Thieffrans
Thieffrans est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Thieffrans | |||||
Clocher de Thieffrans. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Montbozon et du Chanois | ||||
Maire Mandat |
Christian Morel 2020-2026 |
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Code postal | 70230 | ||||
Code commune | 70500 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Thieffranois, Thieffranoises | ||||
Population municipale |
167 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 30′ 05″ nord, 6° 19′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 247 m Max. 353 m |
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Superficie | 9,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Rioz | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Ses habitants se nomment les Thieffranois et les Thieffranoises.
Géographie
Description
Thieffrans est un village rural de Franche-Comté situé dans la Haute-Saône et limitrophe du département du Doubs, situé à 18 km à vol-d'oiseau au sud-est de Vesoul, 37 km au nord-est de Besançon et 37 km à l'ouest de Montbéliard.
La commune est traversée par la LGV Rhin-Rhône.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Thieffrans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].
Pont
En 1889 est lancée la reconstruction du pont qui enjambe l'Ognon (Franche-Comté). Les deux départements de la Haute-Saône et du Doubs (département) octroient un budget de 45000 francs pour les travaux[6]. Toutefois les travaux prennent du retard et sont mêmes interrompus à partir du mois d'octobre en raison des grands eaux conjuguées au mauvais temps. Des pétitionnaires réclament alors à ce qu'une passerelle en bois provisoire soit installée car les riverains sont contraints de faire de longs détours (7 à 8 km)[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,6 %), terres arables (35,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), prairies (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
En 1843, dans la presse locale, la commune est appelée Thieffrans-lès-Montbozon.
Histoire
- La terre de Thieffrans a appartenu durant les XVe et XVIe siècles à la famille seigneuriale Mouchet de Château-Rouilliaud puis passa au XVIIe sous la domination de la famille De Falletans.
- En 1712, les terres de Thieffrans, Busy et Fontenelle furent érigées en marquisat sous le nom de Falletans.
- Outre le moulin de la Rouchotte, la commune possédait une tuilerie et deux huileries. Exploitation d'une sablière. La broderie au crochet est une branche d'industrie qui a remplacé à Thieffrans la fabrication des chapeaux de paille.
Les Graviers
Quelques maisons composent ce hameau situé aux abords de l'Ognon (Franche-Comté).
Le moulin de la Rouchotte
Cette usine fut restaurée à neuf dans le courant de 1836[10]. Il se compose alors de six moulins à blé, deux ribes, une huilerie et une scierie ; de vastes bâtiments d'exploitation, logements, grangeries. De par sa position entre les deux considérables forges de Bonnal (Doubs) et Montagney-Servigney, à proximité de villages populeux et du marché à grains important de Rougemont, assure à cette usine une clientèle sans concurrence.
En 1838, Joseph Gauthier (maître de forges) le « Napoléon des forges », amodiateur du moulin, demande par une pétition, la permission d'établir un cylindre à étirer le fer avec deux fours à réverbères pour le chauffage des barreaux de fer destinés à l'étirage[11]. Les deux fours à réverbère furent prévus pour consommer annuellement huit à dix mille hectolitres de houille provenant des mines de Saint-Étienne et de Rive-de-Gier, pour obtenir annuellement, par l'étirage au cylindre, dix mille quintaux métriques de fer cylindré destiné à la fabrication du fil de fer.
Le 21 septembre 1840, le moulin est à vendre aux enchères. Il s'accompagne d'un terrain de 8 à 10 hectares. Il est alors amodié annuellement 4 500 francs à Joseph Gauthier (maître de forges).
En 1846, madame la marquise de Raincourt demande la permission d'établir un patouillet et un lavoir à bras sur l'Ognon (Franche-Comté), en aval de l'écluse du moulin de la Rouchotte. L'objectif étant de laver les eaux bourbeuses provenant du lavage de minerai pour alimenter son haut_fourneau de Fallon (Haute-Saône), soit 400 à 500 mètres cubes de minerai pisiforme provenant de Thieffrans ou Cognières.
En 1849 le moulin est mis à prix 28 000 francs par licitation. Il se compose alors de six moulins à blé, d'une huilerie, de deux ribes pour le chanvre, d'une scierie avec des ateliers de menuiserie, de maréchalerie, d'un beau logement de maître, d'un pavillon séparé pour bureau et logement de commis, de vastes grangeries, caves, huttes, remises et magasins de toutes pièces. A côté de l'usine se trouve un lavoir à minerai loué à M. Legrand, maître de forges à Fallon, moyennant le canon annuel de 300 francs. La mise à prix de 40 000 francs en 1847 n'avait pas trouvé preneur.
En 1851, le moulin est amodié 3 000 francs et mis en vente définitivement et sans remise[12].
En 1852, le moulin amodié à Jeannin fait l'objet d'une vente par expropriation forcée. Le 11 septembre 1852 Claude-Joseph Roy, ancien huissier de justice, remporte la vente pour 24 000 francs mais n'ayant satisfait aux conditions d'adjudication, le moulin est revendu à la folle-enchère sur la mise à prix de 10 000 francs.
La Perrière
Ferme.
La Grange-Rouge
Ferme.
Troubles en 1848
Le 26 mai 1848, à la suite de désaccords sur le partage des futaies, des membres du Conseil municipal de la commune sont outragés dans la salle des délibérations. Le 28 mai, une bande d'individus armés de haches parcourent les rues du village avec l'intention de se rendre en forêt pour procéder, de vive force, à la distribution des futaies par égales parts. Le tribunal correctionnel de Vesoul condamna François Roussel et Pierre Rouge à deux mois d'emprisonnement, Nicolas Morel et André Roussel à un mois chacun, Joseph Perron à dix jours de la même peine[13].
Enfanticide en 1865
Le 8 janvier 1865 un pêcheur découvre le cadavre d'un nouveau-né dans la rivière. L'enquête révèle vite que la mère est Virginie Maréchal, une fileuse de 18 ans originaire des Granges-Narboz[14].
Le 21 février suivant la mère passe devant la Cour d'Assises de la Haute-Saône. Elle avait accouché de son fils le 25 décembre 1864. D'après ses avoeux, son enfant était né vivant ; mais elle a prétendu qu'il était tombé sur le plancher pendant qu'elle s'empressait d'enlever du lit les draps tachés de sang. Après cette chute, toutefois, l'enfant donnait encore signe de vie ; alors elle l'aurait saisi par un bras, et lui aurait frappé la tête à plusieurs reprises contre le bois du lit.
L'autopsie a constaté que l'enfant était né à terme, qu'il était bien conforme, qu'il avait vécu, et que les os du crâne avaient été entièrement fracturés.
Après avoir donné la mort à son enfant, la fille Maréchal voulut faire disparaître les traces de son crime. Elle emprunta un cabas à sa maîtresse, elle plaça dans ce cabas le corps de son enfant, et elle se dirigea vers la rivière, où elle le jeta après l'avoir dépouillé des linges dont il était enveloppé. Cette fille était connue par de fâcheux antécédents ; sa conduite était des plus scandaleuses.
Accusée d'avoir volontairement donné la mort à son enfant, le jury a rendu un verdict affirmatif ; mais il a admis des circonstances atténuantes. Elle fut condamnée à vingt ans de travaux forcés.
Domaine seigneurial
En 1863, Charles Sublet d'Heudicourt Comte de Lénoncourt[15] vend son domaine sur la commune de Thieffrans composé de plus de 25 hectares de terres avec une vaste maison de ferme[16].
Courses hippiques
Des courses hippiques sont attestées dans le 2ème moitié du XIXe siècle sur un petit hippodrome et notamment en 1866.
Plusieurs prix étaient distribués parmi lesquels : le prix du canton, le prix du progrès, le prix des dames, le prix du Conseil général et le prix de l'Ognon.
Tuilerie
En 1879, la tuilerie et ses dépendances sont mises en vente[17].
Orage 1880
11 juin 1880 orage qui ravage les récoltes[18]. Vers 4 heures 1/2 de l'après-midi, de sourds grondements de tonnerre se faisant entendre au loin dans la direction sud et sud-ouest, se rapprochant très sensiblement et d'une manière inquiétante de Thieffrans. Les deux orages se rejoignirent pour former un ouragan d'une violence extrême en prenant la direction du sud au nord. Le tonnerre cessa instantanément et le vent qui, jusque là, ne se faisait sentir que modérément, arrivait sur le village même, par rafales impétueuses mêlées de grêlons, rompant et arrachant des arbres, enlevant toitures et cheminées, reversant les personnes ; les rues et les jardins encombrés de débris de toutes sortes.
Les dégâts dans la campagne furent encore plus sérieux ; les blés et les tiges de maïs et des pommes de terre furent rasées ; le coteau des vignes ne fut pas épargné, la récolte détruite.
Quelques accidents furent à déplorer, entre autres celui d'un pauvre journalier, déjà estropié et non encore rétabli d'une fracture à la cuisse, qui a été renversé si violemment sur la route en quittant son travail pour se garer de l'orage, qu'il a eu le genou démis, précisément à la jambe malade; les autres sont sans gravité.
Les communes de Montbozon, Maussans, Besnans, Bouhans-lès-Montbozon, Thiénans, Cognières, Chassey-lès-Montbozon furent également ravagées par la tempête.
Fièvre aphteuse 1913
Par arrêté préfectoral du 29 janvier 1913, est déclaré infecté de la fièvre aphteuse le territoire de la commune.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.
Thieffrans faisait partie depuis 1801 du canton de Montbozon[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Rioz.
Intercommunalité
Thieffrans est membre de la communauté de communes du Pays de Montbozon, créée le .
Dans le cadre de la mise en œuvre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé en par le préfet de Haute-Saône, et qui prévoit notamment la fusion la fusion des communautés de communes du Pays de Montbozon et du Chanois, afin de former une nouvelle structure regroupant 27 communes et environ 6 500 habitants[20], la commune est membre depuis le de la communauté de communes du Pays de Montbozon et du Chanois[21].
Liste des maires
Démographie
En 1614, le village est composé de 40 ménages. Après la terrible Guerre de Dix Ans (épisode comtois de la Guerre de Trente Ans) durant laquelle la moitié du pays est ravagée, le village n'est plus habité que de deux grangers[Quoi ?] au recensement de 1654. En 1657, le nouveau recensement dénombre 4 ménages (tous grangers), soit 18 personnes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2019, la commune comptait 167 habitants[Note 3], en diminution de 6,18 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Thieffrans est une commune sans église. Au centre du village, un clocher fonctionnel à base carrée a été accolé à la maison commune.
En 1843, la commune met en adjudication la fourniture d'une cloche et d'une horloge pour le clocher de la maison commune[29].
- Le monument aux morts de Thieffrans à l'entrée de Tressandans.
Personnalités liées à la commune
- Marcel Triboulet (1890-1939), international français de football né à Thieffrans le
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- François Lassus (dir.), La population de la Franche-Comté au lendemain de la guerre de Dix Ans. : Population de Franche-Comté au lendemain de la guerre de Trente Ans - Recensements nominatifs de 1654, 1657, 1666, vol. IV : Bailliages de Vesoul et de Gray, Besançon, Institut d'études comtoises et jurassiennes / Presses universitaires de Franche-Comté, coll. « Annales LITTERA », , 512 p. (ISBN 978-2-251-60586-9).
- La Haute-Saône : nouveau dictionnaire des Communes, Vesoul, S.A.L.S.A., 6 vol., 1969-1974 [Renouvelle la publication de Louis Suchaux].
Liens externes
- Tourisme à Thieffrans: lien vers le site de l'Office de Tourisme au Pays des 7 Rivières: www.tourisme7rivieres.fr
- « Dossier complet : Commune de Thieffrans (70500) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Thieffrans », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Thieffrans » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Archives Départementales de la Haute-Saône - Journal_Haute-Saone 1889 trimestre 2 - https://archives.haute-saone.fr/ark:/77977/vta5516dd5c4e6c0c6f/daogrp/0/idsearch:RECH_5312b044282645998cf4a6307aeb03eb/ctx:1?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2251.000,-3136.000&zoom=5&rotation=0.000&lock=true#id:428467303?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=3762.829,-2291.489&zoom=12&rotation=0.000&lock=true
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives Départementales de la Haute-Saône 1PJ2 - Journal_Haute-Saone 1836 trimestre 4 - 1836 https://archives.haute-saone.fr/ark:/77977/vtab353935e6e036652/daogrp/0/idsearch:RECH_5312b044282645998cf4a6307aeb03eb/ctx:1?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1615.000,-2290.000&zoom=5&rotation=0.000&lock=true#id:436888029?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1880.211,-1485.514&zoom=10&rotation=0.000&lock=true
- Archives Départementales de la Haute-Saône 1PJ2 - Journal_Haute-Saone 1838 trimestre 3 https://archives.haute-saone.fr/ark:/77977/vta940fd6da62e6ccac/daogrp/0/idsearch:RECH_5312b044282645998cf4a6307aeb03eb/ctx:1?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1629.000,-2250.000&zoom=6&rotation=0.000&lock=true#id:1203043171?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=910.115,-1065.366&zoom=10&rotation=0.000&lock=true
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- https://gw.geneanet.org/frebault?lang=fr&pz=henri&nz=frebault&p=charles+alexandre+gaspard&n=sublet+d+heudicourt+de+lenoncourt
- Archives Départementales de la Haute-Saône - Journal_Haute-Saone 1863 trimestre 1 https://archives.haute-saone.fr/ark:/77977/vta561af6b66e79594f/daogrp/0/idsearch:RECH_5312b044282645998cf4a6307aeb03eb/ctx:1?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1786.000,-2497.000&zoom=5&rotation=0.000&lock=true#id:1184846790?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1913.695,-2290.793&zoom=11&rotation=0.000&lock=true
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- Archives départementales de la Haute-Saône - Journal_Haute-Saone 1880 trimestre 2 https://archives.haute-saone.fr/ark:/77977/vta1b5a44ef9c0082b3/daogrp/0/idsearch:RECH_5312b044282645998cf4a6307aeb03eb/ctx:1?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2335.000,-3187.000&zoom=5&rotation=0.000&lock=true#id:1632736625?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2886.864,-2503.501&zoom=10&rotation=0.000&lock=true
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 3.
- « Présentation de la CCPMC », Communauté de communes du Pays de Montbozon et du Chanois (consulté le ).
- « Les maires de Thieffrans », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
- « Extrait de la fiche de M. Jean-François Mouillet », sur http://www.lesbiographies.com, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Journal_Haute-Saone 1843 trimestre 3 https://archives.haute-saone.fr/ark:/77977/vta61cf6e536a1937e9/daogrp/0/idsearch:RECH_5312b044282645998cf4a6307aeb03eb/ctx:1#id:343888502?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2442.446,-886.198&zoom=10&rotation=0.000&lock=true
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