Tigeaux

Tigeaux est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Tigeaux

Le puits Saint-Leu.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité CA Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Francis Poisson
2020-2026
Code postal 77163
Code commune 77466
Démographie
Gentilé Tigéens
Population
municipale
381 hab. (2019 )
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 39″ nord, 2° 54′ 04″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 130 m
Superficie 6,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Serris
Législatives 4e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
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Tigeaux
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Tigeaux
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Tigeaux
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Tigeaux
Liens
Site web tigeaux.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Tigeaux dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune est située à environ 4 kilomètres au sud de Crécy-la-Chapelle[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont : Dammartin-sur-Tigeaux, Guérard, Crécy-la-Chapelle, Voulangis et Villeneuve-le-Comte.

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 50 mètres à 130 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 68 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Tigeaux.
    Le Grand Morin, à hauteur du pont de Rezy

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[3], affluent en rive gauche de la Marne ;
      • le ru de Binel, 2,97 km[4], affluent du Grand Morin ;
      • le ru du Cul d'eau, 1,56 km[5], au point de confluence rive gauche : km 103.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,96 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,3 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 725 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,8 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,5 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Tigeaux comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16],[Carte 2], la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Tigeaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,1% ), terres arables (42,5% ), zones urbanisées (4,4 %)[23].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Pays créçois, approuvé le [26].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[27].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 187 dont 97,3 % de maisons et 2,2 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 84,4 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 1,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89,9 % contre 6,9 % de locataires et 3,1 % logés gratuitement[28].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les lignes 2, 8, 31 et 38 du réseau de bus Brie et 2 Morin.

    Le sentier de grande randonnée GR1 passe sur le territoire de la commune et se prolonge vers Crécy-la-Chapelle au nord et Guérard à l'est.

    Toponymie

    Mentionné au XIVe siècle, Tigiaut[29] (autres graphies : Tigeault, Tigeaut, Tijost)[30].

    Le nom du village vient probablement de tigellæ, « Les tiges dans l'eau », qui étaient des tiges de lin immergées dans le Grand Morin que le courant rouissait et durcissait pour faciliter la séparation de l'écorce filamenteuse avec la tige[31].

    Histoire

    L'église était à la collation de l'évêque de Meaux[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans le département de Seine-et-Marne.

    Initialement rattachée à l'arrondissement de Coulommiers, elle intègre en 1926 celui de Melun[32], puis en 2006 l'arrondissement de Provins[33]. Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[34].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la quatrième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rozay-en-Brie[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Serris.

    Intercommunalité

    La commune a adhéré en 1993 au district rural de Crécy-la-Chapelle-Vallée du Grand Morin, qui s'est transformé en 1994 pour devenir la communauté de communes du Pays Créçois, dont la commune est toujours membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2005[36] Alain Le Stang   Démissionnaire
    décembre 2005 mai 2020 Danielle Poirson    
    mai 2020[37] En cours
    (au août 2020)
    Francis Poisson    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38],[39].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Tigeaux ne dispose pas d'assainissement collectif[40],[41].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[42]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB)La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40],[43].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [40],[44],[45].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[46].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].

    En 2019, la commune comptait 381 habitants[Note 6], en augmentation de 0,79 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    191250216257279258251262283
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    288270273248220185204177187
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    209215185165154155158212136
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    111115140214343366373375378
    2018 2019 - - - - - - -
    383381-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 158, représentant 385 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 580 euros[50].

    Emploi

    En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 31, occupant 191 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,8 % contre un taux de chômage de 7,1 %. Les 18,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,5 % de retraités ou préretraités et 5,5 % pour les autres inactifs[51].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 26 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 6 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 9 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale[52].

    En 2020, 6 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 5 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[53].

    Agriculture

    Tigeaux est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[54].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[55]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 89 ha en 1988 à 229 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Tigeaux, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Tigeaux entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[54],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 3 2 1
    Travail (UTA) 6 3 1
    Surface agricole utilisée (ha) 267 174 229
    Cultures[56]
    Terres labourables (ha) 253 s s
    Céréales (ha) s s s
    dont blé tendre (ha) s s s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[54]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 28 56 2

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

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    • Église Saint-Leu.
    • Lavoir construit en 1904, il est alimenté par l'eau du ru du Cul d'Eau.
    • Moulin.
    • Port de Tigeaux.
    • Ferme de Rézy : ancienne ferme fortifiée de style briard. De plan carré, elle possède une grande cour centrale sur laquelle donnent toutes les ouvertures des bâtiments.
    • Monument aux morts de Jean Magrou, inauguré en  : simple colonne lisse à chapiteau à volutes surmonté d'un coq gaulois dressé au-dessus d'une couronne mortuaire. Le modèle de cette sculpture connut une large diffusion.
    • Rue du Grand Morin, bel alignement de maisons anciennes comportant des inscriptions.
    • Puits Saint-Leu : chaque premier dimanche de septembre, une procession a lieu sur la place du village pour célébrer les vertus supposées miraculeuses de l'eau de ce puits qui guérirait les maladies des yeux et la peur. Ce puits aurait été découvert par saint Leu, évêque de Sens.

    Tigeaux dans les arts

    Tigeaux a servi de lieu de tournage à Adieu Berthe de Bruno Podalydès en 2012. Plusieurs passages de l'ultime saison - et notamment du dernier épisode - de la série Engrenages ont été tournés dans une maison du village en 2019[57].

    Héraldique

    Blason
    De gueules à une ancre d'or, au chef de même chargé d'un loup de sable accolé de deux croix latines fleurdelysées de même.
    Ornements extérieurs
    Timbré d'une couronne d'or et soutenu à dextre d'une gerbe de blé de même et à senestre de branches de chêne de sinople englantées aussi d'or, liées en pointe en sautoir[58].
    Devise
    L'Espérance !
    Détails
    Les croix et le loup sont une référence à l'évêque saint Leu, au VIIe siècle.
    Figure sur le site de la mairie[59].

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Tigeaux » sur Géoportail (consulté le 31 août 2018)..
    2. « Zones ZNIEFF de Tigeaux » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Tigeaux - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Tigeaux » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 15 juillet 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Grand Morin (F65-0400) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Binel (F6582000) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Cul Deau (F6582500) » (consulté le ).
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 31 août 2018
    7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    8. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    9. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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