Titus (empereur romain)
Titus (en latin : Imperator Titus Caesar Vespasianus Augustus) ( – ), appartenant à la dynastie des Flaviens, est un empereur romain, qui régna de 79 à 81. Il est resté célèbre pour la prise de Jérusalem, en 70. Pour commémorer cette victoire, son frère Domitien, devenu empereur à sa mort, fera ériger l'arc de Titus, lequel est toujours en bon état de conservation.
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Titus | |
Empereur romain | |
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Statue en marbre de Titus, Musée Chiaramonti. | |
Règne | |
– (2 ans, 2 mois et 20 jours) |
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Période | Flaviens |
Précédé par | Vespasien |
Suivi de | Domitien |
Biographie | |
Nom de naissance | Titus Flavius Vespasianus |
Naissance | – Rome |
Décès | (41 ans) – Rome |
Père | Vespasien |
Mère | Domitilla l'Aînée |
Fratrie | Domitien, Domitilla la Jeune |
Épouse | (1) Arrecina Tertulla (62-63) (2) Marcia Furnilla (63-65) |
Descendance | Julia Titi (de Marcia Furnilla) |
Biographie
Famille et enfance
Né à Aquæ Cutiliæ en Sabine ou à Rome selon l'historien Suétone, il est le fils de Vespasien. Il descend d'une famille de notables municipaux : son grand-père faisait partie de l’ordre équestre dans la région de Rieti. C’est après la naissance de Titus que les Flaviens prennent une place notable dans le cercle impérial grâce à l’avènement de l’empereur Claude, qui permit leur protection par l’affranchi Narcisse. Titus est ainsi élevé dans la cour impériale aux côtés du fils de Claude, Britannicus[1],[2], dont il est probablement l'un des rares camarades[3]. Il bénéficie d’une éducation raffinée dans un milieu de luxe, apprenant les lettres grecques et latines enseignées par son précepteur Sosibius. Appliqué dans ses études, il jouit d'une excellente mémoire, élabore facilement des discours et même des vers en latin comme en grec. Il joue correctement de la lyre et chante agréablement[4].
Après la mort de Britannicus, il fait partie des jeunes adolescents qui font des frasques et se livrent au plaisir de la chair dans le sillage de Néron[5].
L'auxiliaire de son père
Il montre très tôt des capacités militaires supérieures à la moyenne[4]. Sa carrière politique et militaire connaîssent une impulsion simultanée et une évolution parallèle à celle de son père.
Le rôle politique du jeune homme commence en 56 ou 57 (c'est-à-dire à dix-sept ou dix-huit ans) quand il devient tribun militaire d’abord en Germanie, où il rencontre certainement Pline l'Ancien et sympathise avec lui (le savant évoque le jeune militaire dans la préface de son Histoire naturelle)[5], puis en Bretagne.
Au milieu des années 60, il rentre à Rome et se marie avec Arrecina Tertulla, fille d'un ancien préfet du prétoire. Cela lui permet à la fois de tisser des liens avec les officiers de Rome et, grâce à la richesse de sa belle-famille, de compenser la précarité de la sienne[6]. Mais son épouse décède prématurément et Titus se remarie avec Marcia Furnilla, d'une famille prestigieuse et dont il a une fille. Il est vraisembable qu'il a divorcé de celle-ci lors des purges menées par Néron en réaction à la conjuration de Pison[6].
Son ascension ne commence véritablement qu'en 67, deux ans avant le couronnement de son père. À cette date, il devient légat de la Legio XV Apollinaris en Judée sous le commandement de son père, pour réprimer l’insurrection, marquée par la première guerre judéo-romaine[1]. Au moment de l'intervention militaire, qui est exceptionnelle étant donné qu’il n’a pas encore exercé sa préture, il est très jeune ; il n’a alors que vingt-huit ans. Il agit avec une discipline identique à celle de son père pour mater les cités révoltées qui tombent les unes après les autres[6]. Son éducation militaire et diplomatique lui est également utile.
Suétone affirme que Titus est un véritable « soutien de l’empereur ». En effet, au cours de l’année 68, le jeune homme est engagé par son père dans des démarches diplomatiques[7]. Ayant appris l’avènement de Galba, Vespasien envoie Titus à Rome pour qu’il fasse allégeance au nouvel empereur, mais les conditions de navigation hivernale le retarde. Il apprend qu’Othon a succédé à ce dernier, que Vitellius lui dispute le pouvoir et il préfère retourner en Orient[8].
Titus est chargé d’apaiser les rivalités entre son père et Mucien qui a rejoint la province de Syrie. C’est un rôle fondamental qu’il exerce afin de permettre à son père d’accéder au pouvoir en menant une action commune avec Mucien. En février ou mars 69, Titus remet à profit ses talents d’homme d’État, indéniables et prometteurs, en apportant des nouvelles fraîches sur l’état d’esprit des armées et des provinces à son père et en le convainquant de prétendre à l’empire. Jusqu’en juillet 69 où Vespasien est proclamé empereur, Titus mène des tractations diplomatiques qui rallient à la cause de Vespasien des responsables romains de Syrie et d’Égypte. Après le ralliement de tout l’Orient en juillet, il devient responsable en chef de la guerre de Judée.
En 70, il dirige les légions romaines et reconquiert la ville de Jérusalem après un long siège dont le détail est rapporté par Flavius Josèphe. Au cours des combats de rue, la ville est détruite et le second Temple de Jérusalem, connu également sous le nom de temple d'Hérode, est incendié[1]. En septembre 70, il est acclamé imperator par ses troupes. Cette victoire lui a fait gagner ses lettres de noblesse auprès de l’armée et l’admiration de bien des Romains. Son succès est tel que l’on commence à murmurer qu’il aurait un amour passionné avec Bérénice, princesse de Judée, qu’il envisagerait de disputer l’empire à son père ou qu’il voudrait devenir roi d’Orient[9].
Quittant la Judée, il fait une halte à Alexandrie, où il participe à une cérémonie en l’honneur d’Apis au cours de laquelle il se coiffe de la couronne du taureau sacré. Mais, soucieux de ne pas fâcher son père, il hâte son retour vers Rome[9].
L’héritier
Lorsqu'il revient à Rome retrouver son père, il lui renouvelle publiquement sa fidélité[9]. Titus célèbre sa victoire de Judée par la célébration d'un triomphe dans Rome. Il distribue de l’argent au peuple en son nom et celui de son père. L’arc commémoratif érigé par Domitien (arc de triomphe de Titus) représente son char tiré par un quadrige. Il représente aussi le cortège avec le butin pillé au second Temple de Jérusalem, dont le chandelier à sept branches, la table des pains de proposition et les trompettes sacrées.
Titus joue désormais le rôle de vice-empereur car il devient, selon Suétone, « partie prenante du pouvoir et même tuteur de l’empire ». Vespasien manifeste la volonté d’associer son fils à l’empire comme Auguste l'avait fait avec Tibère. En 69, il a été nommé avec son frère prince de la jeunesse.
Associé au gouvernement de Vespasien, il acquiert la puissance tribunicienne et l'imperium proconsulaire. En 73-74, il est censeur, c'est-à-dire qu’il est chargé de faire recenser les citoyens et de dresser la liste des sénateurs[1].
Il exerce également sept consulats en 70, 72, 74, 75, 76, 77 et 79. Il peut juger les chevaliers et sénateurs coupables d’infractions politiques et de fautes professionnelles.
Titus remplace son père lors de l’écriture de courriers officiels ou de la lecture des actes officiels devant le sénat. Il assume ainsi directement la gestion des affaires.
En 72, il est nommé préfet du prétoire, alors que la charge est d'ordinaire attribuée à un chevalier. Le préfet du prétoire est le chef de la garde impériale. Il appartient à l'ordre équestre et représente l’empereur quand il est absent. Titus n'est pas chevalier, c’est donc une nomination hors du commun. Une face cachée de son caractère apparaît alors : pour abattre les hommes dont il soupçonne les visées ambitieuses, il organise des services secrets redoutables chargés de faire courir des rumeurs désobligeantes sur les hommes menaçants à ses yeux. Encouragé par le peuple qui réclame ouvertement leur exécution, Titus feint de lui obéir et liquide sans problèmes ses ennemis[réf. nécessaire].
Aulus Cæcina a été l'une des victimes de cette méthode. Il avait trahi en 69 Vitellius pour rejoindre les armées flaviennes. Aux yeux de Titus, cet homme est dangereux. Après avoir découvert en 79 le texte de harangue que celui-ci comptait prononcer devant les soldats après son assassinat, il le fait tuer au sortir d'un banquet[10]. Ces actions favorisent la mauvaise réputation de Titus au sénat et sèment la peur.
Il monte sur le trône en 79 à la mort de son père. Depuis le coup d'État légal d'Auguste, c'est la première fois qu'une succession dynastique, de père en fils a lieu[11].
Un prince à la mauvaise réputation
Avant son avènement comme empereur, Titus manifestait de l'intempérance et un autoritarisme qui laissaient mal augurer du comportement du futur empereur[10].
Son éducation à la cour impériale a donné au jeune homme un goût très vif pour toutes les formes de plaisir et de libertinage. C’est un libertin à l’image de Néron qui entretient un certain goût pour les jeunes garçons[10]. Il a une tendance à la débauche. Le peuple romain l’assimile également à Néron car il aimait le monde du spectacle en comblant de largesses les chanteurs et comédiens qui constituaient son entourage. Pendant le règne de son père, il monnayait les jugements et essayait de tirer un profit douteux des affaires dont il avait la charge, tout cela afin de vivre dans le luxe et de donner des fêtes somptueuses et dispendieuses[réf. nécessaire].
Des rumeurs évoquent son « amour fameux pour la reine Bérénice ». Bérénice est l’arrière-petite-fille d’Hérode le Grand et fille d’Hérode Agrippa Ier. Elle appartient à la famille royale qui a gouverné en Judée au Ier siècle avant notre ère. C’est en 67 lors de la campagne de Vespasien en Galilée qu’elle rencontre Titus alors qu’elle cherche à manœuvrer afin d’aider son frère Hérode Agrippa II à obtenir un rapprochement politique avec les Romains. Elle est d’une grande beauté et ses actions politiques impressionnent Titus qui tombe sous le charme de la reine juive. Dès l’avènement impérial de Vespasien, leur liaison est officielle[réf. nécessaire]. Mais devant la désapprobation du peuple romain, Bérénice reste en Judée lors du retour de Titus à Rome. Cependant, en 75, Bérénice vient à Rome avec son frère, ce qui renouvelle les critiques concernant une possible influence orientale néfaste. Pour les historiens modernes, si Bérénice est reçue avec les égards dus à son rang, elle demeure une étrangère et il est difficile de savoir si les deux souverains se sont aimés. Suétone affirme que Titus dut la renvoyer chez elle, « malgré elle et malgré lui », mais les Flaviens savaient parfaitement qu’une telle union aurait porté un coup fatal à leurs efforts pour consolider leur dynastie[12].
Mais, la mort de Vespasien le change radicalement sa personnalité et la perception qu'a de lui le peuple romain. Pendant son court règne de deux ans, Titus se montre un prince idéal aussi bien dans ses méthodes de gouvernement qu’auprès de ses sujets.
Succession
Il est probablement profondément marqué par la mort de son père car du jour au lendemain ses défauts s’effacent devant « les plus rares vertus ». Peut-être a-t-il saisi l’importance de la dynastie flavienne.
Dès lors il se sépare de ses favoris, s’interdit d’assister aux représentations et renonce aux plaisirs. Il choisit ses conseillers parmi les hommes les plus respectables de Rome. Il délaisse ses nuits d’orgie pour des repas officiels visant plus l’agrément des convives que l’étalage du luxe.
Cette simplicité affichée, œuvre de la traditionnelle imitatio Augusti chez les empereurs (imitation de l'empereur Auguste), n'empêche pas Titus d'organiser de grandes naumachies, spectacles rares et coûteux[13], et d'inaugurer en grande pompe en l'an 80, le plus grand site de jeux de l'Antiquité, l'amphithéâtre flavien, plus connu sous le nom de Colisée. Des milliers de bêtes sont sacrifiées pendant les jeux inauguraux.
Éruption du Vésuve et incendie de Rome
Ce changement radical de comportement est concomitant avec une série de catastrophes qui vont, en deux ans, mettre en relief le caractère de l’empereur.
L’éruption du Vésuve le ensevelit Pompéi et Herculanum sous les cendres. Des milliers de personnes dont Pline l'Ancien, ami de Titus, trouvèrent la mort[11]. L’empereur confia alors le soin à deux consuls de superviser les secours aux sinistrés et fit verser aux rescapés des subventions. Il leur octroya les biens de ceux qui périrent sans laisser d’héritier, à la différence de ses prédécesseurs : ceux-ci, dans des circonstances semblables, s’étaient approprié les biens des victimes. Il se rend ensuite sur les lieux du drame et, par piété, fait exhumer des couches de cendres quelques statues de dieux[14].
Lors d’une épidémie de peste, qui causa la mort de milliers de personnes, Titus intervient en personne pour secourir la population. Il fit parvenir les secours et vint sur place réconforter les rescapés « apportant la sollicitude d’un empereur et la tendresse d’un père ». Titus n’accepta pas de faire de procès criminel.
La conjonction entre ces événements dramatiques et l’attention, généreuse et dévouée, prodiguée par Titus aux personnes éprouvées, explique la faveur sans égale dont il a bénéficié. La tradition lui prête ce mot : « Diem perdidi » (j'ai perdu ma journée), prononcé lorsqu'il terminait une journée sans avoir apporté un bienfait particulier.
Outre l'éruption du Vésuve, le règne de Titus est aussi marqué par un grave incendie de Rome en 80, comparable en ampleur à celui intervenu sous Néron en 64.
Une fin prématurée
Alors que Titus gagne rapidement en popularité, son frère cadet Domitien le déteste hautement. Ne possédant ni son charisme, ni la gloire que Titus a gagné au combat, Domitien colporte des rumeurs, s'essaie à des complots, achète des soldats. Titus refuse néanmoins de l'exiler ou seulement de l'écarter de la cour, essayant vainement de se concilier celui qu'il proclame ouvertement comme son héritier[15].
Il meurt le , à peine deux ans après son intronisation. Les causes de sa mort sont inconnues, les sources antiques divergeant sur le sujet. Suétone parle d'une fièvre[16]. Philostrate avançait l'idée d'un empoisonnement[17]. Cassius Dion présente les deux hypothèses, attribuant, dans un cas comme dans l'autre, la responsabilité à Domitien, soit qu'il ait directement empoisonné Titus, soit qu'il l'ait laissé mourir sans soin approprié[18]. Le Talmud (Bereshit Rabba 10 et Gittin 56b) fait de sa mort une punition divine exécutée par un insecte ayant pénétré dans son nez[19]. Ses énigmatiques derniers mots sont « Je n'ai commis qu'une seule erreur ». Ils font toujours aujourd'hui l'objet de spéculations de la part des historiens.
Un deuil unanime accueille sa disparition, les sénateurs se réunissent pour lui rendre hommage. Le titre de « délices du genre humain » lui est décerné[13] et lui est resté attaché. Ce souvenir a définitivement effacé dans la mémoire collective le premier Titus, capable de débauches, de cruautés et d'arbitraire despotique. La postérité retiendra surtout le Titus mûri et métamorphosé par sa fonction. Son court règne est l'un des plus heureux de la seconde moitié du premier siècle[20].
Remplacé par Domitien, il est déifié par le Sénat romain à la demande du nouvel empereur[20].
Famille
Titus eut une fille, Julia Titi ou Julia Flavia, de son épouse Marcia Furnilla[21].
Noms et titres
Noms successifs
Titres et magistratures
Postérité
Littérature
- Tite et Bérénice, pièce de Pierre Corneille (1670).
- Bérénice, pièce de Jean Racine (1670).
- Bérénice, pièce de Robert Brasillach (1954).
- Les Mystères romains, série littéraire de Caroline Lawrence pour la jeunesse.
- Titus- Le martyre des juifs, Tome III de la série « Les Romains » de Max Gallo, Éditions Fayard, 2006.
Musique
- La clemenza di Tito, opéra de Gluck sur un livret de Pietro Metastasio, créé à Naples le 4 novembre 1752.
- La Clémence de Titus, opéra de Mozart (1791) sur un livret de Caterino Mazzolà. Se réfère à un épisode de son règne narré par Suétone.
Peinture
- La Destruction de Jérusalem par Wilhelm von Kaulbach (1846). Huile sur toile, 585 × 705 cm. Neue Pinakothek, Munich. Une peinture de la destruction de Jérusalem dramatiquement autour du personnage de Titus.
- La Destruction du Temple de Jérusalem par Nicolas Poussin (1637). Huile sur toile, 147 × 198,5 cm. Kunsthistorisches Museum, Vienne. Dépeint la destruction et le pillage du deuxième temple par l'armée romaine dirigée par Titus.
- La destruction du temple de Jérusalem par Francesco Hayez (1867). Huile sur toile, 183 × 252 cm. Galleria d'Arte Moderna, Venise.
- Le Siège et la destruction de Jérusalem par les romains sous le commandement de Titus en 70. par David Roberts (1850). Huile sur toile, 136 × 197 cm. Collection privée. Incendie et pillage du temple de Jérusalem.
- Le Triomphe de Titus et Vespasien par Giulio Romano (1540). Huile sur bois, 170 × 120 cm. Musée du Louvre, Paris. Titus et Vespasien traversant Rome sur un char de triomphe, précédés par une parade exhibant le butin ramené de Jérusalem. La peinture présente un anachronisme, la présence de l'arc de Titus, qui n'a été achevé que sous le règne de Domitien.
- Le Triomphe de Titus par Lawrence Alma-Tadema (1885). Huile sur toile. Collection privée. Procession triomphale de Titus et de sa famille. Alma Tameda était connu pour ses reconstitutions historiques méticuleuses[22]. Vespasien, habillé en Pontifex Maximus, marche en tête de sa famille, suivi par Domitien et sa première femme Domitia Longina, qu'il avait récemment épousé. Titus suit Vespasien en habits religieux. Un échange de regards entre Titus et Domitia suggère une relation sur laquelle les historiens ont spéculé[23],[24].
Notes et références
- Zosso et Zingg 1995, p. 37.
- « Suétone, Vie de Titus », sur bcs.fltr.ucl.ac.be (consulté le ).
- Girod 2019, p. 324.
- Girod 2019, p. 325.
- Girod 2019, p. 327.
- Girod 2019, p. 328.
- Tacite, Histoires, II, 1 .
- Girod 2019, p. 329.
- Girod 2019, p. 331.
- Girod 2019, p. 332.
- « Empereurs romains – Titus (T. flavius sabinus vespasianus) », sur www.empereurs-romains.net (consulté le ).
- Girod 2019, p. 332-333.
- Girod 2019, p. 333.
- Girod 2019, p. 334-335.
- Girod 2019, p. 336.
- Suet., Tit., XI
- Phil., Apol., VI, 32.
- Cass., 66, 26
- Lévi Israël, "La mort de Titus", Revue des études juives, 15-29, juillet-septembre 1887. p. 62-69 Lire en ligne sur Persée.
- Girod 2019, p. 337.
- Suétone, Vie des douze Césars, Livre VIII, Titus, IV.
- (en) Elizabeth Prettejohn, « Lawrence Alma-Tadema and the Modern City of Ancient Rome », The Art Bulletin, vol. 84, no 1, , p. 115-129 (DOI 10.2307/3177255, lire en ligne, consulté le ).
- Suétone, Vie des Douze Césars.
- Dion Cassius, Histoire romaine, LXVI, 26.
Bibliographie
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- (en) Brian W. Jones, The Emperor Titus, Londres, New York et Sydney, Croom Helm, (ISBN 978-0-7099-1430-3), p. 227.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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