Tercé

Tercé est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Tercé

Carrière de Normandoux.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Christian Richard
2020-2026
Code postal 86800
Code commune 86268
Démographie
Population
municipale
1 118 hab. (2019 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 31′ 03″ nord, 0° 33′ 53″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 136 m
Superficie 23,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tercé
Géolocalisation sur la carte : France
Tercé
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Tercé
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Tercé

    Ses habitants sont appelés les Tercéens et les Tercéennes.

    Géographie

    Localisation

    Tercé est située à 19 km au sud-est de Poitiers, qui est la plus grande ville aux alentours.

    La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Tercé présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[1], sur les plateaux du seuil du Poitou, de terres de brandes pour 42 %, de terres fortes pour 32 % et de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 26 %.

    Hydrographie

    Aucun cours d’eau n'a été recensé sur le territoire de la commune.

    232 mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal. Nombreuses dans la Vienne, elles ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 759 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauvigny-Mareu », sur la commune de Chauvigny, mise en service en 1949[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 782,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 21 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communication et transports

    Les gares les plus proches de Tercé se trouvent à Mignaloux-Beauvoir à 11,74 km, Lussac-les-Châteaux à 17,15 km, gare de Dissay à 23,53 km, gare de Poitiers à 19,14 km et Chasseneuil-du-Poitou à 20,97 km.

    L'aéroport et l'aérodrome les proches de Tercé sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Tercé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), forêts (13,8 %), zones urbanisées (2,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Tercé : situé sur la troisième borne borne leugaire de la voie gallo-romaine.

    Histoire

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation traversait la commune[22], du au , laissant le chef-lieu en zone occupée.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Depuis 2015, Tercé est dans le canton de Chasseneuil-du-Poitou (n° 1) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Tercé était dans le canton n° 24 de Saint-Julien-l'Ars dans la 1re circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1983 mars 2001 François Jallais DVG  
    mars 2001 réélu en 2008[23] Christian Richard PS historien

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2019, la commune comptait 1 118 habitants[Note 8], en augmentation de 0,27 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    354329323378366415415412396
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    426432425489553649718686712
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    733747834741769696715673695
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    6306475988269521 0151 0551 0671 115
    2018 2019 - - - - - - -
    1 1171 118-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 45 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 085 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (21 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 1 064 .

    La répartition de la population, en 2010 était la suivante : 52,4 % d'hommes pour 47,6 % de femmes.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école maternelle (114 places) dépend de l'inspection académique de la Vienne.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[28], il n'y a plus que 11 exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 497 hectares en 2000 à 1 359 hectares en 2010. 45 % sont destinées à la culture des céréales (en blé tendre essentiellement mais aussi un peu d'orge), 38 % pour les oléagineux (2/3 en colza et 1/3 en tournesol), 6 % pour le fourrage et 2 % restent en herbe. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[28].

    Trois exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un élevage de bovins (87 têtes en 2010 contre 110 têtes en 2000). L'élevage d'ovins a connu une très forte baisse : 1 005 têtes en 2000 répartis sur neuf fermes contre 405 têtes en 2010 répartis sur six fermes[28]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[29].

    La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

    • Chabichou du Poitou (AOC)
    • Beurre Charente-Poitou (AOC)
    • Beurre des Charente (AOC)
    • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
    • Veau du Limousin (IGP)
    • Agneau du Poitou-Charentes (IGP)
    • Jambon de Bayonne (IGP)

    Commerce

    Selon l'INSEE, en 2009, il ne restait plus que deux commerces, une épicerie et un magasin de meubles.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Équipement culturel

    • Musée de la Seconde Guerre mondiale[31] date de 2004. Sa gestion est assurée par une association : l'association pour la Valorisation et l'Animation du Patrimoine Rural en Vienne et Moulière (VAPRUM). Il était logé dans un ancien presbytère. Après deux ans de travaux, le musée a déménagé en 2015, dans un nouveau site. Il se compose de salles de présentation des collections permanentes de 150 m2, d'une petite salle de conférence, d'une salle destinée aux expositions temporaires et d'une réserve de 80 m2. Il rassemble une soixantaine de panneaux explicatifs et environ 300 pièces : des armes, des masques à gaz, des uniformes mais aussi des objets de la vie quotidienne et des parachutes. Ces derniers étaient en effet récupérés par les résistants pendant le conflit afin d'être utilisés pour confectionner des vêtements dont certains sont exposés au musée. Un point de contrôle allemand, installé sur la ligne de démarcation, passant à quelques kilomètres seulement de Tercé, a été reconstitué. Une maquette du camp d'internement de Rouillé réalisé par une collégienne est également exposée. Le musée de la Seconde Guerre mondiale est le seul musée public sur ce thème dans le département de la Vienne.
    • La carrière de Normandoux, espace d’art contemporain comprenant entre autres un hôtel ainsi qu'un restaurant et un spa. La carrière abrite une salle de vidéo projection en plein air projetant des reportages "Microcosmos". Le le Domaine de Normandoux est placé en liquidation judiciaire[32].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    • Illustration filmée : émission La Carte Au Trésor diffusée sur France 3 le .

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    2. Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Tercé et Chauvigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Tercé et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Jean-Henri Calmon et Jean-Clément Martin (dir.), Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », (ISBN 2-910919-98-6), p. 63, carte p 5
    23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    28. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    29. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    30. « Eglise paroissiale », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    31. Fabienne Maurice, « Un nouveau don au musée », Centre Presse, 7 août 2010, p. 23.
    32. « Dans la Vienne, la liquidation judiciaire du domaine du Normandoux laisse des futurs mariés dans le désespoir », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
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