Tarnos
Tarnos [taʁnɔs] est une commune française située dans le sud du département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine, dans le canton de Seignanx, aux portes du Pays basque.
Tarnos | |||||
![]() L'église Notre-Dame des Forges. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Seignanx | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Lespade (PCF) 2020-2026 |
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Code postal | 40220 | ||||
Code commune | 40312 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tarnosien | ||||
Population municipale |
12 634 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 481 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 32′ 28″ nord, 1° 27′ 36″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 53 m |
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Superficie | 26,26 km2 | ||||
Type | Commune urbaine et littorale | ||||
Unité urbaine | Bayonne (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bayonne (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Seignanx | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
Commune de l'aire urbaine de Bayonne située dans son unité urbaine sur la Côte d'Argent dans les Landes de Gascogne, elle est limitrophe des Pyrénées-Atlantiques.
Quatrième ville des Landes, située à l'extrême sud-ouest du département[2], Tarnos est une ville de tradition industrielle qui a su préserver un cadre de vie de qualité.
D'une superficie de 2 700 hectares, le territoire communal est composé à 75 % de zones naturelles et agricoles le reste constituant la zone urbaine.
La commune de Tarnos est desservie par des infrastructures majeures : RD 810, RD 817, le port de Bayonne et l'Aéroport de Biarritz-Pays basque à 15 km.
Ce port industriel est également le point de départ des 106 km de plage landaise.


Communes limitrophes
Lieudits et hameaux
Quatre quartiers composent la commune de Tarnos[4] :
- Tarnos ;
- le Boucaud ;
- Castillon ;
- la Humère.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soorts-Hossegor », sur la commune de Soorts-Hossegor, mise en service en 1954[11] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 125,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 37 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[15], à 14,3 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Tarnos est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bayonne (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 30 communes[21] et 251 520 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[26]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[27],[28].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (51,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,4 %), zones urbanisées (21,2 %), terres arables (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,7 %), zones humides côtières (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %), prairies (1 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %), eaux maritimes (0,6 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Son nom occitan gascon est Tarnòs[30]. Son nom basque est quant à lui Tarnose[31].
Son nom proviendrait de l’association de Tarinus et du suffixe -os. Tarinus serait le nom d'un homme de l'époque gallo-romaine, propriétaire terrien et se retrouve dans Tarnac. Le suffixe -os signifie domaine, surface, territoire en ibère. Tarnos signifierait ainsi « domaine de Tarinus ».
Histoire
Moyen Âge
Les origines de Tarnos sont méconnues. Ses premières mentions remontent au XIIe et au XIIIe siècle. De plus, le Livre d'Or de la cathédrale de Bayonne datant du XIIIe siècle témoigne à plusieurs reprises de l'existence de la paroisse Saint Vincent de Tarnos.
Jusqu'au XVIIIe siècle, Tarnos est une paroisse à l'habitat dispersé sur plusieurs hameaux et grands domaines : Ordozon, Garros, Romatet, Estiey, Boucau,... Son économie est principalement tournée vers l'agriculture et repose sur la culture et l'élevage traditionnels.
Au XIXe siècle, Tarnos amorce son entrée dans l'ère industrielle et devient au début du XXe siècle le premier pôle du monde ouvrier landais.
Hospitaliers
L'église fortifiée du centre-ville est une ancienne commanderie-hôpital des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Édifiée au XIIe siècle, elle servait principalement à l'accueil des pèlerins de Saint Jacques de Compostelle qui suivaient le chemin du littoral.
Détournement de l'embouchure de l'Adour
Jusqu'au XVIe siècle, l’Adour traversait Tarnos du sud au nord pour se jeter à Vieux Boucau. Louis de Foix décide de détourner le fleuve et de couper son orientation au nord en construisant une digue et ainsi l’obliger à se jeter dans l’Océan tout proche. La nouvelle embouchure est ouverte le .
Arrivée du chemin de fer et détachement de Boucau
En 1855, le tracé de la voie qui traverse tout le territoire de Tarnos entraîne la création d’une gare au quartier du Boucau. L’accès maritime et la voie ferrée vont donner un nouvel élan économique. C’est Napoléon III qui décide en 1857 de détacher de la commune de Tarnos, deux sections cadastrales de Boucau et de Romatet pour créer la ville de Boucau, avant port de Bayonne.
Implantation de l'usine sidérurgique des forges de l'Adour
L’amélioration des accès maritimes, la desserte ferroviaire, la proximité de l’Espagne avec ses gisements de minerai de fer de Biscaye vont conduire à l’implantation de l’usine des Forges de l'Adour en 1881, spécialisée dans la production de rails et accessoires des voies ferrées.
Cette industrialisation subite mais remarquable va entraîner une expansion économique et une poussée démographique sans précédent sur la commune.
Époque contemporaine
Après la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre d'un accord avec la Commission centrale de l’enfance auprès de l'Union des juifs pour la résistance et l'entraide (UJRE), Tarnos accueille chaque année jusqu'en 1973 une colonie de vacances d'enfants juifs orphelins de parents morts en déportation ou fusillés[32],[33].
Politique et administration
Liste des maires
Période | Identité | Parti | Qualité |
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avant le | Joseph Destremaut | ||
du au | Charles Lalanne | ||
du au | Pierre Castillon | ||
du au | Bernard Duboscq | ||
du au | Joseph Mege | ||
du au | Salvat Lalanne | ||
du au | Paul Adoue | ||
du au | Pierre Lacouture | ||
du au | Jean Séverin-Rouy | ||
du au | Joseph Bernettes | ||
du au | Charles de Lalande | ||
du au | Jean-Baptiste Devert | ||
du au | Maurice Labrouche | ||
du au | François Graciet | PCF | Militant socialiste |
du au | Pierre Dufourcet | PCF | |
du au | Adolphe Pomade | ||
du au | Pierre Dufourcet | PCF | Destitué[34] |
du au | Jean-Baptiste Sanglan | PCF | Adjoint faisant fonction de Maire |
du au | Alexandre Pereyre | PS | |
du au | Jean Bébé | PCF | Ouvrier puis petit exploitant agricole[35] |
du au | Joseph Biarrotte | PCF | Ouvrier aux Forges de l'Adour |
du au | Charles Durroty | PCF | Déporté à Sachsenhausen en 1943, mort en déportation |
du au | Joseph Biarrotte | PCF | Ancien ouvrier |
du au | Maurice Daugareil | Président de la Délégation spéciale nommé par le préfet et maintenu par le régime de Vichy | |
du au | Albert Castets | PCF | Ouvrier aux Forges de l'Adour puis représentant de commerce[36] |
du au | Joseph Biarrotte | PCF | Ancien ouvrier, ancien déporté à Buchenwald[37] |
du au | Jean André Maye | PCF | Conseiller général du canton de Saint-Martin-de-Seignanx (1964-1988) |
du au | Pierrette Fontenas | PCF | Conseillère générale du canton de Saint-Martin-de-Seignanx (1988-2008) Présidente de la communauté de communes du Seignanx (-2008) |
depuis le | Jean-Marc Lespade | PCF | Conseiller départemental du canton du Seignanx (2015-) Vice-Président de la communauté de communes du Seignanx (-2014) et depuis 2020 |
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[38].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 8]
En 2019, la commune comptait 12 634 habitants[Note 9], en augmentation de 2,97 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La densité de population de Tarnos est passée de 192,5 à 449,3 habitants par kilomètre carré de 1968 à 2009.
Année | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2009 |
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Densité de population | 192,5 | 265,0 | 313,0 | 346,5 | 383,6 | 449,3 |
Économie
Jusqu’à la moitié du XIXe siècle avant l’arrivée du chemin de fer, l’activité économique de Tarnos se concentre autour des produits de la pêche (la baleine…) de la polyculture issues des métairies (céréales, vignes, et vergers, maraîchage…). Quelques moulins à eau fonctionnaient sur les ruisseaux rejoignant l’Adour. L’exploitation des pins fournit résine et térébenthine et goudrons à la Marine Royale. Plusieurs tuileries fabriquaient des brises et des tuiles.
- Activités portuaires (Maïs, produits chimiques, bois).
- Aciérie Beltrame.
- Industries chimiques.
- Aéronautique (Safran Helicopter Engines).
- Centre commercial.
Tourisme
La commune possède 6 km de littoral atlantique, dont les plages dites du Métro et la Digue (surveillées en été). Les baigneurs préfèrent la première car la plage du Métro propose de nombreux services (une antenne de l' Office de tourisme du Seignanx, restaurant de plage, écoles des surf, location vélos, parking, desserte bus...). Les promeneurs préfèrent la seconde puisque la digue -un mur de béton d'1 kilomètre qui plonge droit dans l'océan- offre un panorama exceptionnel sur les côtes Basque et Landaise. Hôtel, village vacances, campings, chambres d'hôtes permettent d'y séjourner toute l'année.
Bus de l'agglomération de Bayonne
Les lignes 2, 30, 40, 42 et 48 du réseau de bus Chronoplus, géré par Transdev agglomération de Bayonne, desservent Tarnos en la reliant aux autres communes de l'agglomération : Anglet, Bayonne, Biarritz, Bidart, Boucau et Saint-Pierre-d'Irube[42]. Des lignes complémentaires ouvrent en été, pour rejoindre la plage du Métro. Un trambus inauguré en 2020 permet d'optimiser les déplacements du centre ville vers Bayonne.
Personnalités liées à la commune
- Édouard Valéry, est un résistant de la Résistance intérieure française qui a vécu dans la commune.
- Jacques Pilhan, fut un publicitaire et un conseiller en communication politique des présidents François Mitterrand et Jacques Chirac.
- Dominique Arnaud, coureur cycliste.
- Albert Dolhats, coureur cycliste.
- Guy Dolhats, coureur cycliste.
- Romain Sicard, Formé, en minime et cadet, au Vélo-Club Tarnos (2002-2004)
- Zaz, chanteuse française qui fut l'une des quatre chanteuses d'un orchestre de variété basque de seize personnes à Tarnos.
Lieux et monuments
Voies
297 odonymes recensés à Tarnos au | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Clos | Impasse | Montée | Passage | Place | Pont | Route | Rue | Square | Venelle | Autres | Total |
67 | 10 [N 1] | 1 [N 2] | 30 | 0 | 57 | 0 | 0 | 10 | 0 | 9 | 107 [N 3] | 2 [N 4] | 1 [N 5] | 3 [N 6] | 297 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap | |||||||||||||||
Voie verte
La Voie verte du littoral atlantique aboutit à Tarnos-Plages[43].
Chemin de Compostelle

Le Chemin de Compostelle passe par Tarnos-Plages où les pèlerins peuvent faire étape en village de vacances.

Édifices et sites
- L'église Saint-Vincent-Diacre de Tarnos (centre-ville) : église romane avec sa fresque visible dans le chœur
- L'église Notre-Dame des Forges : inscrite aux monuments historiques depuis 2001
- Digue protégeant l'embouchure de l'Adour
- Ses plages (plage du Métro, et de la Digue)
- Zone humide du Métro
Événements
- Fête de Tarnos la semaine de l'Ascension.
- Teknival à Tarnos (1995). L'un des premiers recensés en France.
- Festival " Les Océaniques" (2002 à 2014).
- Festival " Jazz en Mars " (depuis 2005).
- Fête des pins, début juillet.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- « http://www.ville-tarnos.fr/tarnos/page.asp?PAGE=Localisation »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Carte IGN sous Géoportail
- Archives départementales des Landes, « Archives numérisées - Cadastre / Tarnos », (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Soorts-Hossegor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tarnos et Soorts-Hossegor », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Soorts-Hossegor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tarnos et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- « Exonymie », sur www.euskaltzaindia.eus (consulté le ).
- « Les colons de Tarnos : héritiers de la Résistance Juive », sur ville-tarnos.fr.
- Emma Saint-Genez, « Il était des Résistants et une colonie », sur Sud Ouest, .
- Valérie Mosnier, « Landes : le monument aux morts de Tarnos va retrouver ses inscriptions pacifistes », sur francebleu.fr, .
- Jean-Claude Paul-Dejean, « Notice BÉBÉ Jean », sur maitron.fr.
- Jean-Claude Paul-Dejean, « Notice CASTETS Albert », sur maitron.fr.
- Jean-Claude Paul-Dejean, « Notice BIARROTTE Joseph », sur maitron.fr.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 15 janvier 2021.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Plan du réseau Chronoplus à partir du 31 janvier 2010, consulté le 14 février 2010.
- « Fiche VVV - AF3V », sur www.af3v.org (consulté le ).
- Annuaire des villes jumelées
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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- Site de la mairie
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