Sanctuaire de Notre-Dame de La Salette

Le sanctuaire de Notre-Dame de La Salette ou, tout simplement, sanctuaire de La Salette, est un grand centre de pèlerinage marial catholique construit sur le lieu d'une apparition de la Vierge Marie en 1846. Cette apparition mariale, officiellement reconnue comme authentique par l'évêque du lieu en 1851 et 1855, entraîne la construction d'une église en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère), en France. En 1879 l'église est officiellement consacrée, et promue au rang de basilique mineure.

Pour les articles homonymes, voir Notre-Dame et Notre-Dame de la Salette (homonymie).

Sanctuaire de
Notre-Dame de La Salette
Présentation
Culte Catholique romain
Dédicataire Notre-Dame
Type Sanctuaire marial
Rattachement Diocèse de Grenoble-Vienne
Début de la construction 1852
Fin des travaux 1879
Site web http://lasalette.cef.fr/
Géographie
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Ville La Salette-Fallavaux
Coordonnées 44° 51′ 30″ nord, 5° 58′ 43″ est
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Isère

Le sanctuaire de La Salette fait partie des grands sanctuaires mariaux édifiés en France. Installé en pleine montagne, à 1 800 m d'altitude, il accueille environ 300 000 pèlerins par an.

Depuis sa construction, le sanctuaire ne cesse d'être agrandi et de voir de nouveaux bâtiments ajoutés à l'existant. L'accueil des pèlerins et leur hébergement est assuré par une hostellerie intégrée au sanctuaire. À l'extérieur, les différentes scènes de l'apparition mariale sont matérialisées par des statues de bronze grandeur nature.

L'accès au sanctuaire a été longtemps un problème, faute de route existante avant le milieu du XIXe siècle. Une première route a été taillée dans la montagne, mais elle présentait une déclivité très importante, source de problèmes pour les véhicules. Dans les années 1960, une nouvelle route a été mise en chantier et réalisée, sur un nouveau tracé, permettant aux automobiles et aux cars d'y monter sans difficulté. Malgré cette nouvelle route, la descente de Laffrey a été l'objet de trois accidents graves à ce jour, causant la mort de 98 pèlerins.

Localisation

Le sanctuaire est situé dans le Pays de Corps, sur les hauteurs de la commune de La Salette-Fallavaux, entre le massif du Beaumont et la vallée du Valgaudemar, à près de 1 800 m d’altitude. Jusqu’à la moitié du XIXe siècle le site était sauvage et méconnu, aucune route ou chemin n'y menait. Il n'y avait que des sentiers de bergers. Seuls quelques bergers avec leurs troupeaux s’aventuraient sur les pentes du mont Gargas pour profiter des alpages[1].

Historique

L'apparition de La Salette

Chapelle Notre-Dame de la Salette à Toulouse représentant la scène de l'apparition.

L'histoire du site et du sanctuaire débute avec l'apparition mariale de La Salette le samedi . Deux jeunes bergers, Mélanie Calvat et Maximin Giraud voient apparaître dans une lumière resplendissante une « belle dame », en pleurs, qui s'adresse à eux. Le soir, ils en parlent à leurs maîtres. La veuve Pra (dite veuve Caron), maîtresse de Mélanie, se dit d'avis qu'ils ont vu la Sainte Vierge[2] et on engage les enfants à tout raconter au curé de La Salette. Ils le font le lendemain dimanche au matin. Le curé pleure d'émotion, prend des notes et, de nouveau en larmes, parle de l'événement dans son prône[3]. L'évêque est informé, et ouvre une enquête canonique. Le Mgr Buillard, évêque de Grenoble reconnaît officiellement l'apparition comme « authentique », et lance la construction d'un sanctuaire sur le lieu même de l'apparition[1],[4],[5].

La construction

Avant la reconnaissance officielle de l'apparition mariale (en 1851), l'évêque ouvre en 1849 des négociations pour acheter les terrains en vue de la création du futur sanctuaire[6] (terrains qui seront achetés en 1851[7]).

Le , on annonce la prochaine bénédiction solennelle de la première pierre du sanctuaire qu’il entreprend de bâtir dans la montagne, sur le lieu même de l’apparition. La pose de la première pierre a lieu le , par Mgr Chartrousse, évêque de Valence, en présence de Mgr Bruillard, évêque de Grenoble, et de 1 500 pèlerins. La construction se termine en 1879. Depuis lors, et jusqu'à nos jours, le sanctuaire ne cesse d'être agrandi et modifié. En 1864, des statues de bronze, grandeur nature, sont installées sur le lieu même de l'apparition[1],[7].

Les plans de l'église ont été conçus par l'architecte Alfred Berruyer[N 1]. Les travaux de construction se sont étalés un peu plus que prévu dans le temps, car les entreprises ont rencontré de sérieux problèmes dans l'acheminement des matériaux : en dehors de la pierre et de la chaux, tout devait être monté à dos de mulet. Le sable a été extrait du Drac (et lui aussi transporté à dos de mulet). En 1865, toute la partie centrale de l'église est terminée. Mais les dix chapelles latérales que nous voyons aujourd'hui ne seront construites qu'à partir de 1894[7].

Le , l'église est officiellement consacrée, et en même temps, elle est promue au rang de basilique mineure[8], sous la présidence du cardinal Guibert, archevêque de Paris, en présence des évêques de Grenoble, de Chambéry, Besançon, Marseille, Fréjus, Valence, Viviers, Digne et de Mgr Mermillod. Au cours de cette célébration, la statue de Notre-Dame de La Salette est officiellement couronnée[7].

Les pèlerinages

L'information de l’évènement se répand très vite. Dès le (deux jours après l'« apparition »), plusieurs habitants de La Salette se rendent dans la montagne, sur le lieu déclaré de l'apparition. Avec étonnement, ils constatent qu’une eau limpide jaillit avec abondance à l’endroit même où la « Belle Dame » était assise[N 2]. Le (un mois plus tard), une femme ne marchant depuis 22 ans qu’avec l’aide de béquilles, demande à des pénitents d’aller sur les lieux de l’apparition faire des prières pour elle. La guérison de cette femme, à l'issue de ce pèlerinage et de ces prières sera le premier « miracle déclaré » de La Salette. Le , 1 500 personnes se retrouvent sur les lieux sous la neige, venant de Corps et des paroisses voisines[1]. Le , l’évêque de Grenoble fait paraître un texte reconnaissant l'apparition et autorisant dans le même temps le culte de Notre-Dame de La Salette. Le est annoncée la bénédiction solennelle de la première pierre du sanctuaire que l’on entreprend de bâtir sur la montagne de l’apparition. La cérémonie de la pose de la première pierre a eu lieu le , devant 1 500 pèlerins[1].

Milieu 1848, deux ans après l'apparition, alors qu'elle n'est toujours pas reconnue (officiellement) par l’Église, l'évêque de Grenoble écrit qu'il y a déjà 100 000 pèlerins qui se sont rendus sur le site pour y prier[9],[10].

Pour accueillir les pèlerins sur le sanctuaire, l'évêque Mgr Philibert de Bruillard demande en 1852 la création d'une congrégation cléricale religieuse destinés à recevoir les pèlerins et enseigner le « message de La Salette ». Ce sera les missionnaires de Notre-Dame de la Salette fondés dans ces mêmes années[11]. La congrégation s'organise peu à peu autour du sanctuaire, et dès la fin du XIXe siècle, elle commence à s'étendre en France et hors du pays. Mais les lois de 1905 et de la loi de séparation des Églises et de l'État expulse tous les membres des congrégations religieuses du territoire national[N 3], et les missionnaires de La Salette quittent leur sanctuaire fondateur. Ils sont remplacés par des prêtres diocésains. La guerre de 1914 assouplit les relations de l’État républicain avec l’Église, et progressivement les religieux reviennent. La congrégation de la Salette ne se réinstalle dans le sanctuaire qu'en 1943[12],[13],[11].

En se déroule le premier « grand pèlerinage national » à La Salette. Celui-ci est renouvelé l'année suivante[14]. En , à l'occasion du centenaire des apparitions de La Salette, le nonce apostolique en France Mgr Roncalli, futur Jean XXIII, vient au sanctuaire célébrer la messe du 15 août[15],[16].

En 2016, à l'occasion du Jubilé de la Miséricorde décidé par le pape François, le sanctuaire de La Salette, ouvre une Porte Sainte dans le sanctuaire (la seconde du diocèse de Grenoble) le 19 mars[17].

Aujourd'hui, l'accueil des pèlerins est réalisé par les prêtres et des religieuses des missionnaires de Notre-Dame de la Salette, ainsi que par des laïcs rattachés à cette congrégation[13].

Accidents

Le pèlerinage de Notre-Dame de la Salette a été endeuillé à trois reprises par de graves accidents routiers, en 1973, 1975 et 2007. À chaque fois, un car ramenant des pèlerins du sanctuaire a été accidenté à une cinquantaine de kilomètres du sanctuaire, lors de la descente de la dangereuse rampe de Laffrey. Ces trois accidents ont causé un total de 98 morts[N 4].

Description

L'accès

En 1846 à l'époque de l'apparition, il faut 8 heures en diligence, pour parcourir les 65 km de Grenoble à Corps. L'accès au site des apparitions (qui deviendra le sanctuaire), ne se fait ensuite que par des sentiers de montagne que l'on doit parcourir à pied ou à défaut sur une mule. En 1863, il est signalé « qu'une rampe taillée dans le roc » a été ouverte à la mine et à l'explosif, « laissant apercevoir à chaque pas, sur le mur de granit, la trace non effacée de la mine [sur] les rochers taillés comme avec une hache ». En 1867, une première route est ouverte. C'est plus une piste comportant des pentes de plus de 15 %, et même jusqu'à 30 % pour le « passage du Grippet ». Cette piste est sommaire, sans protection contre les précipices, et les attelages à chevaux la montent à grand peine[1].

Autobus historique ayant transporté des pèlerins entre Corps et le sanctuaire.

En 1920 des essais sont réalisés avec des cars très étroits d'une dizaine de places, pour y acheminer des pèlerins, par cette mauvaise piste. On teste également des véhicules à chenilles, mais aucun ne résiste longtemps à la pente et au sol rocheux. La route est progressivement améliorée : pose de gabions, élargissement des tournants, zones de croisement pour les cars, le secteur du Grippet est élargi. En 1932 les élargissements de la route permettent de prendre l'épingle « du grippet » sans avoir à faire de manœuvre[1],[N 5] !

Pendant ce temps, les habitants du Valbonnais tentent d'obtenir la construction d'un téléphérique prolongeant le chemin de fer de la Mure nouvellement arrivé chez eux et aboutirait à la crête de la Salette. Ce projet n'aboutira pas.

Dans les années 1959-1960, la construction d'une nouvelle route est entamée, elle ne sera terminée qu'en 1968. C'est la route actuelle qui passe par Saint-Julien. Aujourd'hui, il est possible de monter (sans difficulté) en voiture ou en car jusqu'au sanctuaire.

Les sentiers historiques restent utilisés par quelques pèlerins et les randonneurs[1]. Le GR 50 (Tour du Parc national des Écrins) relie le Valbonnais au Valgaudemar en passant par la Salette.

La basilique

Les bâtiments

La basilique de Notre-Dame de la Salette est une grande église de plan basilical. Sa façade de style néo-roman est encadrée par deux grandes tours-porches symétriques abritant des cloches au sommet[18],[19].

Les parties orientales de l'édifice ont été accolées à l'église originale, après sa construction. Elles sont constituées de bâtiments administratifs et d'accueil (dont un musée privé), et sont reliées à l'église par des couloirs et portes. En extension du bâtiment administratif principal, reliée au grand couloir desservant accueil, le réfectoire, le salon d’attente, se trouve la « chapelle de la Rencontre » construite en 1995, ainsi que la boutique, le restaurant, et l’hôtellerie qui permet d’héberger les pèlerins[19].

La « chapelle de la Rencontre » construite en 1995 est l'œuvre de l'architecte René Maison. Construite sur des piliers de béton, la chapelle présente une forme polygonale, ouverte sur l'extérieur par deux larges pans vitrés. Cette chapelle comporte une estrade en arc de cercle. Les vitraux sont l’œuvre de l'artiste Arcabas[20],[N 6].

L'intérieur

Le plan basilical de l'église est composé de cinq nefs terminées par une abside ou des absidioles. L'église est constituée de volumes intérieurs très élancés. Ses voûtes d'arête retombent sur de très hautes et fines colonnes, reposant sur de hauts piédestaux. Les fenêtres hautes sont aveugles, l'éclairage ne provient que des fenêtres des premiers bas-côtés. Le chevet de l'église se compose de deux absidioles de part et d'autre d'un chœur avec travée droite et abside en cul-de-four. L'abside est ornée d'une peinture murale le « Christ en gloire », et sur la travée droite nous trouvons une représentation des symboles du tétramorphe, œuvre de l'artiste Arcabas. Les bas-côtés extérieurs sont décorés de plusieurs œuvres « Le Christ aux noces de Cana », « la déploration de Marie à la Croix », et dans le chœur : le Christ et les quatre vivants de l’Apocalypse[N 7],[N 6]. Les vitraux présentent des œuvres de différents artistes : le cycle du Rosaire (dans l'abside du chœur), conçu en 1857 par Adrien-Louis Lusson, le cycle de la Passion du Christ par l'atelier Thibaud de Clermont-Ferrand, et de nombreuses verrières des ateliers grenoblois Antoine Bernard et Bessac (1895 - 1897)[19].

La « chapelle de la rencontre » est très lumineuse avec de grandes verrières. Dans cette chapelle figure un tableau représentant la Vierge de l’apparition, en pleurs[18].

Le secteur extérieur du sanctuaire

Cimetière des pères et la chapelle

À l'avant de la basilique (100 m au nord), dans le « cimetière des Pères » se trouve la première chapelle (reconstruite, puis déplacée ici). Ce petit édicule carré de trois mètres de côté, est bâti en pierre de taille calcaire de deux couleurs différentes (marbré et gris-bleu). Il est ouvert sur trois côtés par des baies à l'encadrement très architecturé. La chapelle abrite un statue grandeur nature de la Vierge qui occupe entièrement le petit espace intérieur.

Les statues

Au creux d’un ravin, plusieurs statues illustrent la scène de l’apparition : une femme assise se tient la tête entre les mains, un peu plus loin, un groupe de statues représente la Vierge confiant son message aux deux jeunes bergers. Sur le parvis, la statue de la Vierge Marie localise le lieu de l’apparition[18].

Un chemin de croix est installé dans les pâturages de montagne[18].

La fontaine

La fontaine constitue un aménagement de la source dite « miraculeuse » jaillie après l'apparition. L'eau de cette source était déjà utilisée dès les premières années suivant les apparitions, et son accès aux pèlerins fut l'objet d’âpres débats passionnés entre les détracteurs de La Salette, et les religieux responsables du site[21].

Accueil des pèlerins

On compte environ 300 000 pèlerins par an dans le sanctuaire. Ils viennent de toute la France et de l'étranger[7].

Au sanctuaire, l'accueil est assuré par les religieux (hommes et femmes) des Missionnaires de Notre-Dame de la Salette, secondés par des employés et des bénévoles. Ils apportent l’aide et le soutien aux pèlerins qui le souhaitent et font « vivre le message que la Vierge Marie voulait transmettre aux hommes et aux femmes de ce monde »[18].

Outre l'audiovisuel relatant l'apparition, à 9 h et 14 h, les différents événements qui rythment la journée sont la messe à la basilique à 10 h 45, les rencontres entre pèlerins à 15 h, le chapelet à 18 h et la procession aux flambeaux à 20 h 30. De nombreux pèlerinages sont organisés, les principaux rassemblement solennels sont Pâques, le 15 août (pour l'Assomption), et le 19 septembre (pour la fête patronale commémorant l'apparition de 1846)[7].

Spiritualité

D'après des responsables de pèlerinages, les pèlerins se rendent en ce lieu pour y « chercher la lumière et la réconciliation avec Dieu », pour confier leurs doutes, leurs erreurs, leurs peurs et leurs souffrances à « une mère ». Pour l’Église, le message de La Salette, est un « message d’espoir dans une société touchée, à l’époque de l’apparition comme aujourd’hui, par la famine, les souffrances, la mort »[18]. Si l'on dénote peu de pèlerins malades (contrairement à Lourdes), les pèlerins ont la « possibilité de se joindre aux prières de la communauté religieuse, de participer à la prière du chapelet, aux veillées, les processions aux flambeaux font partie des moments forts ». Pendant la saison, un roulement de prêtres étrangers propose assez régulièrement des offices en langues étrangères[7].

Notes et références

Notes

  1. Alfred Berruyer a érigé de nombreuses églises dans la région.
  2. Cette source était connue de longue date, mais jusque là, l’eau ne coulait qu’à intervalles irréguliers, après de grandes pluies ou la fonte des neiges. Depuis cette date, la source n’a jamais tari et est devenue la « fontaine miraculeuse ». Voir la page de la ville de Corps.
  3. Sauf à de très rares exceptions, les procédures d'autorisation ne seront pas données. Voir la salette info.
  4. Voir le chapitre Accidents de la Rampe de Laffrey.
  5. Se reporter au site web de la ville de corps pour voir quelques photos d'archives
  6. Pour une vue de quelques œuvres réalisées par Arcabas, se reporter au site internet arcabas-notredamedelasalette.
  7. Ces œuvres sont des réalisations de l'artiste Arcabas.

Références

  1. « Le sanctuaire de Notre-Dame de La Salette », villedecorps.fr, (consulté le ).
  2. Jean Stern, La Salette : documents authentiques, dossier chronologique intégral - septembre 1846-début mars 1847, t. 1, Desclée De Brouwer, , 385 p. (ISBN 978-2-220-02281-9), p. 41, 315, 330, 353.
  3. Jean Stern 1980, p. 45, 294, 353.
  4. Joachim Bouflet et Philippe Boutry, Un signe dans le ciel : Les apparitions de la Vierge, Paris, Grasset, , 475 p. (ISBN 978-2-246-52051-1), p. 127,147.
  5. « L’apparition de la Vierge Marie », sur lasalette.cef.fr, Sanctuaire de ND de la Salette (consulté le ).
  6. Yves Chiron, Enquête sur les apparitions de la Vierge, Perrin, , 427 p. (ISBN 978-2-262-02832-9), p. 188.
  7. « Notre-Dame de La Salette Sanctuaire de la Salette », sur isere-annuaire.com (consulté le ).
  8. François Angelier et Claude Langlois, La Salette : apocalypse, pèlerinage et littérature (1856-1996), Éditions Jérôme Millon, , 219 p. (ISBN 978-2-84137-089-4, lire en ligne). Jean-Michel Leniaud consacre un chapitre à l'érection de cette chapelle en basilique mineure.
  9. Abbé Rousselot 1849, p. 3-4.
  10. Yves Chiron 2007, p. 187.
  11. Mgr Philibert de Bruillard, « Mandement de Mgr Ph de Bruillard du 1er mai 1852 », sur missionnaire-lasalette.fr, (consulté le ).
  12. « La Salette en France », sur 2013, lasalette.info (consulté le ).
  13. « Dans la grâce de La Salette », sur eglise.catholique.fr, (consulté le ).
  14. Jacqueline Lalouette 2014, p. 158-159.
  15. René Laurentin et Patrick Sbalchiero, Dictionnaire des "apparitions" de la Vierge Marie, Fayard, , 1426 p. (ISBN 978-2-213-67132-1), p. 506.
  16. Michel de Kerdreux, Jean XXIII, Editions Beauchesne, , 355 p. (ISBN 978-2-7010-0404-4, lire en ligne), p. 348.
  17. « Dans la grâce de la Salette », sur eglise.catholique.fr, (consulté le ).
  18. « Pèlerinage à La Salette », sur villes-sanctuaires.com (consulté le ).
  19. « Sanctuaire de Notre Dame de La Salette », sur isere-tourisme.com, (consulté le ).
  20. Arcabas et Patrick Laudet, Arcabas : Notre-Dame de la Salette, Cerf, coll. « Images », , 141 p. (ISBN 978-2-204-07722-4).
  21. Jacqueline Lalouette, La République anticléricale (XIXe-XXe siècle), Le Seuil, , 473 p. (ISBN 978-2-02-100868-5, lire en ligne), p. 157-158.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • François Angelier et Claude Langlois, La Salette : apocalypse, pèlerinage et littérature (1856-1996), Éditions Jérôme Millon, , 219 p. (ISBN 978-2-84137-089-4, lire en ligne).
  • Arcabas et Patrick Laudet, Arcabas : Notre-Dame de la Salette, Cerf, coll. « Images », , 141 p. (ISBN 978-2-204-07722-4).
  • Hervé Roullet, L'apparition de la Vierge Marie à La Salette. Marie réconciliatrice. Les vies de Mélanie Calvat et Maximin Giraud. Actualité des secrets, Paris, Hervé Roullet, AVM Diffusion, , 480 p. (ISBN 978-2-956-31377-9)
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