Renty
Renty est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Renty | |||||
La place. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Findinier 2020-2026 |
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Code postal | 62560 | ||||
Code commune | 62704 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
598 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 35′ 02″ nord, 2° 04′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 186 m |
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Superficie | 15,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Fauquembergues (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fruges | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | renty.weebly.com | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 169 habitants en 2018.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le fleuve l'Aa, un cours d'eau naturel de 56 km, qui prend sa source dans la commune de Bourthes et se jette dans le canal de Neufossé au niveau de la commune de Saint-Omer[1].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1] : la haute vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin. La haute vallée de l’Aa se rattache à l’entité paysagère des hauts plateaux artésiens, elle intègre la source de ce fleuve côtier situé à Bourthes et les premiers kilomètres de ce cours d’eau qui trace un sillon profond dans les collines de l'Artois[2].
Urbanisme
Typologie
Renty est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fauquembergues, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[6] et 2 550 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (32 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (2,5 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Renty s'est appelé Rentiacum : domaine de Rentius. Son nom est donc d'origine gallo-romaine.
Rentica (XIe siècle), Renthi (1155), Renthy (1174), Renti (1175), Rentiacum (1320).
Renteke en flamand[13].
Rinti en picard.
Histoire
On raconte que saint Omer y fonda deux églises au VIIe siècle. La présence ancienne de saint Bertulphe, administrateur du comte Wambert de Renty, devint ensuite évangélisateur local et fondateur d'une abbaye mérovingienne. Wambert avait une sœur, Angadresme, qui après être devenue sainte est devenue la sainte patronne de la ville de Beauvais -une chapelle lui est consacrée en entrant à droite dans la cathédrale de Beauvais. Bertulphe s'en va ensuite fonder l'abbaye basse de Saint-Omer autour de laquelle s'établira la ville. Plus tard, lors du haut Moyen Âge à Renty, le château fort est construit au pied de la butte, en deçà de l'endroit où se trouve l'église actuelle. À l’époque, c'est un grand quadrilatère de forme rectangulaire, en pierre granitique et mélange de briques comme beaucoup d'habitations seigneuriales de l'époque. La terre cuite sous forme de briques et de tuiles existe dans la région depuis les Romains. Néanmoins, le château de Renty a près d'une mesure et demie de superficie (soit environ 4 800 m2). Quatre-vingts mètres de long par soixante mètres de large, avec une tour à chaque angle et deux autres de moindre diamètre encadrant l'entrée principale où se trouve le pont-levis. Les murs de Renty ont d'ailleurs été élevés sur les fondations d'une ancienne villa gallo-romaine "Praedium Rentica", comme l’indiquent des relevés cadastraux sur la Morinie. Renty était alors visiblement le centre d’une implantation d’habitats dans le canton. Après sa destruction au IXe siècle par les Vikings, s’éleva une "ferté" (ou fère, comme on dit dans l’Est), avec des palissades et un donjon en bois.
Ce n'est que vers le milieu du XIIe siècle qu'Arnoult Ier de Renty décide de tout construire en "dur", c'est-à-dire en pierre. C’est lui qui fait construire deux établissements religieux dédiés à saint Bertulphe et à saint Denis en donnant au prieuré de Renty 120 mesures (38,5 ha) de terre avec terrage et dîme. Ceci a été confirmé en 1177 par le pape Alexandre III. À Renty, son petit-fils Arnoult II termine la construction qui est améliorée ensuite de génération en génération.
Au centre de la forteresse, la cour intérieure est pavée d'un côté avec l'encart au pied du donjon en dalles calées en opus incertum, et le reste est de la terre battue. On accède à la forteresse par un pont-levis à double chaînage donnant sur la route de Fauquembergues à Verchocq. Non loin de là, sur la gauche, coule l'Aa. Cours d'eau sans affluent, trop petit pour être titré fleuve, trop indépendant pour être qualifié de rivière. Dans la cour, des bâtiments rapidement fabriqués en planches et rondins de bois abritent les écuries, la basse-cour, et quelques grandes salles construites en torchis et pierre avec des madriers pour la structure, accessibles de la cour sous de grandes voûtes soutenues par des croisées d’ogives. L’escalier extérieur est ménagé dans l’épaisseur du mur, avec des ouvertures qui permettent de surveiller chaque salle, et au besoin, de tirer sur l’assaillant. Ces salles servent à loger les réfugiés éventuels. Sur la face est extérieure se trouve à six mètres du sol, la deuxième sortie de la forteresse. On y accède par un pont mobile. Les tours sont très saillantes. La base plus large, appelée glacis, est construite en pierres plus grosses et bien appareillées. À l’intérieur, c’est un talus plein, et les murs sont percés de meurtrières avec un angle aigu destiné à empêcher l’ennemi de s’approcher des murs. Les bases du donjon, par contre, possèdent des arcs de décharge utilisés par les Byzantins dès le VIe siècle, qui soutiennent les murs. Si l’assaillant creuse une sape, sorte de galerie sous le mur, celui-ci ne s’effondre pas. Dès le début du XIIIe siècle, c’est une nouveauté pour l’Occident, rapportée des croisades sous Philippe-Auguste. C'est dans cette vallée plate qu'est situé le village de Renty, entre deux plateaux crayeux où s'installeront et camperont nombre d'armées assiégeantes, au nord des sept vallées, traversées par sept rivières: l'Authie, la Canche, le bras de Brosne, l'Embrienne, la Ternoise, la Planquette, la Créquoise. Renty était déjà un lieu de passage obligatoire avec une voie romaine pavée encore visible non loin, au XXIe siècle, et son ancienne villa du temps où on la nommait Rentiacum. Ce qui étymologiquement signifie la demeure de Rent ou Rentius, nom d'origine saxonne, mélange de flamand et de germain, agrémenté de latin. Chacun y a trouvé une origine discutable par son appellation controversée: pour d’autres, Renty viendrait de "rent" voulant dire déchirure en saxon, parallèle de "Aa" signifiant la même chose en franc gothique. Doit-on y voir également un rapport avec les armoiries de cette famille représentées par des doloires, couteaux ou hachettes? Aa signifie aussi une source, un ru, en langue nordique.
Renty fut le siège d'une famille qui s'y installa il y a plus de mille deux cents ans pour y demeurer sans interruption près de six siècles jusqu’en 1354 dans la forteresse et jusqu’au XVIIe siècle sur les terres proches de Waltencheux, d’Assonval et du Cauroi. D’autres Renty resteront dans les environs comme à Verchocq, Rimboval au nord-est d’Embry, Wandonne à une lieue (environ 4 km) à l’est de Renty, Rollez à 5 km au sud de Renty, à Fasques, à Fauquembergues (Andrieu de Renty) et à Embry (Oudart Ier de Renty, voir Embry). À partir du milieu du XIVe siècle, une famille féodale puissante et célèbre récupère en dot la baronnie. La seigneurie dépendit alors de la famille de Croÿ et des d'Egmont. Au milieu du XIVe siècle, Renty est donc passée dans les mains de Guillaume de Croÿ (prononcer Crouy, village d'où la famille est originaire) qui avait épousé en 1354 Isabeau de Renty et obtint par dot cette terre, forteresse et fiefs affiliés.
Renty, jusque là baronnie, fut érigée par Charles Quint en marquisat en , au bénéfice de Philippe II de Croÿ, (maison de Croÿ), duc d'Aerschot, prince de Chimay, comte de Porceau et de Beaumont, baron de Renty, chevalier de la Toison d'Or, conseiller de l'empereur, premier chef des domaines et des finances, lieutenant gouverneur et capitaine général du comte de Hainaut, neveu et héritier de Guillaume de Croÿ, marquis d'Aerschot. À la baronnie de Renty, sont jointes les terres de Coupelles, Vieilles et Nouvelles, qui réunies, prendront le nom de marquisat de Renty[14].
En 1549, Charles Quint nomme Jacques de Bryas (Jacques II de Bryas), gouverneur de Renty, après avoir fortifié la place et son château pour renforcer sa frontière et le Comté d'Artois[15].
Henri II y battit les Espagnols de Charles Quint le . Il existe une plaque commémorative de la bataille de Renty à l'intérieur de l'église. Henri II récompensa la vaillance du maréchal de Tavannes sur le champ de bataille même, en détachant de son cou le collier de son ordre de Saint-Michel pour l'en décorer.
- Guerre de Trente ans
Le château a été restauré en 1630 puis rasé huit ans plus tard en 1638, lors de la guerre de Trente Ans, sous Louis XIII par le maréchal de Châtillon sur l'ordre de Richelieu qui voyait d'un mauvais œil l'influence grandissante de certains hauts seigneurs et craignait le début d'une fronde. Le siège de Renty par les Français a eu lieu le entre le 1er et le . Le maréchal de Châtillon loge à Fauquembergues et le maréchal de la Force à Fasque. Une tranchée est ouverte dans la nuit du 2 au 3. La reddition a lieu le . La forteresse est détruite.
Ce château n’était plus qu’une ruine en 1775. Il en existe encore des traces au centre du village. Des monticules recouverts de terre et de végétation, bordés de petits étangs destinés actuellement à la pèche, derrière un premier rang de bâtiments à droite de la route allant à l’Aa, témoignent encore en 2009 de la présence ancienne de ses murs. Les petits étangs (domaine privé) sont aménagés dans une partie des anciennes douves.
- Seconde Guerre mondiale
Durant la Seconde Guerre mondiale, des habitants de Renty et en particulier Norbert Fillerin organisent le réseau Pat O’Leary. Norbert puis Marguerite Fillerin seront arrêtés, déportés et reviendront des camps nazis[16].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Fruges.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2019, la commune comptait 598 habitants[Note 4], en diminution de 5,83 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 290 hommes pour 313 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'argent à trois doloires de gueules, deux du chef adossées et une en pointe.
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Économie
Elle a été liée aux moulins, le moulin Cocatrice et le moulin à foulon, devenu moulin à papier, puis moulin à farine, et enfin scierie Grioche, et à la brasserie-malterie qui a fermé en 1920[28]
Lieux et monuments
- Abbaye de Renty.
- L'église Saint-Vaast.
- Le monument aux morts.
- L'église.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Jean Ier, seigneur de Croÿ, de Seneghen (Seninghem aujourd'hui), baron d'Airaines et de Renty, mort le durant la bataille d'Azincourt. Il s'est marié en 1384 à Marie de Craon, fille de Jean Ier de Craon, seigneur de Domart-en-Ponthieu et de Marie de Châtillon-sur-Marne, vidamesse de Laonnois et Glacy.
- Guillaume de Croÿ, seigneur de Croÿ et baron d'Airaines, décédé en 1384 au château de Renty. Père du précédent. Il fut le mari d'Isabeau de Renty et mélangea ses propres armoiries avec celles de Renty. Ce fut une condition sine qua non pour les épousailles. Une autre condition fut de rendre aux seigneurs de Renty un quint des terres et dîmes annexées.
- Oudart 1er de Renty qui fut un grand capitaine de guerre durant la Guerre de Cent Ans, lieutenant des Armées du roi en Normandie, Ponthieu et Artois. Il fut ensuite seigneur d'Embry.
- Saint Bertulphe de Renty (qui n'était pas de la famille de Renty mais a vécu dans le village) ou "Bertoul", fondateur de l'abbaye de Renty, mort le . Il était originaire de l'Est et du monastère de Remiremont en Belgique actuelle, d'où vinrent bon nombre de seigneurs locaux, francs et saxons avant de s'installer à la cour des rois mérovingiens et ensuite de Charlemagne.
Pour approfondir
Bibliographie
- La famille de Renty (Alain Graff),
- La vie du Bienheureux Gaston de Renty,
- Gaston de Renty, une figure spirituelle du XVIIe siècle (Yves Chiron),
- Contribution à l'histoire de Renty et ses hameaux (Pierre Bellenguez et Roger Santune),
- Extraits de papiers sur la famille de Renty (Emmanuel de Blic),
- Gaston Jean Baptiste de Renty, Correspondance (Raymond Triboulet, ministre de France)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Aa (E4030570 ) » (consulté le )
- « ZNIEFF 310007271 - La haute Vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Fauquembergues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 152, lire en ligne
- P. Louis Lainé, Archives généalogiques et historiques de la Noblesse de France: ou recueil de preuves memoires et notices généalogiques, servant à contaster l'origine, la filiation, les alliances et les illustrations religieuses civiles et morales de diverses maisons et familles nobles du royaume, Volume 9, p.14, Auteur, 1844 (lire en ligne)- Consulté le .
- Résistants | Renty
- « Renty : Christophe Grare entame son premier mandat de maire : Conseiller en 1995, premier adjoint de 2001 à 2008 avant un break de 2008 à 2014, Christophe Grare, 46 ans, agriculteur, était le seul candidat au poste de maire, vendredi soir, à l’heure où l’on procédait à l’élection du premier magistrat et de ses adjoints. Christophe Grare a été élu avec neuf voix », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Nicole Delvart (CLP), « La priorité du maire de Renty : réparer les dégâts des récentes inondations : Le maire, Christophe Grare, dont c’est le premier mandat, a des projets pour la commune. Mais la nature lui impose ses priorités. Il faudra commencer par refaire la chaussée touchée par les coulées d’eau et de boue », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Renty (62704) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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