Sauvelade
Sauvelade (en béarnais Seuvalada ou Seubelade) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Sauveladais et les Sauveladaises.
Sauvelade | |||||
L'abbaye de Sauvelade, l'église et les bâtiments. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Lacq-Orthez | ||||
Maire Mandat |
Didier Plaa 2020-2026 |
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Code postal | 64150 | ||||
Code commune | 64512 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
265 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 23′ 33″ nord, 0° 42′ 24″ ouest | ||||
Altitude | Min. 92 m Max. 251 m |
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Superficie | 11,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Cœur de Béarn | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune de Sauvelade se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 11 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Vielleségure (4,3 km), Lagor (4,5 km), Maslacq (5,5 km), Loubieng (6,1 km), Mont (6,5 km), Castetbon (6,5 km), Castetner (6,7 km), Abidos (6,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Sauvelade fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le Laà, le ruisseau de Mesplaterre, la Barsalonne, Les Salières, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Laà, d'une longueur totale de 29,5 km, prend sa source dans la commune d'Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Orthez, après avoir traversé 9 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lagor », sur la commune de Lagor, mise en service en 1962[14] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 111,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 22 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[20].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[22], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[23],[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Sauvelade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,8 %), forêts (26,5 %), terres arables (23,9 %), prairies (20,9 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et hameaux
- Abadie ;
- Beigbeder ;
- lou Boscq ;
- Cap deu Boscq ;
- Deça deu Laà ;
- Hiallards ;
- Lasserre.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 110 et 275.
Toponymie
Le toponyme Sauvelade apparaît sous les formes Locus qui dicitur Sylva-Lata (1127[30], cartulaire de Sauvelade[31]), Beata-Maria de Silvalata (1178[30], collection Duchesne volume CXIV[32]), Selvalada (vers 1290[30], titres de Béarn[33]), Seubalade (1343[30], notaires de Pardies[34]), Ceubalade (1457[30], notaires de Castetner[35]) et Nostre-Dame de Saubalade (1536[30], dénombrement de Navarrenx ).
Histoire
Paul Raymond[30] note que Sauvelade est une ancienne abbaye de bénédictins, de l'ordre cistercien, fondée en 1127. En 1385, on y comptait 17 feux, la commune dépendant alors du bailliage de Larbaig.
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé: au 1er d'or à deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à la coquille renversée d'or, au 3e d'argent à l'arbre au naturel soutenu d'un listel du champ chargé de l'inscription « SILVALATA » de sable, au 4e parti d'or et de gueules[39]. |
Politique et administration
Intercommunalité
Sauvelade fait partie de cinq structures intercommunales[40] :
- la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
- le SIVOM de Lagor ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d'eau et d'assainissement Gave et Baïse ;
- le syndicat intercommunal de transports scolaires de la vallée du Laà.
La commune accueille le siège du syndicat intercommunal de transports scolaires de la vallée du Laà.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2019, la commune comptait 265 habitants[Note 9], en stagnation par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
L’abbaye Notre-Dame
L'abbaye fut fondée le conjointement par Gaston IV le Croisé, vicomte de Béarn, sur le point de prendre le départ pour participer à la croisade en Espagne, sa femme et son fils, et placée sous le vocable de Notre-Dame, en accordant aux bénédictins ce terrain de « Sylva lata » (Séube Lade en vieux béarnais), dont les historiens ont discuté s'il signifiait : "forêt profonde", "forêt du Laà" ou "forêt rive gauche".
L’abbaye prit, à une date indéterminée, mais en tout cas avant 1286, le nom de Saint-Jacques, signe de sa fréquentation par les jacquets.
L'abbaye fut reprise en 1286 par les cisterciens de Gimont (Gers), et, dès lors, son rôle dans l'accueil des pèlerins déclina probablement, car les disciples de saint Bernard ne favorisaient guère le culte des reliques et les pèlerinages.
Ravagée en 1569 par les huguenots, relevée en 1630 par la Contre-Réforme.
La Révolution fit de l'abbatiale une église paroissiale et vendit le monastère.
Délabré, il vient d'être racheté et restauré par la commune, avec l'aide du département, pour servir de centre culturel, permettant l'hébergement.
L'abbaye, du XIIe siècle[45], sur les bords champêtres du Laà, a une forme de croix grecque, déjà visible de l'extérieur aux très harmonieux toits en cascade : cône d'ardoise sur la coupole de la croisée du transept, pans de tuiles plates à cheval sur les quatre bras, l'escalier, les absidioles, la sacristie.
L'intérieur est d'un beau dépouillement cistercien, sauf les autels d'un naïf baroque rural et le bénitier, fait d'un fût de colonne entre deux chapiteaux corinthiens, vestiges sans doute d'une villa romaine. Cet ensemble[46] est classé au titre d'objet aux monuments historiques, tout comme une statue représentant saint Jacques le Majeur[47] et datant du XVIIIe siècle.
À côté, s'élève le vaste monastère du XVIIe siècle.
Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
Sauvelade est située sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Personnalités liées à la commune
Michel Grosclaude, né en 1926 à Nancy et inhumé en 2002 à Sauvelade, est un philosophe et linguiste occitan, auteur de travaux de grammaire, de lexicologie et d'onomastique occitane.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Sauvelade » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sauvelade », sur www.geoportail.gouv.fr.
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Sauvelade », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sauvelade et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sauvelade et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Sauvelade », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Sauvelade », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Laà ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Lagor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sauvelade et Lagor », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lagor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sauvelade et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sauvelade », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Castetner - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- de France
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église de Sauvelade
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la colonne et les chapiteaux de l'église
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de saint Jacques le Majeur
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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