Samuel L. Jackson

Samuel Leroy Jackson (prononcé en anglais : [ˈsæmjuəl ˈliːˌɹɔɪ ˈd͡ʒæksən][2]), dit Samuel L. Jackson est un acteur et producteur de cinéma américano-gabonais, né le à Washington, D.C.

Pour les articles homonymes, voir Jackson.

Samuel L. Jackson
Samuel L. Jackson en 2019.
Nom de naissance Samuel Leroy Jackson
Naissance
Washington, D.C. (États-Unis)
Nationalité Américaine
Gabonaise[1]
Profession Acteur
Producteur
Films notables Pulp Fiction
Star Wars (prélogie)
Django Unchained
Univers cinématographique Marvel
Site internet http://www.samuelljackson.com/

Il accède à la célébrité internationale durant les années 1990 avec des prestations remarquées, comme dans Jurassic Park (1993) de Steven Spielberg, Pulp Fiction (1994) de Quentin Tarantino (dont il deviendra l'acteur fétiche), ou encore Une journée en enfer (1995) de John McTiernan, et Au revoir à jamais (1996), de Renny Harlin.

Durant les années 2000, il participe à plusieurs franchises : il joue le Jedi Mace Windu dans la prélogie de Star Wars, porte la suite Shaft (2000), de John Singleton, et seconde Vin Diesel pour la trilogie d'action xXx. Par ailleurs, il incarne Elijah Price dans le thriller fantastique Incassable (2000), de M. Night Shyamalan et porte les films indépendants remarqués Des serpents dans l'avion (2006) et Black Snake Moan (2008).

À partir de 2002, le personnage du directeur du SHIELD Nick Fury prend les traits de Samuel L. Jackson dans les Marvel Comics. L'acteur endosse le rôle de Fury dans l'Univers cinématographique Marvel à partir de 2008 et apparaît ainsi dans les films Iron Man, Thor, Captain America, Avengers, Spider-Man et Captain Marvel.

Il a également prêté sa voix dans plusieurs films, séries et jeux vidéo, dont notamment à Lucius Best / Frozone dans les films Les Indestructibles (2004) et sa suite (2018), Afro Samurai dans l'anime homonyme (2007), ou encore, Frank Tenpenny dans le jeu vidéo Grand Theft Auto: San Andreas (2004).

Il a tourné avec, entre autres, John Landis, Martin Scorsese, Joel Schumacher, Quentin Tarantino, Spike Lee, M. Night Shyamalan, George Lucas, John McTiernan, John Boorman, Steven Spielberg, Brad Bird, William Friedkin, Paul Thomas Anderson, Barry Levinson, Steven Soderbergh, Barbet Schroeder, Tony Scott ou, plus récemment, Tim Burton. En 2011, il entre dans le Livre Guinness des records en tant qu'acteur ayant apporté le plus de recettes au box-office mondial.

Biographie

Jeunesse et débuts

Samuel Leroy Jackson entre au Morehouse College d'Atlanta pour entreprendre des études de policier qui furent très vite interrompues. Il continua en hôtellerie restauration, son rêve était d’avoir un complexe de chambres d’hôtes, des horizons de champs de vignes, des chevaux sur des terres, bref un grand patron chef et patron chez lui [3], mais c'est avec un diplôme d'art dramatique qu'il en ressort en 1972. Il fait ses débuts au cinéma la même année dans Together for Days de Michael Schultz, mais il préfère se consacrer au théâtre en jouant à New York.

Il y fait la rencontre de Spike Lee qui lui confie par la suite quelques petits rôles dans ses films (Do the right thing, Mo' Better Blues). Cette collaboration lui permet d'obtenir au festival de Cannes en 1991 le prix du meilleur second rôle pour Jungle Fever, Lala City, Gorilia ticket, Cellular life’s , panoplies de rôles ou son talent de caméléon y prend forme.

Débuts et révélation du cinéma d'action (années 1990)

L'acteur aux côtés de Bruce Willis au San Diego Comic-Con 2018, avec qui il a tourné Pulp Fiction (1994), Une journée en enfer (1995), Incassable (2000) et Glass (2019).

Il enchaîne alors les seconds rôles dans plusieurs films, dont Les Affranchis (1990), de Martin Scorsese, Jeux de guerre (1992), de Phillip Noyce ou encore Jurassic Park (1993), de Steven Spielberg. Quentin Tarantino le repère lors du tournage d'un film qu'il a scénarisé, le thriller True Romance, réalisé par Tony Scott. Il lui confie alors le rôle de Jules Winnfield, le tueur philosophe de Pulp Fiction. Le long-métrage lance définitivement la carrière de l'acteur, en faisant une star connue du monde entier.

L'année 1995 le propulse tête d'affiche de deux films d'action : Kiss of Death, de Barbet Schroeder, où il évolue aux côtés de David Caruso et Nicolas Cage, puis surtout Une journée en enfer, de John McTiernan, où il incarne Zeus Carver, l'acolyte du héros John McClane, interprété par Bruce Willis.

Si en 1996, il garde un pied dans le cinéma indépendant, apparaissant dans Double mise, le premier long-métrage de Paul Thomas Anderson et portant la comédie La Couleur de l'arnaque, de Reginald Hudlin, il joue aussi dans des grosses productions : partageant l'affiche du thriller judiciaire Le Droit de tuer ? avec Matthew McConaughey et Sandra Bullock, puis étant pour la première fois propulsé premier rôle masculin pour le film d'action Au revoir à jamais, aux côtés de Geena Davis.

Jusqu'à la fin des années 1990, il essaie de s'imposer comme tête d'affiche : en 1997, Tarantino fait de nouveau appel à lui pour son troisième long-métrage, Jackie Brown, où l'acteur se voit confier un personnage clé ; la même année, il joue un professeur remplaçant dans le drame social 187 code meurtre, de Kevin Reynolds, puis il joue un père borderline dans le thriller Le Secret du bayou, de Kasi Lemmons, qu'il produit également. Ces deux projets le voient aussi sortir du registre des films d'action à gros budget.

L'année 1998 le voit de nouveau jouer un policier dans le thriller Négociateur où il a pour partenaire Kevin Spacey, puis incarner un scientifique pour le film de science-fiction Sphère, de Barry Levinson, où il côtoie cette fois Dustin Hoffman et Sharon Stone.

En 1999, il intervient comme un second rôle de luxe : d'abord dans le thriller d'action Peur bleue, qui lui permet de retrouver le réalisateur Renny Harlin, pour lequel il incarne un entrepreneur milliardaire, mais surtout dans le blockbuster évènement Star Wars, épisode I : La Menace fantôme, réalisé par George Lucas, où il incarne le maître Jedi Mace Windu. Il continuera à incarner ce personnage dans les deux autres chapitres de la prélogie Star Wars, qui sortiront en 2002 et 2005.

L'année 2000 le voit partager l'affiche du drame militaire L'Enfer du devoir, de William Friedkin, avec Tommy Lee Jones, mais surtout reprendre le rôle mythique de J.P. Shaft dans un thriller d'action, Shaft, réalisé par John Singleton. Pour finir, l'acteur retrouve Bruce Willis une troisième fois, pour le thriller fantastique Incassable, réalisé par M. Night Shyamalan. Son interprétation du complexe et cérébral Elijah Price annonce des années 2000 placées sous le sceau de rôles plus sérieux.

Diversification et tête d'affiche (années 2000)

Durant les années 2000, l'acteur tourne beaucoup, alternant seconds rôles dans des films d'action et premiers rôles de projets plus dramatiques.

Il capitalise d'abord sur son succès en produisant et jouant dans deux projets singuliers : la comédie d'action Le 51e État, dont il partage l'affiche avec Robert Carlyle puis le drame musical The Caveman's Valentine.

Mais par la suite, il se diversifie à Hollywood en partageant l'affiche du drame Dérapages incontrôlés (2002), avec Ben Affleck ; du thriller Sans motif apparent (2002), avec Milla Jovovich ; du drame historique In My Country (2004), avec Juliette Binoche ; du thriller Instincts meurtriers (2004), avec Ashley Judd ; de la comédie Le Boss avec Eugene Levy ; du thriller social La Couleur du crime (2006) avec Julianne Moore ; du mélodrame sportif Renaissance d'un champion (2007) avec Josh Hartnett ; du drame horrifique avec Chambre 1408 (2007) avec John Cusack. Enfin, il retrouve Renny Harlin une troisième fois pour le thriller Cleaner, où il est secondé par Ed Harris et Eva Mendes, puis partage l'affiche du biopic musical Soul Men (2008) avec Bernie Mac. Pour finir, il incarne l'amant de Naomi Watts pour le drame choral Mother and Child, écrit et réalisé par Rodrigo Garcia.

Comme unique tête d'affiche , il porte le drame sportif Coach Carter (2005) et la comédie d'action Des serpents dans l'avion (2006). Puis il retourne à un cinéma indépendant et sombre pour Black Snake Moan (2007), écrit et réalisé par Craig Brewer, puis le film indépendant coup de poing Harcelés (2008), de Neil LaBute.

En 2006, il est membre du jury au Festival de Cannes sous la présidence de Wong Kar-wai. Il y retrouve par ailleurs Tim Roth, avec qui il avait travaillé auparavant sur Pulp Fiction.

Outre son personnage de Mace Windu, il participe à d'autres films d'action hollywoodiens : xXx (2002) et sa suite, XXX 2: The Next Level (2005) ; retrouve John McTiernan et John Travolta pour Basic (2003) ; fait partie des protagonistes musclés de S.W.A.T. unité d'élite (2003), aux côtés de Colin Farrell ; retrouve Quentin Tarantino pour un second rôle dans Kill Bill : Volume 2 ; seconde Hayden Christensen pour le blockbuster fantastique Jumper (2008), de Doug Liman ; fait partie du casting de l'ambitieuse adaptation de comic-books The Spirit, de Frank Miller.

Mais finalement, son rapprochement de l'univers des comic-books va se traduire par un engagement qui va marquer la phase suivante de sa carrière. Au début des années 2000, la star autorise Marvel Comics à ce que le personnage du directeur du SHIELD, Nick Fury soit redessiné selon ses traits, à condition qu'en cas d'adaptation cinématographique, il incarne le personnage[4],[5]. Ainsi, à partir de 2008, l'acteur intègre l'Univers cinématographique Marvel en jouant Fury dans la scène post-générique du blockbuster Iron Man (2008), de Jon Favreau. Il signe alors pour apparaître dans neuf autres films sortis durant la décennie 2010[6],[5]. Mais il joue en fait dans onze films du MCU, les derniers en date étant Captain Marvel, Avengers : Endgame et Spider-Man: Far From Home en 2019, et il annonce n'avoir aucune intention de quitter cet univers cinématographique[7].

Nick Fury et cinéma d'action (années 2010)

L'acteur au San Diego Comic-Con 2010, pour la promotion du blockbuster évènement The Avengers.

Son personnage va jouer un rôle clé dans la première phase de l'univers produit par les studios Disney : il est présent dans Iron Man 2 (2010), Thor et Captain America: First Avenger (2011) puis The Avengers (2012) pour superviser la formation du groupe de superhéros. Il revient dans la seconde phase pour voir son personnage développé dans Captain America: The Winter Soldier (2014) puis pour quelques scènes de Avengers: Age of Ultron (2015). Il conclut ensuite la phase 3 : il incarne une version rajeunie du personnage dans le film préquelle Captain Marvel, quelques scènes de Avengers : Endgame puis enfin Spider-Man: Far From Home (2019). Il apparait également dans la série Marvel: Les Agents du SHIELD durant le deuxième et le dernier épisode de la première saison, diffusée entre 2013 et 2014[8].

En 2011, il entre dans le Livre Guinness des records en tant qu'acteur ayant apporté le plus de recettes au box-office mondial[9].

Parallèlement à l'Univers cinématographique Marvel, l'acteur participe à d'autres films d'action produits par les studios : le remake RoboCop (2014), de José Padilha ; il incarne aussi l'antagoniste de l'adaptation de comic-books Kingsman : Services secrets (2015), de Matthew Vaughn puis prête ses traits à George Washington Williams dans le remake Tarzan (2016), de David Yates. Il joue aussi dans la comédie d'action Secret Agency, puis est pour la première fois dirigé par Tim Burton pour le conte Miss Peregrine et les Enfants particuliers (2016). Il redevient un militaire pour Kong: Skull Island (2017), où il a aussi pour la première fois pour partenaire Brie Larson. Il lance enfin en 2015 une nouvelle franchise de buddy movie d'action avec Ryan Reynolds, intitulée Hitman and Bodyguard.

Parallèlement, il retrouve d'anciens personnages, d'abord pour clore deux trilogies : en 2017, XXx : Reactivated avec Vin Diesel, puis en 2019 Glass toujours avec M. Night Shyamalan derrière la caméra et Bruce Willis devant ; puis il redevient John Shaft pour la suite Shaft, mis en scène par Tim Story. Il retrouve aussi les cinéastes qui l'ont révélé : Spike Lee lui confie un rôle dans son remake Old Boy (2013), porté par Josh Brolin puis dans son drame politique indépendant Chi-Raq (2015). Quentin Tarantino le convoque de nouveau pour Django Unchained '(2012) mais surtout pour Les Huit Salopards (2015), où l'acteur défend le rôle le plus important du film, pourtant porté par une distribution chorale.

Pour finir, l'acteur s'investit dans des projets de seconde zone, qui sortent parfois directement en vidéo : le thriller d'action No Limit (2010) ; le film d'action Arena (2011) ; le polar Rencontre avec le mal (2012) ; le thriller d'action The Samaritan (2012) ; le thriller d'action Kite (2014) ; le film d'aventures Big Game (2014), où il incarne le président des États-Unis ; puis il revient à l'horreur et à John Cusack pour Cell Phone (2016).

L'année 2019 est marquée par un retour à un cinéma plus adulte : il partage l'affiche de la comédie dramatique Unicorn Store avec Brie Larson, qui officie aussi à la réalisation ; puis il joue dans le drame de guerre The Last Full Measure, écrit et réalisé par Todd Robinson. En 2020, il joue dans The Banker, un film américain réalisé par George Nolfi, sorti le 20 mars 2020 sur Apple TV+, le film retracera l'histoire vraie de deux entrepreneurs afro-américains des années 1960 mettant au point un ingénieux système d'accès au logement.

Son mot fétiche est l'insulte Motherfucker, qu'on l'entend prononcer dans de nombreux films, devenu sa réplique-culte à partir de sa performance dans Pulp Fiction[10]. L'Univers cinématographique Marvel y rend hommage dans la scène post-générique d'Avengers : Infinity War (2018) puisqu'au moment de se désintégrer après le claquement de doigts de Thanos, il s'exclame « Motherf...., » sans avoir le temps de compléter le mot[11].

Vie personnelle

L'acteur et sa fille Zoé en juin 2004.

Samuel L. Jackson est un fan inconditionnel des Falcons, l'équipe de football américain d'Atlanta, et bien que natif de Washington, il supporte cette équipe de Géorgie. Avec le tournage du film Le 51e État qui se déroule à Liverpool, il apprécie le Liverpool Football Club. Il soutient également le Bohemian Football Club, étant donné qu'il aime l'Irlande.

Il s'est opposé à la guerre d'Irak et a soutenu Barack Obama lors de l'élection présidentielle de 2008. Ayant connu la ségrégation, il s'est également engagé contre le racisme.

Végétarien depuis de nombreuses années, Samuel L Jackson a affirmé dans une récente interview être devenu végétalien depuis le début de l'année 2013[12]. En , il annonce ne plus l'être[13].

Samuel L. Jackson est marié depuis 1980 avec l'actrice Latanya Richardson, ils ont une fille prénommée Zoé qui est née en 1980[14].

Il possède depuis un passeport gabonais accordé par les autorités du pays, après avoir découvert qu'il est originaire de ce pays[15].

Filmographie

Années 1970

Années 1980

Années 1990

Années 2000

Années 2010

Années 2020

Courts métrages

  • 2000 : Any Given Wednesday de Neil Mandt : Willie Nutter
  • 2002 : The Comeback de Trent Cooper
  • 2003 : Coaching the Minors de Trent Cooper

Télévision

Séries télévisées
Séries d'animation

Jeux vidéo

Distinctions

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Récompenses

Nominations

Anecdotes

Cette section « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Autour de... », « Divers », ou autres, est peut-être inopportune.
En effet, en tant qu'encyclopédie, Wikipédia vise à présenter une synthèse des connaissances sur un sujet, et non un empilage d'anecdotes, de citations ou d'informations éparses (août 2022).
Pour améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un intérêt encyclopédique et sont correctement sourcés, de les intégrer dans d’autres sections.
  • Un fan s'est amusé à compiler le nombre de fois où Samuel L. Jackson a prononcé le mot « Motherfucker » dans ses films. Un peu plus de 170 fois si on croit cette vidéo.
  • Contrairement à de nombreux acteurs, Samuel L. Jackson adorerait revoir ses propres films. Il dit ainsi avoir revu plus de 150 fois Au revoir à jamais qui demeure toujours son film préféré[17].
  • Le prix du meilleur second rôle remporté à Cannes pour Jungle Fever, de Spike Lee, a été créé spécialement pour récompenser sa performance[17].

Voix francophones

En France, Thierry Desroses est la voix française régulière de Samuel L. Jackson depuis Pulp Fiction[18]. Jacques Martial l'a également doublé dans la deuxième trilogie Star Wars. Il a aussi été doublé par Emmanuel Jacomy dans Do the Right Thing, Pascal Renwick dans Jungle Fever, Arnaud Arbessier dans Amos & Andrew, Med Hondo dans La Couleur de l'arnaque, Mario Santini dans Jurassic Park, Paul Borne dans Iron Man, Patrick Descamps dans Cleaner et par Pascal Nzonzi dans Django Unchained.

Au Québec, Éric Gaudry est la voix québécoise régulière de l'acteur[19]. James Hyndman[19] et Patrick Chouinard[19] l'ont également doublé à six et cinq reprises.

Versions françaises

Notes et références

  1. « Cinéma : L'acteur Samuel L. Jackson devient citoyen gabonais », sur AfricTelegraph.com, (consulté le ).
  2. Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  3. Interview dans La Méthode Cauet
  4. Megan McCluskey, « Here's Why Samuel L. Jackson Is in So Many Marvel Movies », sur Time, (consulté le )
  5. « Découvrez pourquoi Nick Fury est forcément joué par Samuel L. Jackson », sur Hitek.fr, (consulté le ).
  6. (en) Drew Mollo, « Samuel L Jackson Wants to Keep Playing Nick Fury in MCU », sur Cbr.com, (consulté le ).
  7. Eric Robinette, « Samuel L. Jackson Isn't Leaving the MCU Anytime Soon », sur cheatsheet.com, (consulté le )
  8. AlloCine, « Filmographie de Samuel L. Jackson », sur AlloCiné (consulté le )
  9. allocine.fr
  10. Dee Lockett, « Tous les «motherfucker» de Samuel L. Jackson au cinéma en une vidéo », sur slate.fr, (consulté le )
  11. Aubin Bouillé, « Avengers Infinity War : on vous explique la scène post-générique », sur cineserie.com, (consulté le )
  12. [vidéo] (en) « Samuel L Jackson on his 9 movie Marvel contract » sur Yahoo! Movies, 25 mars 2014.
  13. Prisma Média, « Samuel L. Jackson - La biographie de Samuel L. Jackson avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le )
  14. « Gabon : retour aux sources pour la star américaine Samuel L. Jackson », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
  15. Apparition dans une scène située après le générique de fin.
  16. Jacky Goldberg, « Samuel L. Jackson - Le maître du cool », GQ n°95, , p. 70 à 77
  17. « Comédiens ayant doublé Samuel L. Jackson en France », sur RS Doublage.
  18. « Comédiens ayant doublé Samuel L. Jackson au Québec » sur Doublage.qc.ca.

Liens externes

  • Portail des Afro-Américains
  • Portail de la réalisation audiovisuelle
  • Portail du cinéma américain
  • Portail des séries télévisées américaines
  • Portail de Star Wars
  • Portail de Washington, D.C.
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.