bourg de Saint-Jory-de-Chalais en français et occitan.

    Le nom de la commune, sous une forme occitane, fait référence à saint Georges, martyr chrétien au IVe siècle, et Chalais correspond au village voisin[40].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Jòri de Chalés[41].

    Histoire

    La « Pierre Levée », dolmen près du lieu-dit Jalinie, démontre une présence ancienne sur le territoire communal[40].

    La première mention écrite connue du lieu remonte à la fin du XIIe siècle sous la forme Sanctus Georgius de Chalesio[40].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Jory de Chalaix.

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Chalais-la-Montagne[5].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Jory-de-Chalais a, dès 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[5].

    Intercommunalité

    Fin 1995, Saint-Jory-de-Chalais intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand dont elle est le siège. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac, et son siège social est fixé à Thiviers[42] puis en en communauté de communes Périgord-Limousin[43].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Jacques Duchassaing DVG  
    mars 1983[46]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Bernard Vauriac PS[47] Cadre commercial
    Conseiller régional
    Président (depuis 2004) des communautés de communes du Pays de Jumilhac,
    puis des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac, puis de Périgord-Limousin

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Jory-de-Chalais relève[48] :

    Jumelages

    Huit des neuf communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, dont Saint-Jory-de-Chalais, sont jumelées avec la municipalité allemande de Romrod depuis 2012, La Coquille l'étant depuis 1990[49].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

    En 2019, la commune comptait 601 habitants[Note 8], en augmentation de 9,07 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2181 0081 0321 1941 2141 4271 2951 4361 368
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3691 3281 3341 2241 3051 3971 4681 5461 536
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5471 5461 5411 2981 3081 2411 0501 0141 022
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    978943827677600596626575579
    2019 - - - - - - - -
    601--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'ancienne école de garçons a été transformée en école maternelle publique[53].

    Économie

    Emploi

    En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 220 personnes, soit 38,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2010 (23) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 61 établissements[55], dont vingt-six au niveau des commerces, transports ou services, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Jory-de-Chalais » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Jory-de-Chalais » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Jory-de-Chalais », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Jory-de-Chalais », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Jory-de-Chalais », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. Sandre, « la Côle »
    17. Sandre, « la Queue d'Ane »
    18. Sandre, « le Touroulet »
    19. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    23. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    24. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    25. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    28. « Orthodromie entre Saint-Jory-de-Chalais et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    30. « Orthodromie entre Saint-Jory-de-Chalais et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    32. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    42. [PDF] « Arrêté no 2016/095 portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, p. 165-169.
    43. [PDF] « Arrêté no 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, p. 170-172.
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    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    53. École primaire, Ministère de l'Éducation nationale, consulté le 7 mai 2020.
    54. Dossier complet - Commune de Saint-Jory-de-Chalais (24428) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.
    55. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    56. Dossier complet - Commune de Saint-Jory-de-Chalais (24428) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.
    57. Panneau d'information sur la place de l'église à Saint-Jory-de-Chalais
    58. Livre d'Or de l'Institut catholique de Paris
    59. Plaque dédiée aux MplF qui se situe dans le cloître de la maison Saint Sixte de Reims, maison qui fut celle du grand Séminaire
    60. Thomas Mankowski, « L’acteur Jean-François Garreaud est décédé en Dordogne », Sud Ouest, , consulté le .
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