Thémines

Thémines est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Thémines

La mairie de Thémines.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Catherine Prunet
2020-2026
Code postal 46120
Code commune 46318
Démographie
Population
municipale
232 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 26″ nord, 1° 49′ 45″ est
Altitude Min. 306 m
Max. 423 m
Superficie 13,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lacapelle-Marival
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Thémines
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Thémines
Géolocalisation sur la carte : Lot
Thémines
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Thémines

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ouysse, le Francés, le ruisseau du Morou et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux espaces protégés (les « falaises lotoises (rapaces) » et le « géoparc des causses du Quercy ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Thémines est une commune rurale qui compte 232 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 749 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelés les Théminois ou Théminoises.

    Ses habitants sont les Théminois et les Théminoises.

    Géographie

    Commune du Quercy, située sur l'Ouysse, dans le causse de Gramat.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 067 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Latronquière », sur la commune de Latronquière, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 342,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[21],[22].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « falaises lotoises (rapaces) », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6 ha[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[24] : le « pech de Lavayssière et bord de l'Ouysse à Thémines » (125 ha), couvrant 3 communes du département[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Thémines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[I 1],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,9 %), forêts (27,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Thémines provient du latin terminus qui fait référence ici à la fin du cours aérien de l'Ouysse qui disparaît sous terre[29].

    Histoire

    Le nom de Thémines apparaît pour la première fois sur la charte de fondation de l'abbaye Saint-Sauveur de Figeac[30]. Les revenus de l'église de Thémines sont donnés à l'abbaye de Fons à sa création en 972.

    Le premier seigneur de la famille de Thémines apparaît en 1090, avec Gibert Ier et Flotard de Thémines dans un acte en présence de Géraud de Saint-Vincent représentant l'évêque de Cahors concernant le rachat de l'église d'Aynac qui avait été prise par la famille Feyt.

    La famille de Thémines est liée à la famille de Cardaillac.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    28.02.1790   Jean Sol    
    27.10.1791   Antoine Vayssières    
    16.10.1792   Jean-pierre Méjecaze    
    25.10.1795   Antoine Alairac    
    23.04.1797   Antoine Vayssière    
    01.10.1797   Jean Sol    
    20.09.1800   Antoine Alayrac    
    15.06.1808   Jean Delsahut    
    1834   J-b Alayrac    
    14.05.1846   Guillaume Tournié    
    30.07.1848   François Vanel    
    24.10.1851   Grimal De Toulou    
    12.1851   François Vanel    
    12.09.1852   Jean Pradié    
    05.08.1855   Henri Calmette    
    19.08.1860   François Brunet    
    1868   Gérard Malinvaud    
    01.05.1892   Paul Lacarrière    
    05.05.1935   Raymond Lacarrière    
    24.11.1944   Louis Filhol    
    15.03.1959   Pierre Laval    
    1986 2020 Bernard Lacarrière UMP  
    2020 (En cours) Catherine Prunet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2019, la commune comptait 232 habitants[Note 7], en augmentation de 8,92 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    575536524600693707698737749
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    737712690665659670666580555
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    531526507359345346320292304
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    296270208189217216224228222
    2015 2019 - - - - - - -
    213232-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 111 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 231 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 910 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]9,6 %9,2 %10,1 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 141 personnes, parmi lesquelles on compte 66,9 % d'actifs (56,8 % ayant un emploi et 10,1 % de chômeurs) et 33,1 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 48 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,6 %[I 10].

    Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    14 établissements[Note 10] sont implantés à Thémines au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 64,3 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 14 entreprises implantées à Thémines), contre 14 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans la Limargue », une petite région agricole occupant une bande verticale à l'est du territoire du département du Lot[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations16171210
    SAU[Note 12] (ha)508499586436

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 16 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 17 en 2000 puis à 12 en 2010[38] et enfin à 10 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 37 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[39],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 508 ha en 1988 à 436 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 44 ha[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Eutrope de Thémines.
    • Halle du XVIIe siècle, couverte de lauzes, classé par arrêté du aux Monuments historiques[40]. La charte de Thémines datée du fait mention d'un marché à Thémines : « Le marché de Thémines se tiendra le jeudi. Tous ceux qui y viendront pourront le faire en toute sécurité du mercredi matin jusqu’au vendredi ». le bâtiment a pu être reconstruit après la révision de la charte, le , entre les habitants de Thémines et les deux coseigneurs, Dorde de Thémines et Bégon de Roquemaurel[41].
    • Grotte de Roucadour : grotte préhistorique avec peintures, classé par arrêté du aux Monuments historiques[42]. Un fragment d'épée de l'âge du Bronze y a été découvert. Martel l'a décrite en 1890 dans son ouvrage Les abîmes[43],[44]. Fermée, fouilles en cours.
    • Grotte des Escabasses, grotte préhistorique classé par arrêté du aux Monuments historiques[45]. Fermée, fouilles en cours.
    • La vallée et les pertes de l'Ouysse qui après un parcours souterrain par la rivière des Vitarelles résurge à Cabouy et Saint-Sauveur.
    • Soubassement d'un ancien château médiéval.
    • Sentier de grande randonnée GR 6 allant de Sainte-Foy-la-Grande (Gironde) à Saint-Paul-sur-Ubaye (Alpes-de-Haute-Provence).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Thémines » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Thémines » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Thémines » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Thémines » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Latronquière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Thémines et Latronquière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Latronquière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Thémines et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    22. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Thémines », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « pech de Lavayssière et bord de l'Ouysse à Thémines » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    30. Le portail Patrimoine du Lot : Les marques du passé: Thémines des origines jusqu'à la Révolution
    31. « Les maires de Thémines », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    37. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Thémines - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
    40. Notice no PA00095276, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Le portail Patrimoine du Lot : Inventaire du patrimoine historique de Thémines
    42. Notice no PA00095275, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. La grotte de Roucadour, E. A. Martel, Les abîmes, chapitre XVIII p.342
    44. Le portail Patrimoine du Lot : La grotte ornée du paléolithique du Roucadour
    45. Notice no PA00095274, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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