Crisenoy

Crisenoy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France, à 11 km de Melun (77) direction Meaux, en pleine Brie.

Pour les articles homonymes, voir Crisenoy (homonymie).

Crisenoy

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Hervé Jeannin
2020-2026
Code postal 77390
Code commune 77145
Démographie
Gentilé Crisenoyens
Population
municipale
620 hab. (2019 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 47″ nord, 2° 44′ 40″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 98 m
Superficie 12,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Crisenoy
Géolocalisation sur la carte : France
Crisenoy
Liens
Site web crisenoy.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 10,6 kilomètres au nord-est de Melun[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont : Yèbles (4,9 km), Champdeuil (2,8 km), Saint-Germain-Laxis (4,5 km), Moisenay (4,5 km), Fouju (3,5 km), et Andrezel (5,2 km).

    Communes limitrophes de Crisenoy
    Champdeuil Yèbles Andrezel
    Saint-Germain-Laxis Fouju
    Saint-Germain-Laxis Moisenay Fouju

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Crisenoy.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : le Ru Bobée, 11,13 km[2], qui conflue avec l’Almont.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,51 km[3].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[4].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[5]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,7 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 700 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,4 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes A. de Crosiniaco en 1232[16] ; La ville de Croisenoy en 1322[17] ; Crisenaium vers 1350[18] ; Creusenay en 1364[18] ; Croisonnoy et Croisonny en 1384[19] ; Crosenoy en 1385[20] ; Crisnoy en Brye en 1490[21] ; Croizenay en 1491[22] ; Crysenoy en 1492[21] ; Crisenoy en 1495[21] ; Crisenoy et Champigny en l'an IX.

    Urbanisme

    Typologie

    Crisenoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 54 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[28] (source : le fichier Fantoir) dont les Bordes, Champigny, Genouilly, Suscy, Vert Saint-Père.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,7% ), zones agricoles hétérogènes (4,5% ), zones urbanisées (2,1% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[29].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[30],[31],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[32]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 265 dont 94,3 % de maisons et 5,3 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 89,6 % étaient des résidences principales, 3,9 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 85,5 % contre 11,9 % de locataires et 2,5 % logés gratuitement[33] -[Note 5].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars N° 37A (Ozouer-le-VoulgisMelun) du réseau de cars Transdev[34]

    Le TGV postal à la bifurcation de Crisenoy, sur la LGV Sud-Est.

    Crisenoy est desservi par deux lignes d'autocars du transporteur Darche Gros :

    Ligne 1 : Gare de Melun / Rebais - Avenue du Général de Gaulle

    Ligne 37 : Ozouër le Voulgis - Les Etards / Gare de Melun

    L'ancienne gare de Champdeuil-Crisenoy

    Les prochaines gares se trouvent à Melun et à Verneuil-l'Étang, la Ligne à grande vitesse entre Villeneuve-Saint-Georges et Moisenay traverse le sud-est du territoire de la commune. Sur l'ancien Tramway de Verneuil-l'Étang à Melun (en service de 1901 à 1950), Crisenoy partageait une gare avec la commune voisine de Champdeuil.

    Histoire

    Période moderne

    Au cours de la période moderne, l'actuel territoire de la commune de Crisenoy comprend trois paroisses : Crisenoy, Champigny-en-Brie et Suscy. Toutes trois relèvent alors du diocèse de Sens, de l'archidiaconé de Melun et du doyenné de Melun. Elles avaient pour églises paroissiales, respectivement, Saint-Pierre, qui est la seule église conservée, Sainte-Madeleine et Saint-Sulpice.

    Période contemporaine

    Entre 1790 et 1794, la commune de Crisenoy absorbe celle de Champigny, puis en 1842 celle de Suscy.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988  ? Bernard Vandenberghe    
    mars 2001 2008 Alfred Lelandais    
    mars 2008 2014 Michel Magne    
    mars 2014 En cours Hervé Jeannin    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [35],[36].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Crisenoy est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [37],[38],[39].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[40]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 juillet 2022[37],[41].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [37],[42].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2019, la commune comptait 620 habitants[Note 6], en diminution de 4,17 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    436412386419376356376381360
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    355398391396421437369424390
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    369362364360344313327408413
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    417406382436580604632644629
    2014 2019 - - - - - - -
    659620-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 236, représentant 632 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 490 euros[47].

    Emploi

    En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 64, occupant 328 actifs résidants (dont 5,7 % dans la commune de résidence et 94,3 % dans une commune autre que la commune de résidence).

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,8 % contre un taux de chômage de 4,7 %. Les 16,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6 % de retraités ou préretraités et 2,5 % pour les autres inactifs[48].

    Entreprises et commerces

    Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 32 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 10 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 3 étaient relatifs aux autres activités de services[49].

    En 2020, 6 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[50].

    Agriculture

    Crisenoy est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse[51].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[52]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 166 ha en 1988 à 196 ha en 2010[51]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Crisenoy, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Crisenoy entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[51],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 8 8 7
    Travail (UTA) 54 40 25
    Surface agricole utilisée (ha) 1 327 1 381 1 369
    Cultures[53]
    Terres labourables (ha) 1 282 1 308 1 308
    Céréales (ha) 832 774 790
    dont blé tendre (ha) 555 632 537
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 219 s 156
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) s s 173
    Élevage[51]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 12 4 5

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux remarquables

    • Jardin d'agrément et parc dit parc du château de Crisenoy  Inscrit MH[54] ;
    • Parc de chasse dit pépinière Croux et ferme de Genouilly  Inscrit MH[55] ;
    • Jardin d'agrément du domaine de Suscy  Inscrit MH[56].

    Autres lieux et monuments

    L'église de Crisenoy.
    • Église Saint-Pierre de Crisenoy édifiée au XIIe siècle ;
    • Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Crisenoy » sur Géoportail (consulté le 10 janvier 2020)..
    2. « Crisenoy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Bobée (F4468000) » (consulté le ).
    3. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 23 Novembre 2018
    4. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    5. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    6. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    12. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Crisenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Crisenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Crisenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. Bibl. nat., ms. Latin 5482 p. 218.
    17. Archives de la Seine-et-Marne, E 600.
    18. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 35.
    19. Archives nationales, P 131, fol. 15 v° et 16.
    20. Archives nationales, P 131, fol. 24 v°.
    21. Archives nationales, S 2288.
    22. Archives nationales, P 8, n° 2808.
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    48. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 1er décembre 2021.
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