Vespasien
Vespasien (latin : Imperator Caesar Vespasianus Augustus[1]) est né le près de Reate (aujourd'hui Rieti) et mort le à Aquae Cutiliae. Il est le fondateur de la dynastie des Flaviens qui règnent sur l'Empire romain de 69 à 96. Ses fils Titus, puis Domitien lui succèdent après sa mort.
Pour les articles homonymes, voir Vespasien (homonymie).
Vespasien | |
Empereur romain | |
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Buste de Vespasien, Musée archéologique national de Naples. | |
Règne | |
Usurpateur puis légitime – (9 ans, 6 mois et 1 jour) |
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Période | Flaviens |
Précédé par | Vitellius |
Suivi de | Titus |
Biographie | |
Nom de naissance | Titus Flavius Vespasianus |
Naissance | près de Reate (Italie) |
Décès | (à 69 ans) - Rome |
Père | Titus Flavius Sabinus |
Mère | Vespasia Polla |
Fratrie | Titus Flavius Sabinus |
Épouse | (1) Domitilla l'Aînée (~38 - av.69) (2) Caenis (av. 69 - 74) |
Descendance | (1) Titus (de Domitilla) (2) Domitien (de Domitilla) (3) Domitilla la Jeune (de Domitilla) |
Biographie
Origines plébéiennes
Vespasien nait le [2], près de Reate. Il a des origines plébéiennes. Son grand-père Titus Flavius Petro, citoyen du municipe de Réate, avait été centurion ou soldat d’élite du parti de Pompée, pendant la guerre civile; puis exerça la charge de receveur des enchères. Son père, surnommé Sabinus, fait une courte carrière militaire. Il est nommé percepteur en Asie et fait rentrer l’impôt du quarantième. Sa probité y est appréciée[3]. Il meurt en laissant une veuve, et deux enfants. Son épouse Polla provient d’une ancienne famille de la petite noblesse campanienne. Son père, Vespasius Pollion, avait été trois fois tribun militaire et préfet du camp. Son frère était sénateur de rang prétorien[4].
L’aîné des deux enfants, Sabinus, s’éleva jusqu’à la préfecture de Rome. Vespasien est le troisième enfant du couple[3]
Enfance et premiers offices
Suétone rapporte que Vespasien fut élevé chez son aïeule paternelle, Tertulla, dans ses domaines de Cosa[4] Par la suite, la mémoire de son aïeule lui sera si chère, que dans les fêtes et les solennités, il continua de boire dans sa petite coupe d’argent.
Après avoir pris la toge virile, il commence sa carrière dans un cursus militaire. Il semble qu’il ne commença à briguer le laticlave que sous la pression et les railleries de sa mère. Il servit en Thrace en qualité de tribun des soldats. Pendant sa questure, il obtint par le sort la province de Crète et Cyrénaïque. Candidat pour l’édilité et ensuite pour la préture, il n’obtint la première qu’après avoir essuyé des refus, et seulement en sixième ordre, tandis qu’il arriva à la seconde de prime abord et des premiers. Il est vraisemblable qu’il put fréquenter le palais impérial grâce à une de ses conquêtes, Cénis, la secrétaire particulière d’Antonia, à laquelle il restera attaché sa vie durant. Il a pu ainsi entrer dans les bonnes grâces des empereurs successifs[5].
Dans sa préture, il fit tout pour s’attirer les faveurs de Caligula qui alors était irrité contre le sénat. Il demanda des jeux extraordinaires pour célébrer la victoire de l’empereur en Germanie, et fut d’avis de refuser la sépulture à ceux qui seraient condamnés pour crime de conspiration. Également, dans l’espoir de lui plaire, il réclame un alourdissement de la peine d’Agrippine la Jeune et de Julia Livilla après la découverte de leur complot[6].
Sous le règne de Claude, par l'entremise de Narcisse, il est envoyé en Germanie comme légat de légion, un poste prestigieux[4]. Il participe, avec Aulus Plautius, à l'offensive romaine qui devait conduire à la conquête de la Bretagne[7], au sud de l'actuelle Grande-Bretagne. Il y demeure quatre ans et remporte de nombreuses victoires contre les barbares. A son retour en 47, sa gloire est telle qu’il bénéficie d’un triomphe, privilège de plus en plus rare pour les militaires n’appartenant pas à la famille impériale[8].
Son succès en tant que légat de la légion lui vaut en 51 après Jésus-Christ une nomination de consul, puis de proconsul[4] de la part de l'empereur Claude. Mais la présence d’Agrippine au pouvoir le réduit à l'inaction. Il épouse une parente de Réate, Flavia Domitilla, dont il aura trois enfants. Son épouse et sa fille mourront avant 69 sans que les dates précises soient connues. Il s’efforce de donner une éducation soignée à son fils Titus et parvient à placer celui-ci, avec l’aide de Cénis, dans l’entourage du prince Britannicus[9].
L’Afrique lui est échue par le sort. Il la gouverne, selon Suétone (Vesp. 4), avec une parfaite intégrité[4] et y obtient une haute considération, mais selon Tacite (ii.97), son règne était « infâme et odieux ». Il fut convaincu d’avoir extorqué deux cent mille sesterces à un jeune homme pour lequel il avait obtenu le laticlave, et essuya de graves reproches pour ce crime de prévarication. Son crédit politique en pâtit, il revint appauvri à Rome. Pour faire face à ses difficultés financières, il hypothéqua ses biens à son frère et se lança dans l'élevage et le commerce de mules, qui lui permit de relancer sa fortune, qui lui valut le surnom de mulio, ou muletier[4].
Il accompagna Néron en Grèce, mais Vespasien, appréciant peu les arts et les artistes, tomba en disgrâce pour s'être « endormi pendant que ce prince chantait »[4]. Exclu, non seulement de la cour, mais encore des réceptions publiques et craignant pour sa vie, il se retira dans un village jusqu'en 67. Cette année là, il fut nommé à la tête d'une province et un commandement militaire, dont personne ne voulait[10]. Les Juifs se révoltèrent contre une fiscalité trop lourde et, ce faisant contre l’occupation romaine[11].
Vespasien devint légat de Judée. Aussitôt arrivé dans la région, il retissa des liens diplomatiques avec tous les rois vassaux de la région dont la reine Bérénice, rétablit la discipline militaire et donna à son fils Titus, la fonction de légat de la XVe légion Apollinaris[12]. Il mata la révolte juive qui avait débuté en 66. Suétone fait état des croyances messianiques en vigueur à cette époque, qui attribuaient à un futur empereur « venu de Judée », un rôle de Maître du Monde[13]. C’est en Judée que Vespasien, ou son fils Titus, fit la connaissance de Flavius Josèphe qui aurait prédit le prochain avènement de Vespasien au pouvoir impérial[4].
Accession au pouvoir impérial
À la mort de Néron, une guerre civile commence, appelée l’Année des quatre empereurs. Le désordre règne, les légions d’Espagne soutiennent Galba, le prétoire a couronné Othon et l’armée de Germanie a élevé Vitellius[4]. Vespasien envoie Titus à Rome pour qu’il fasse allégeance à Galba, mais les conditions de navigation hivernale le retardent. Il apprend qu’Othon a succédé à ce dernier, que Vitellius lui dispute le pouvoir et il préfère retourner en Orient[11].
À la tête de quatre légions, Vespasien dispose de près de 20 000 hommes sous ses ordres. Sa position en Judée lui offre de plus l'avantage d'être à proximité immédiate de la province d'Égypte et de pouvoir contrôler l'approvisionnement en céréales de Rome.
Alors que Vespasien suit l’évolution de la situation à Rome, les armées orientales lui témoignent les unes après les autres leur sympathie. Il se rend à Alexandrie, où il est proclamé empereur par les légions d'Orient sous l'impulsion de Tiberius Julius Alexander, le préfet d'Égypte[4], et de Mucien, le légat de Syrie.
À Rome, son frère Flavius Sabinus, préfet de la ville, le soutient. Vespasien charge Antonius Primus (le commandant des légions du Danube) des préparatifs militaires face aux puissantes armées du Rhin restées fidèles à l'empereur Vitellius. Les sympathisants de Vitellius sont finalement défaits en décembre 69, ce qui met fin à la guerre civile. Le sénat reconnaît l’investiture de Vespasien et le nomme consul pour l’année suivante. Il attribue à Titus le nom de César, manière de le reconnaître immédiatement comme le successeur de son père[14].
Vespasien et son fils Titus, toujours en Orient en 70, se chargent d'y imposer la paix romaine. Titus met fin au siège de Jérusalem en septembre 70 et le Second Temple de Jérusalem est fermé et rasé. Son père envoie une ambassade à l'Empire parthe pour garantir le statu quo territorial sur la frontière arménienne. Les sicaires sont matés au siège de Massada (72-73 de notre ère).
Réformes fiscales
Vespasien revient à Rome en septembre 70 et célèbre son triomphe. Ses victoires, aux yeux du peuple et du sénat, deviennent le fondement de la légitimité des Flaviens[15]. La guerre civile de 68 - 69 a laissé l'Empire en piteux état. Les caisses sont vides et les fonctionnaires, ainsi que les soldats impayés. Pour rétablir le bon fonctionnement du Trésor, il alourdit les taxes. Il n'hésite pas à faire saisir les impôts impayés depuis Galba[16].
Si Suétone le décrit en personnage qui a en horreur les dépenses somptuaires, il donne aussi les clés pour comprendre le revers de la médaille : « Il ne se faisait point scrupule de vendre les magistratures aux candidats, ni les absolutions aux accusés, tant innocents que coupables. » La prévarication est une forme de collecte de l’impôt. Vespasien n’hésite pas à optimiser le système.
« Vespasien licencia une grande partie des troupes de Vitellius et contint l’autre[4]. » Ceux qui l’ont aidé dans son ascension à la titulature impériale doivent attendre longtemps[4] avant de recevoir leur dû. Vespasien fait de nécessité vertu.
On lui reproche son avarice, mais on retient ses bons mots : « Des députés vinrent lui annoncer qu’on lui avait décerné une statue colossale d’un prix considérable : « Placez-la donc tout de suite, dit-il, en montrant le creux de sa main ; le piédestal est tout prêt. » C’est cet aspect de sa personnalité que retient le peuple de Rome, rapiat mais modeste, et Suétone rapporte cette anecdote : « à ses funérailles, le premier pantomime nommé Favor, qui représentait l’empereur et contrefaisait, selon la coutume, ses paroles et ses gestes, demanda publiquement aux gens d’affaires combien coûtaient le convoi et les obsèques. Comme ils répondirent : « Dix millions de sesterces », il s’écria : « Donnez-m’en cent mille, et jetez-moi ensuite dans le Tibre. »
Dans l’Empire, il impose aux Juifs vaincus un impôt spécifique, le fiscus judaicus. Il prive de la liberté l’Achaïe, la Lycie, Rhodes, Byzance, Samos, et les réduit en provinces romaines non pas soumises à un tribut mais à l’impôt, ainsi que la Thrachée-Cilicie et la Commagène, jusqu’alors gouvernées par des rois[4].
Il recourt à de véritables innovations dans le domaine fiscal, en créant une taxe sur la collecte d'urine, qui était à l'époque le seul agent fixant pour les teintures.
« Son fils Titus lui reprochait d’avoir mis un impôt sur les urines. Il lui mit sous le nez le premier argent qu’il perçut de cet impôt, et lui demanda s’il sentait mauvais. Titus lui ayant répondu que non : « C’est pourtant du liquide », dit Vespasien[4]. » Cette conversation nous est restée sous forme de proverbe « l'argent n'a pas d'odeur » et les premières toilettes publiques de Paris furent nommées vespasiennes, en souvenir de cette initiative restée célèbre.
Réformes législatives
De plus, le nouvel empereur est contesté pour ses origines. La lex de imperio Vespasiani légalise sa place à la tête de l'État en lui conférant les pouvoirs ainsi que la titulature impériale. Cette loi précise surtout les pouvoirs de l'empereur, sortant du flou voulu par Auguste, et contribuant à faire de l'empereur non plus un homme exceptionnellement revêtu de plusieurs pouvoirs, mais un magistrat du peuple romain. Il est huit fois consul et censeur en 73–74[4].
Le nombre des procès s’était accru partout dans une proportion démesurée, les anciens étant suspendus par l’interruption de toute juridiction, et le désordre des temps en produisant sans cesse de nouveaux. Il choisit par la voie du sort des juges qui devaient faire restituer les biens enlevés pendant les guerres civiles, afin d’expédier à titre extraordinaire et de réduire à une très petite quantité les affaires de la compétence des centumvirs, qui étaient si nombreuses, qu’elles ne paraissaient pas pouvoir être plaidées du vivant des parties[4].
Refonte de l’armée et des ordres équestres
Vespasien met un point d’honneur à rétablir la discipline dans l’armée. S’il paie les soldats convenablement, il évite d’acheter leur fidélité et se montre implacable avec ceux qui veulent profiter de lui[15]. Sous son règne, les frontières de l'Empire se stabilisent et se fortifient avec la construction d'un système défensif surveillant les peuplades barbares outre rhéno-danubiennes (Germains, Daces, Sarmates, Chattes). Deux nouvelles légions, la Legio IV Flauia Felix et la Legio XVI Flavia Firma, sont créées, ce qui porte le nombre total à vingt-neuf légions dont vingt-sept sont positionnées aux frontières.
Il met des légions en Cappadoce, à cause des continuelles incursions des Barbares, et y établit un gouverneur consulaire, au lieu d’un chevalier romain[4].
La noblesse romaine est essentiellement militaire et Vespasien en refond les bases :
« Il épura et compléta les premiers ordres de l’État, épuisés par mille meurtres, et dégénérés par d’anciens abus. Dans la revue qu’il fit des sénateurs et des chevaliers, il expulsa les plus indignes, et mit à leur place les plus honnêtes citoyens de l’Italie et des provinces ; et, pour faire comprendre que ces deux ordres différaient moins par la liberté que par la dignité, il prononça dans la querelle d’un sénateur et d’un chevalier romain, qu’il n’était pas permis de dire des injures à un sénateur, mais qu’il était juste et légitime de rendre outrage pour outrage[4]. » Il complète enfin la fortune des sénateurs désargentés, ce qui est un procédé efficace pour se faire des alliés[17].
Une autre évolution se dessine avec Vespasien : en choisissant comme dies imperii (le jour anniversaire de son entrée en fonction) le jour de son acclamation par l'armée, il légitime la désignation de l'empereur par l'armée. Auparavant, le Sénat investissait l'empereur de ses pouvoirs, et particulièrement de son imperium. À partir de son règne, le pouvoir et le poids du Sénat romain ne cessent de diminuer.
Vespasien s'illustre également par ses efforts pour n'infliger aucune punition arbitraire. Régnant en homme juste, il est apprécié pour cela[17].
Reconstruction de Rome et soutien des Arts
Après le grand incendie de Rome, sous Néron, la ville est à reconstruire.
Il multiplie les constructions publiques, notamment le Colisée, qu'il entreprend en 70 (et qui est fini en 80 par son fils Titus), le Forum de la Paix (71-75) avec, en particulier le Temple de la Paix pour abriter le trésor récupéré lors de la prise du Second Temple de Jérusalem et la Bibliothèque de la Paix pour entreposer, entre autres, les archives de la préfecture urbaine. Il fait refaire trois mille tables d’airain, détruites dans les flammes. C’est la plus ancienne et la plus belle collection officielle de l’empire. Elle renferme, presque depuis l’origine de Rome, les sénatus-consultes et les plébiscites sur les alliances, les traités et les privilèges accordés à chacun[4]. Il restaure le temple de Claude[4] sur le mont Caelius, commencé par Agrippine et détruit par Néron. Sur le plan religieux, Vespasien se targue d'être, comme Auguste, « le mainteneur (conservator) des cérémonies d'État et le restaurateur (restitutor) des temples sacrés »[18].
À Rome, Vespasien permet à chacun d’occuper les terrains vacants, et d’y bâtir, si les propriétaires négligeaient de le faire.
En dépit de sa réputation d'avarice, il se fait le protecteur des artistes en créant une allocation spécialement pour eux : rhéteurs, poètes et sculpteurs sont quasiment salariés de l'État. Il donne des primes importantes aux artistes de renom[19].
Sa mort
Vespasien meurt le 23[20] ou [21] , à Aquae Cutiliae. Suétone[4] rapporte que, se sentant malade, il aurait dit, se moquant de la divinisation dont faisaient l'objet les empereurs après leur mort : « Vae, puto deus fio », « Malheur ! Je crois que je deviens dieu. » Au moment de mourir, victime d'une diarrhée qui l'épuisait, il dit :
« Il faut qu'un empereur meure debout » et, tandis qu'il faisait un effort pour se lever, il expira entre les bras de ceux qui l'assistaient[4].
Il s'attache à affirmer le caractère héréditaire du régime impérial, en proclamant que ses fils lui succéderaient. Cette initiative lui vaut d'être accusé d'aspirer à la «royauté» par Priscus.
Noms et titres
Noms successifs
- 9, naît TITVS•FLAVIVS•VESPASIANVS
- juillet 69, acclamé par ses troupes : IMPERATOR•TITVS•FLAVIVS•VESPASIANVS•AVGVSTVS
- août 69, change son nom en : IMPERATOR•CAESAR•VESPASIANVS•AVGVSTVS
Titres et magistratures
- Légat de la Legio II Augusta en 43, sous le règne de Claude, qui participe à la conquête romaine du territoire britannique
- Consul en 51 et 70, 71, 72, 74, 75, 76, 77, 79
- Pater patriae en 70
- Pontifex maximus en 70
- Censeur en 73 - 74
- Acclamé Imperator en 70, 71, 72, 73, 74, 76, 77, 78
- Détient la puissance tribunicienne à partir de 69, renouvelée annuellement le 1er juillet (jour de son acclamation (dies imperii)
À sa mort en 79 la titulature de Vespasien est : IMPERATOR•CAESAR•VESPASIANVS•AVGVSTVS, PONTIFEX•MAXIMVS, TRIBVNICIAE•POTESTATIS•X, IMPERATOR•XX, CONSVL•IX, PATER•PATRIAE
Bibliographie
Sources primaires
- Suétone, Vie de Vespasien
- Tacite, Histoires (lire en ligne)
- Dion Cassius, Histoires romaines (lire en ligne)
- Flavius Josèphe, La Guerre des Juifs, vol. II (lire en ligne)
Sources secondaires
- Pierre Cosme, L'année des quatre empereurs, Fayard, 2012, (ISBN 978-2-213-65518-5)
- Virginie Girod, La véritable histoire des douze Césars, Paris, Perrin, , 412 p. (ISBN 978-2-262-07438-8)
- Léon Homo, Vespasien l’empereur du bon sens, Paris, Albin Michel, 1949.
- Barbara Levick, Vespasien, Infolio, 2002.
- Régis Martin, Les douze Césars, du mythe à la réalité, Les Belles Lettres 1991, réédition Perrin 2007, (ISBN 978-2-262-02637-0)
- Christian Settipani, Continuité gentilice et Continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l'époque impériale, Linacre College, Oxford University, coll. « Prosopographica & Genealogica », , 597 p. (ISBN 1-900934-02-7)
Notes et références
- (en) Olivier Hekster, Emperors and Ancestors : Roman Rulers and the Constraints of Tradition, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-105655-0, lire en ligne), p. 208.
- (en) Barbara Levick, Vespasian, Taylor & Francis, , 346 p. (ISBN 978-1-317-48134-8, lire en ligne), p. XXXIII ; certains auteurs donnent le 9 novembre, cf. (en) Guy E. F. Chilver et Robin Seager, « Vespasian », dans Anthony Hornblower et Anthony Spawford (éds.), The Oxford Classical Dictionary, Oxford, Oxford University Press, (ISBN 9780199545568, lire en ligne), p. 1543-1544.
- Girod 2019, p. 305.
- Suétone, Vie des douze Césars, traduction Désiré Nisard, 1855.
- Girod 2019, p. 306-307.
- Girod 2019, p. 307.
- Dion Cassius, Histoire romaine.
- Girod 2019, p. 307-308.
- Girod 2019, p. 308.
- Suétone, Vespasien, 4.
- Girod 2019, p. 309.
- Girod 2019, p. 310.
- Voir Christ pantocrator.
- Girod 2019, p. 312-313.
- Girod 2019, p. 313.
- Girod 2019, p. 315.
- Girod 2019, p. 314.
- Jean Bayet, La religion romaine, Histoire politique et psychologique, Petite Bibliothèque Payot, 1976, p. 203.
- Girod 2019, p. 317.
- (en) Guy E. F. Chilver et Robin Seager, « Vespasian », dans Anthony Hornblower et Anthony Spawford (éds.), The Oxford Classical Dictionary, Oxford, Oxford University Press, (ISBN 9780199545568, lire en ligne), p. 1543-1544.
- (en) Barbara Levick, Vespasian, Taylor & Francis, , 346 p. (ISBN 978-1-317-48134-8, lire en ligne), p. XXXIV.
Voir aussi
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