Alexandre Tansman
Alexandre Tansman, né le à Łódź (Pologne)[1] sous le patronyme Tancman et mort le à Paris, est un pianiste et compositeur franco-polonais.
Naissance |
Łódź, Royaume de Pologne |
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Décès |
Paris, France |
Activité principale | Compositeur |
Activités annexes | Pianiste, chef d'orchestre |
Années d'activité | 1915-1985 |
Formation |
Conservatoire de Varsovie Université de Varsovie |
Biographie
Né à Łódź le dans une famille de la grande bourgeoisie juive, Alexandre Tansman est un compositeur, auteur d’une œuvre monumentale comportant plus de 300 opus, parmi lesquels une trentaine directement inspirés de la tradition juive[2].
Après des études à Łódź en numerus clausus, il part pour Varsovie où il mène de front des études de droit et de philosophie et de musique au Conservatoire. Il remporte les trois premiers prix de composition en 1919[3]. Installé à Paris (fin 1919), il est joué dès les années 1920 et 1930.
Sa carrière musicale est le fruit d’une rencontre avec Maurice Ravel lors d'un dîner chez le décorateur Georges Mouveau, qui l’introduit dans les meilleurs salons, auprès de son éditeur et qui lui présente nombre d’interprètes[4]. Ainsi, il fait bientôt partie de la vie musicale parisienne. Il se lie d’amitié avec les musiciens du groupe des Six et fréquente Bartók, Gershwin, Honegger, Milhaud, Prokofiev, Roussel, Schönberg, Stravinsky, etc. Il fait partie de l’École de Paris, avec le Hongrois Tibor Harsányi, le Roumain Marcel Mihalovici, le Tchèque Bohuslav Martinů et le Russe Alexandre Tcherepnine[5].
Tansman est l’un de ces créateurs polonais dont l’art est effectivement entré dans la composition de la vie artistique mondiale. C’est Tansman qui, à côté de Szymanowski étant plus âgé de quinze ans de lui, était le premier créateur qui a lié la musique polonaise à un nouveau langage et à l’esthétique du XXe siècle. Tansman a dépassé de manière plus conséquente que Szymanowski la poétique du son du XIXe siècle et les modèles allemands[6].
En 1927, il rejoint les États-Unis, où il crée son second concerto pour piano, dédié à Charlie Chaplin, sous la baguette de Serge Koussevitzky. Les commandes se multiplient, ainsi que les tournées, notamment américaines, avec Koussevitzky, Mitropoulos, Golschmann, Monteux, Mengelberg, Toscanini, Serafin, Stokowski[7].
Très cosmopolite et parlant sept langues,[Interprétation personnelle ?] il entreprend un tour du monde en 1932-1933 et s'intéresse tant à l'Extrême-Orient qu'au jazz[Interprétation personnelle ?]. Lors de cette tournée, il rencontre notamment Gandhi. En 1937, veuf de sa première épouse Anna, il épouse Colette Cras, fille du compositeur et contre-amiral Jean Cras qui mourra en 1953[8]. Le 1er juin 1938, un décret signé par le président de la République française, Albert Lebrun, lui confère la nationalité française. Comme l'était devenu deux ans plus tôt Igor Stravinsky, comme le deviendra l'année suivante Bruno Walter, Alexandre Tansman devenait citoyen français[9].
Sa carrière est nettement divisée par la Seconde Guerre mondiale.[Interprétation personnelle ?] En raison de l'antisémitisme, il se voit contraint de se réfugier avec sa famille à Nice jusqu'en . Il parvient ensuite à s'exiler aux États-Unis grâce à un comité organisé par Chaplin, Toscanini, Koussevitzky, Stokowski, Mitropoulos et Golschmann[10]. Dès son arrivée, il reçoit la « Elizabeth Sprague Coolidge Medal for Eminent Services to Chamber Music » pour sa 4e Sonate pour piano[11]. Il y résidera jusqu’en . Durant ces presque cinq ans d’exil, il écrit plusieurs musiques de films, et surtout de nombreuses œuvres importantes, dont trois symphonies[7]. Il multiplie les tournées, dirigeant et jouant dans les villes les plus importantes.[Interprétation personnelle ?]
De retour d'exil des États-Unis, il se fixe définitivement en France, où il poursuit une brillante carrière européenne. En France, le philosophe français Vladimir Jankélévitch fut un admirateur et un ami fidèle de Tansman. Vers la fin des années 1970, il est de moins en moins joué en France, en raison peut-être de son langage musical, certes moderne et savant, mais aussi luxuriant, à une époque où apparaît le minimalisme, et taxé à tort de néoclassicisme.[Interprétation personnelle ?]. En 1967, la S.A.C.E.M. lui décerne le prix Hector Berlioz. En 1977, il est élu membre de la classe des Beaux-Arts de l’Académie Royale de Belgique en remplacement de Dimitri Chostakovitch, la France le nomme Commandeur des Arts et des lettres en 1986, en Pologne il reçoit la médaille du Mérite de la Culture et il est nommé post mortem« Docteur honoris causa de l’Académie Musicale de Łódź »[12].
L'héritage artistique de Tansman comporte plus de 300 œuvres pour les formations instrumentales et vocales les plus diverses, parmi lesquelles 7 opéras, 11 ballets, 6 oratorios, 80 partitions orchestrales (dont 9 Symphonies), de nombreuses œuvres de musique de chambre, 8 Quatuors à cordes, 8 Concerti pour tous les instruments, une centaine de pages pour le piano, de nombreuses musiques de scène et de la musique de film, beaucoup d’œuvres à l'intention des enfants[7].
«On ne peut pas effacer de sa vie les années d’enfance et de jeunesse, les traditions culturelles, la mémoire du milieu dans lequel on a grandi», déclare Alexandre Tansman dans l’interview qu’il a accordé à Janusz Cegiella. Il le termine par les mots suivants : « Volens nolens, ma musique est-elle connue en Pologne ou non, j’appartiens à la culture polonaise ». Je pourrais, à vrai dire, terminer ici et, me basant sur cette citation constater que l’œuvre créatrice de Tansman n’appartient qu’aux Polonais. Il a cependant déclaré dans la phrase suivante : « Je suis citoyen français et je suis redevable à la France de mon évolution créatrice, de ma vie intime ainsi que de ma réputation internationale »[13].
On le redécouvre depuis peu, notamment grâce à l'abondante discographie de son œuvre.[Interprétation personnelle ?]
Depuis 1996, dans sa ville natale de Łódź, l'Association pour la Promotion de la Culture (sous la direction artistique de Andrzej Wendland) organise tous les deux ans un prestigieux concours international de musique et un festival portant son nom[14].
Alexandre Tansman est inhumé au cimetière Sud de Saint-Mandé, à Paris.
Œuvres
Un vaste corpus d'opéras (7), d'oratorios, de symphonies (9) et d'œuvres de musique de chambre pour tous les instruments, formant au total plusieurs centaines de partitions[7], dont :
Opéras
- La Nuit Kurde, livret de Jean Richard Bloch (1926–1927)
- La Toison d'Or, livret de Salvador de Madariaga (1939)
- Le roi qui jouait le fou, texte de René Laporte (1948)
- Le Serment, d'après Honoré de Balzac (1955)
- Sabbataï Zévi, le faux messie, livret de Nathan Bistritzky (1957-1958)
- L’Usignolo di Boboli, livret de Mario Labroca (1963)
- Georges Dandin, comédie en trois actes de Molière (1973-1974)
Ballets
- Le Jardin du paradis, d'après un conte d'Hans Christian Andersen (1922)
- Sextuor, d'après une novelle de Alexandre Arnoux (1923)
- Lumières, argument d'André Cœuroy et G. Clarence (1927)
- Bric-à-Brac, argument de Alexandre Arnoux (1935)
- La Grande Ville, à Kurt Jooss (1935, 1944)
- Les Habits Neufs du Roi, d'après Hans Christian Andersen (1958-1959)
- Réssurection, d'après Léon Tolstoï (1961-1962)
Oratorios
- Isaïe le Prophète (1949-1950)
- Prologue et Cantate (1957)
- Psaumes à Salvador de Madariaga (1960-1961)
- Apostrophe à Zion (1976-1971)
Musique symphonique
- Sérénade pour orchestre (1916)
- Symphonie n°1 à Tadeusz Mazurkiewicz (1917)
- Impressions pour orchestre à Vladimir Golschmann (1920)
- La Danse de la Sorcière à Roland-Manuel (1923)
- Scherzo sinfonico à Serge Koussevitzky (1923)
- Sinfonietta n°1 (1924)
- Symphonie n°2 à Serge Koussevitzky (1926)
- Esquisse à mon ami Alban Berg (1927)
- Toccata à Pierre Monteux (1928-1929)
- Symphonie n°3 - Symphonie concertante à Sa Majesté la Reine Elisabeth de Belgique (1931)
- Quatre Danses Polonaises à Rhené-Baton (1931)
- Deux Pièces à Arturo Toscanini (1934)
- Symphonie n°4 (1939)
- Rapsodie Polonaise aux défenseurs de Varsovie (1940)
- Symphonie n°5 à Paul Kletzki (1942)
- Divertimento à Arnold Schönberg (1944)
- Symphonie n°7 "Lyrique" à Vera et Igor Stravinsky (1944)
- Musique pour orchestre - Symphonie no. 8 à Franz André (1948)
- Sinfonia piccola (1951-1952)
- Capriccio (1954)
- Concerto pour orchestre à Darius Milhaud (1954)
- Suite Baroque à Sa Majesté la Reine Elisabeth de Belgique (1958)
- Symphonie de Chambre (1960)
- Six Études (1962)
- Quatre Mouvements à mes amis Vladimir et Lulu Jankélévitch (1968)
- Hommage a Érasme de Rotterdam (1968-1969)
- Stèle in memoriam Igor Stravinsky (1972)
- Élégie à la mémoire de Darius Milhaud (1975)
- Sinfonietta n°2 (1978)
- Les Dix Commandements à la mémoire de mon ami Salvador de Madariaga (1978-1979)
Orchestre à cordes
- Triptique to Elizabeth Sprague Coolidge (1930)
- Partita (1933)
- Variations sur un theme de Frescobaldi (1937)
- Musique pour cordes (1947)
- Tombeau de Chopin (1949)
- Six Mouvements à Pierre Capdevielle (1962-1963)
Instrumentes solistes et orchestre
- Concerto n°1 pour piano et orchestre à Édouard Ganche (1925)
- Concerto n°2 pour piano et orchestre à Charlie Chaplin (1927)
- Suite pour deux pianos et orchestre à Robert Schmitz (1928)
- Cinq Pièces pour violon et orchestre à Joseph Szigeti (1930)
- Concertino pour piano et orchestre à José Iturbi (1931)
- Fantaisie pour violoncelle et orchestre à Gregor Piatigorsky (1936)
- Concerto pour alto et orchestre pour Charles Foidart (1936-1937)
- Concerto pour violon et orchestre pour Jacqueline Salomons (1937)
- Pièce concertante (Konzertstück) pour Paul Wittgenstein pour piano main gauche et orchestre (1943)
- Concertino pour guitare et orchestre à Andrés Segovia (1945)
- Concertino pour hautbois, clarinette et orchestre (1952)
- Hommage à Manuel de Falla pour guitare et orchestre à Andrés Segovia (1954)
- Concerto pour clarinette et orchestre à Louis Cahuzac (1957)
- Musique de cour pour guitare et orchestre à Andrés Segovia (1960)
- Concerto pour violoncelle et orchestre à Charles Reneau (1963)
- Suite concertante pour hautbois et orchestre (1966)
- Concertino pour flute et orchestre (1968)
- Musique pour harpe et orchestre à Nicanor Zabaleta (1981)
Voix et orchestre
- Huit mélodies japonaises à Maria Freund (1918)
- Six Songs, textes de la Princesse Nadejda de Bragança (1934)
- Ponctuation Française, poèmes de Charles Oulmont (1946)
- Quatre Sonnets de Shakespeare (1955)
- Huit Stèles de Victor Segalen à Maria Sartova (1979)
Musique chorale (religieuse)
- Kol-Nidrei (1945)
- Deux Chants Religieux Anciens Polonais (1945)
- Ma Tovu (1946)
- Quatre Prières /Psaumes de David/ (1951)
Musique de chambre
- Trio n°1 pour violon, violoncelle et piano (1915)
- Quatuor à cordes n°1 (1917)
- Romans pour violon et piano à Henryk Melcer (1918)
- Sonate n°2 pour violon et piano à Bronisław Huberman (1919)
- Poème pour violon et piano à Irena Dubiska (1921)
- Quatuor à cordes n°2 (1922)
- Sonatine pour flute et piano à Louis Fleury (1925)
- Quatuor à cordes n°3 (1925)
- Suite-Divertissement pour violon, alto, violoncelle et piano (1929)
- Cinq Pièces pour violon et piano (1930)
- Sonate n°2 pour violoncelle et piano à Maurice Maréchal (1930)
- Deux Pièces pour violoncelle et piano à Pablo Casals (1931)
- Septuor à Béla Bartók pour flute, hautbois, clarinette, basson, trompette, alto et violoncelle (1932)
- Quatuor à cordes n°4 (1935)
- Deux Mouvements pour quatre violoncelles (1935)
- Trio n°2 pour violon, violoncelle et piano (1938)
- Quatuor à cordes n°5 (1940)
- Sextuor à cordes (1940)
- Sonatine n°2 pour violon et piano à Henry Temianka (1942)
- Quatuor à cordes n°6 (1944)
- Divertimento pour hautbois, clarinette, trompette, violoncelle et piano à Arnold Schönberg (1944)
- Quatuor à cordes n°7 - musique pour cordes (1947)
- Suite pour trio d'anches (1949)
- Tombeau de Chopin pour quintette à cordes (1949)
- Sonatine pour basson et piano à Gustave Dhérin (1952)
- Sonatina da camera pour flute, violon, alto, violoncelle et harpe (1952)
- Partita pour violoncelle et piano à Gaspar Cassado (1955)
- Quatuor à cordes n°8 (1956)
- Fantaisie pour violon et piano à Diane et André Gertler (1963)
- Trois Pièces pour clarinette, harpe et quatour à cordes (1970)
- Suite in modo polonico pour harpe et guitare à Andrés Segovia et à Nicanor Zabaleta (1976)
- Musique à six pour clarinette, quatour à cordes et piano (1977)
- Musique pour clarinette et quatour à cordes à Jerry D. Pierce (1982)
Piano
- Sonate n°1 (1915)
- Album Polski suite (1915-1916)
- Variations et Fugue sur un Thème Slave (1917)
- Mazurkas (1918 - 1928: 1er recueil) à Albert Roussel
- Huit Nocturnes (1922)
- Sonatine à Mieczysław Horszowski (1923)
- Vingt Pièces Faciles sur des Mèlodies Populaires Polonaises à Ignacy Paderewski (1924)
- Sonata rustica à Maurice Ravel (1925)
- Sonate n°2 à Arthur Rubinstein (1928)
- Suite dans le style ancien à Karol Szreter (1929)
- Sonatine transatlantique (1930)
- Mazurkas (1932: 2e recueil)
- Sonate n°3 à Arthur Rubinstein (1932)
- Troisième Sonatine à Walter Spies (1933)
- Le tour du monde en miniature (1933)
- Mazurkas (1941: 3e, 4e recueil)
- Sonate n°4 à Elizabeth Sprague Coolidge (1941)
- Quatre Nocturnes à Igor Stravinsky (1952)
- Sonate n°5 à la mémoire de Béla Bartók (1955)
- Notturno intermezzo pour "Chip" Marcel Mihalovici (1961)
- Hommage à Arthur Rubinstein (1973)
- L'Oiseau qui n'existe pas pour Claude Aveline (1978)
- Album d'amis (1980)
Guitare
- Mazurka à Andrés Segovia (1925)
- Cavatina à Andrés Segovia (1950)
- Trois Pièces à Andrés Segovia (1954)
- Invenzione, Notturno romantico e Segovia (1957)
- Suite pour guitare (1958)
- Danza Pomposa à Andrés Segovia (1961)
- Suite in modo polonico (1962)
- Ballade. Hommage à Chopin (1965)
- Hommage à Chopin (1966)
- Pezzo in modo antico per chitarra (1970)
- Variations sur un Thème de Scriabine (1972)
- Deux chansons populaires (1978)
- Hommage à Lech Walesa (1982)
Musiques fonctionnelles (Musiques de film)
- Poil de Carotte (dir. Julien Duvivier, 1932)
- La Châtelaine du Liban (dir. Jean Epstein, 1934)
- Flesh and Fantasy (dir. Julien Duvivier, 1942)
- Paris Underground (dir. Gregory Ratoff, 1945)
- Sister Kenny (dir. Dudley Nichols, 1946)
Écrits
- Igor Stravinsky, Paris, Amiot-Dumont, coll. « Jeunesse de la Musique », , 314 p. (BNF 31432366)
- Une voie lyrique dans un siècle bouleversé : Textes réunis par Mireille Tansman-Zanuttini, préfacés et annotés par Gérald Hugon, Paris, L'Harmattan, , 466 p. (ISBN 978-2-7475-9045-7, BNF 40049427)
- Regards en arrière, Itinéraire d'un musicien cosmopolite au XXe siècle : Texte édité par Cédric Segond-Genovesi ; avec la collaboration de Mireille Tansman Zanuttini et Marianne Tansman Martinozzi, Château-Gontier, Aedam Musicae, , 527 p. (ISBN 978-2-919046-08-9, BNF 43543914) Mémoires d'Alexandre Tansman
Bibliographie
- Irving Schwerke, Alexandre Tansman, compositeur polonais, Paris, Éditions Max Eschig, 1931. Liste d'œuvres inédites et courte bibliographie.
- Janusz Cegiełła, Dziecko szczęścia. Aleksander Tansman i jego czasy [L'enfant de la chance: Alexandre Tansman et son époque], Warszawa, Państwowy Instytut Wydawniczy, 1986.
- Gerald Hugon, Alexandre Tansman (1897-1986). Catalogue de l'œuvre, Paris, Éditions Max Eschig, 1995.
- Anna Granat-Janki, Forma w twórczości instrumentalnej Aleksandra Tansmana [La forme dans l'œuvre instrumentale d'Alexandre Tansman], Wrocław, Akademia Muzyczna, 1995.
- Andrzej Wendland, Gitara w twórczości Aleksandra Tansmana [La guitare dans les œuvres d'Alexandre Tansman], Łódź, Ars Longa Edition, 1996.
- Janusz Cegiełła, Dziecko szczęścia. Aleksander Tansman i jego czasy [L'enfant de la chance: Alexandre Tansman et son époque], vol. 1-2, Łódź, 86 Press, 1996. Liste d'œuvres et bibliographie.
- Aleksander Tansman. Życie i twórczość [Vie et Œuvre] 1897-1985, actes du colloque national, ed. Marta Szoka, Łódź, Akademia Muzyczna, 1997.
- Hommage au compositeur Alexandre Tansman (1897-1986), textes réunis par Pierre Guillot, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, 2000.
- Lionel Pons, avec la collaboration de Jean Alain Joubert et France-Yvonne Bril, Alexandre Tansman ou l'expression et l'équilibre, Montrem, Les Amis de la musique française, 2005.
- Wojciech Wendland, W 89 lat dookoła świata. Aleksander Tansman u źródeł kultury i tożsamości [Le tour du monde en 89 ans: Alexandre Tansman à l'origine de la culture et de l'identité], Łódź, Astra Editions, Aleksander Tansman Association for the Promotion of Culture, 2013.
- Remi Huppert, La partition de l'exil, roman historique, Paris, Editions Michel de Maule, 2017.
- Marianne Tansman Martinozzi, avec la participation de Mireille Tansman Zanuttini et Antonin Vercellino, La Guitare dans la vie d'Alexandre Tansman, Lyon, Éditions Habanera, 2018.
- Maurice Ravel, L'intégrale : Correspondance (1895-1937), écrits et entretiens : Édition établie, présentée et annotée par Manuel Cornejo, Paris, Le Passeur Éditeur, , 1769 p. (ISBN 978-2-36890-577-7, BNF 45607052) Contient 3 correspondances de Ravel à Tansman (1925) n°1861, 1882, 1899 et 1 correspondance de Tansman à Ravel (1933) n°2453
Notes et références
- Andrzej Wendland, dans Aleksander Tansman. Życie i twórczość [Vie et Œuvre] 1897-1985, actes du colloque national, ed. M. Szoka, Łódź, Akademia Muzyczna, , 138 p. (ISSN 0860-5335), « Data urodzin Aleksandra Tansmana [La date de naissance d'Alexandre Tansman] », p. 13-20
- « L'oeuvre juive d'Alexandre Tansman (1897-1986) - Institut Européen des Musiques Juives », sur www.cfmj.fr (consulté le )
- Janusz Cegiełła, Dziecko szczęścia. Aleksander Tansman i jego czasy [L'enfant de la chance : Alexandre Tansman et son époque], Warszawa, Państwowy Instytut Wydawniczy, , 518 p. (ISBN 83-06-01256-9), p. 63-67
- Tadeusz Kaczyński, dans Hommage au compositeur Alexandre Tansman (1897-1986), ed. P. Guillot, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , 254 p. (ISBN 2-84050-175-9, ISSN 1275-2622), « Entre la Pologne et la France », p. 31-32
- Gerald Hugon, dans Hommage au compositeur Alexandre Tansman (1897-1986), ed. P. Guillot, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , 254 p. (ISBN 2-84050-175-9, ISSN 1275-2622), « Présentation du compositeur et de son œuvre », p. 20
- Wojciech Wendland, W 89 lat dookoła świata. Aleksander Tansman u źródeł kultury i tożsamości [Le tour du monde en 89 ans : Alexandre Tansman à l'origine de la culture et de l'identité], Łódź, Astra Editions, Aleksander Tansman Association for the Promotion of Culture, , 251 p. (ISBN 978-83-938620-0-9), p. 247-248
- Gerald Hugon, Alexandre Tansman (1897-1986). Catalogue de l'œuvre, Paris, Éditions Max Eschig, , 124 p.
- Alexandre Tansman, Regards en arrière. Itinéraire d’un musicien cosmopolite au XXe siècle, Chateau-Gontier, Editions Aedam Musicae, , 527 p. (ISBN 978-2-919046-08-9), p. 252-271
- Gerald Hugon, dans Hommage au compositeur Alexandre Tansman (1897-1986), ed. P. Guillot, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , 254 p. (ISBN 2-84050-175-9, ISSN 1275-2622), « Présentation du compositeur et de son œuvre », p. 22
- Janusz Cegiełła, Dziecko szczęścia. Aleksander Tansman i jego czasy [L'enfant de la chance : Alexandre Tansman et son époque], vol. 2, Łódź, 86 Press, , 466 p. (OCLC 606419738), p. 15-36
- Clavier, volume 29, Instrumentalist Company, 1990, p. 19
- Gerald Hugon, Hommage au compositeur Alexandre Tansman (1897-1986), ed. P. Guillot, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , 254 p. (ISBN 2-84050-175-9, ISSN 1275-2622), « Présentation du compositeur et de son œuvre », p. 27
- Tadeusz Kaczyński, dans Hommage au compositeur Alexandre Tansman (1897-1986), ed. P. Guillot, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , 254 p. (ISBN 2-84050-175-9, ISSN 1275-2622), « Entre la Pologne et la France », p. 30
- « TANSMAN PHILHARMONIC », sur tansman.org.pl (consulté le )
Voir aussi
Liens externes
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