Saint-Sulpice-de-Grimbouville

Saint-Sulpice-de-Grimbouville (anciennement Saint-Sulpice-de-Graimbouville) est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sulpice.

Saint-Sulpice-de-Grimbouville

La mairie de Saint-Sulpice et,
en arrière-plan, la vallée de la Risle.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville
Maire
Mandat
Alain Gesbert
2020-2026
Code postal 27210
Code commune 27604
Démographie
Gentilé Grimbaldien
Population
municipale
157 hab. (2019 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 39″ nord, 0° 26′ 50″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 121 m
Superficie 4,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pont-Audemer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Sulpice-de-Grimbouville
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Saint-Sulpice-de-Grimbouville

    Géographie

    La commune est dans l'espace naturel de la vallée de la Risle maritime. Les marais de Saint-Sulpice font partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Communes limitrophes de Saint-Sulpice-de-Grimbouville[1]
    Foulbec Foulbec
    Bouquelon
    Bouquelon
    Saint-Maclou Bouquelon
    Toutainville Toutainville Toutainville

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 843 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lieurey », sur la commune de Lieurey, mise en service en 2000[9] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 879,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sulpice-de-Grimbouville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-Audemer, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,5 %), forêts (23 %), terres arables (21,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Grinbordi villam (=Grinboldi villam) vers 1040[23]; Grimboldi villam au XIIe siècle[23] (cartulaires de l'abbaye de Préaux); Sanctus Sulpitius de Graimbouville au XIIIe siècle[23], Saint Soupplice en 1320 (archives nationales), Sanctus Supplicius de Grimbouvilla en 1324 (cartulaire de Préaux), Saint Suplix en 1722 (Masseville)[24].

    La commune portait officiellement, jusqu'au décret du 14 mars 1991, le nom de Saint-Sulpice-de-Graimbouville (avec un a supplémentaire à Grim- ). On rencontre encore fréquemment cette orthographe dans divers documents non réactualisés. Le changement de graphie a été opéré pour être en conformité avec l'étymologie ancienne de la commune, attestée sous la forme latinisée de Grimboldi villam au XIIe siècle[23].

    Saint-Sulpice est un hagiotoponyme, ce lieu et son église sont voués à Sulpice le Pieux.

    Grimbouville: Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » dont le premier élément Grimbou- représente le nom de personne germanique continental ou anglo-saxon Grimboldus[23] (comprendre Grimbold). L'hypothèse anglo-scandinave est préférable, Grimbouville étant situé dans la zone de diffusion des toponymes norrois et anglo-saxons au Xe siècle[23].

    Homonymie avec Graimbouville, commune du pays de Caux, également localisée dans la zone de diffusion des toponymes anglo-scandinaves. À noter qu'il n'existe apparemment pas hors de Normandie. L'élément grim, ayant servi à composer ce nom de personne est fréquemment attesté dans l'anthroponymie norroise sous la forme Grimr (islandais moderne Grimur, prénom) et en latin dans les documents de l'époque ducale sous la forme Grinius. Une grande partie des Grainville, ainsi que Grimbosq est constituée avec ce nom de personne. On le retrouve en composé dans Valcongrain issu de « val » Kolgrimr, ainsi que dans Lingreville (Legrinvilla 1056 - 1066) issu de Leodgrimr ou Leofgrimr[25]. L'élément -bold est quant à lui plutôt germanique continental et anglo-saxon.

    Le patronyme Grimbold, rarissime, est également attesté en Alsace et est aussi un personnage de J. R. R. Tolkien.

    Histoire

    Terre de Grimbold au XIe siècle, citée dans les cartulaires de l'abbaye de Préaux, elle avait été donnée à celle-ci par Honfroy de vieilles, nanties en 1150 d'une chapelle érigée en paroisse en 1350.[réf. nécessaire]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    7 septembre 2016[26] Jean-Marc Leprevost DVD Agriculteur retraité
    09/2016 En cours Julien Dagry SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2019, la commune comptait 157 habitants[Note 8], en diminution de 12,78 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    185198219123242170161168156
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    134142143124128105112109109
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    84879110610195879493
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1098395136159142170178180
    2018 2019 - - - - - - -
    160157-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Sulpice-de-Grimbouville compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • l'église Saint-Sulpice (XIIe, XIVe et XVIIIe)[31]. Cette église conserve des baies des XIVe et XVe siècles et un arc en plein-cintre d'époque romane, mais l'ensemble a été reconstruit à l'époque classique[32] ;
    • le cimetière possède un arbre remarquable : un if funéraire [33] vieux de 800 ans environ ;
    • le château de la Mare (XVIe (?) et XVIIIe)[34] ;
    • le manoir de la Ferme du Bois (XVIIe et XVIIIe)[35] ;
    • une ferme des XVIIe et XIXe siècles[36].

    Autre lieu :

    • l'actuelle mairie est abritée par une construction médiévale en colombages et couverte de chaume datant de 1420 environ. Bâtie sous la domination anglaise durant la guerre de Cent Ans, elle a été déplacée d'une dizaine de kilomètres et reconstruite après restauration sur son lieu actuel. Il s'agit vraisemblablement de la porterie monumentale d'un ouvrage, manoir ou château, encore plus important. Au bord de la route de Pont-Audemer subsiste encore l'ancienne mairie du XIXe siècle actuellement en ruine.

    Zone humide protégée par la convention de Ramsar

    • Marais Vernier et Vallée de la Risle maritime[37].

    Parc naturel

    • Parc naturel des boucles de la Seine normande[38].

    Terrain acquis par le conservatoire du littoral

    Natura 2000

    • Marais Vernier, Risle Maritime[40].
    • Estuaire et marais de la Basse-Seine[41].

    ZNIEFF de type 1

    • Les prairies alluviales de la basse vallée de la Risle[42].

    ZNIEFF de type 2

    • La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine[43].

    Site classé

    • L'avenue de Hêtres,  Site classé (1940)[44]. Cette avenue, composée de 76 arbres, borde la propriété de la Mare, appelée chemin du Roi-Louis.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Lieurey - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Grimbouville et Lieurey », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Lieurey - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Grimbouville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. François de Beaurepaire,Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard, 1981, p. 190.
    24. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 207.
    25. François de Beaurepaire,Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986.
    26. « Jean-Marc Leprévost, maire de Saint-Sulpice-de-Grimbouville, est décédé », sur Paris-Normandie (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Église Paroissiale Saint-Sulpice », notice no IA00054626, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Guides bleus, Hachette, Paris-Normandie 1994. p. 496.
    33. Site de l'A.R.B.R.E (à jour de mai 2016, consulté le 24 septembre 2017) .
    34. « Château de la Mare », notice no IA00054627, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Manoir de la Ferme du Bois », notice no IA00054629, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Ferme », notice no IA00054628, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Marais Vernier et Vallée de la Risle maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « Boucles de la Seine normande », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    39. « Risle Maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    40. « Marais Vernier, Risle Maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    41. « Estuaire et marais de la Basse Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    42. « Les prairies alluviales de la basse vallée de la Risle », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    43. « La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    44. « L'avenue de hêtres à Saint-Sulpice-de-Grimbouville », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).

    Voir aussi

    Liens externes

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