Tournehem-sur-la-Hem

Tournehem-sur-la-Hem est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Hem.

Tournehem-sur-la-Hem

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Jean-Paul Vasseur
2020-2026
Code postal 62890
Code commune 62827
Démographie
Gentilé Sarrazins
Population
municipale
1 400 hab. (2019 )
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 48′ nord, 2° 02′ est
Altitude Min. 22 m
Max. 174 m
Superficie 18,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Omer
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tournehem-sur-la-Hem
Géolocalisation sur la carte : France
Tournehem-sur-la-Hem
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Tournehem-sur-la-Hem
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Tournehem-sur-la-Hem
Liens
Site web mairie-tournehem.fr

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 169 habitants en 2018.

    Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de dix communes :

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Hem ou Tiret, un cours d'eau naturel non navigable de 27,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Escœuilles et rejoint l'Aa dans la commune de Sainte-Marie-Kerque[1].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2].

    Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[3].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 1] :

    • la forêt domaniale de Tournehem et ses lisières. Cette ZNIEFF marque le rebord oriental du pays de Licques[4] ;
    • le mont de Bonningues. Cette ZNIEFF s’étend le long du bois du Carnoy[5] ;
    • la haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques[6] ;
    • la couronne boisée au nord de Licques. Cette ZNIEFF boisée marque la partie nord de la cuesta du pays de Licques, dernier contrefort des collines crayeuses de l’Artois avant la plaine maritime flamande[7].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 hectares, s'étend sur 43 communes[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Tournehem-sur-la-Hem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), forêts (41,8 %), prairies (4,6 %), zones urbanisées (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    • Tournehem : le terme germanique -hem se traduit par «maison, foyer» et/ou «domaine, groupe d'habitations»: 1793 : Tournehan, 1801 : Tournehem, 1964 : Tournehem-sur-la-Hem. Doornem en flamand[16].
    • Guemy : Gimmeke en flamand.

    Histoire

    L'existence de Tournehem est attestée dès l'Antiquité, lorsque les légions romaines pénétrèrent dans la Morinie et que César prit cette place en l'an 57 avant notre ère. En l'an 218, l'empereur Septime Sévère, en campagne contre la Grande-Bretagne, fit camper une partie de son armée sur la montagne de Saint-Louis, près de Tournehem[17].

    Tournehem était située sur la voie romaine reliant Boulogne-sur-Mer à Cassel, via Le Wast, Alembon, Licques, Clerques, Tournehem, Watten, Wulverdinghe, Lederzelle, Wemaers-Cappel[18].

    Au Moyen Âge, la ville de Tournehem était le chef-lieu de l'une des quatre châtellenies du comté de Guînes, en Artois. Lambert de Tournehem assiste vers 1084 à l'enterrement d'Adèle Chrétienne de Hollande, épouse du comte de Guînes Baudouin Ier de Guînes, dans l'abbaye Saint-Médard d'Andres[19]. En 1117, cette châtellenie fut donnée en fief par Manassès Ier de Guînes, comte de Guînes, à son neveu Arnould de Gand, qui deviendra à son tour comte de Guînes sous le nom d'Arnould Ier de Guînes[17]. Manassès possédait un château à Tournehem[20]. En 1145-1150, Manassès de Tornehem et son fils Manassès font partie de l'entourage d'Arnould Ier lorsque celui-ci établit des chartes en faveur d'abbayes[21].

    Vers 1170, Baudouin II de Guînes, fils d'Arnould Ier, fait réparer le château de Tournehem qui tombait en ruines, fortifie la ville en l'entourant d'un profond fossé, renouvelle ses murailles, et creuse un grand étang à côté[22].

    En 1346, Gui de Nesle s'empara de Tournehem et tua six-cents soldats anglais qui s'y étaient réfugiés[17].

    En 1350, après la mort du dernier comte de Guînes, Tournehem fut réuni au domaine de la couronne[17].

    Les Anglais s'emparèrent de Tournehem en 1352, avant que les Français ne reprennent cette place en 1377. Le roi Louis XI l'a ensuite donnée en 1479 à Antoine, fils naturel de Philippe le Bon, duc de Bourgogne[17].

    Le jeune Erasme y séjourne en 1499 et 1501 chez son ami Jacques Batt, précepteur d'Adolphe de Bourgogne.

    Par le traité de Cambrai (1529), Tournehem fut cédé par la France à l'empereur Charles Quint, mais la guerre ayant de nouveau éclaté entre les deux couronnes, le duc de Vendôme mit le siège devant Tournehem (1542), qui céda après avoir essuyé pendant cinq jours le feu des assiégeants, et le château fut détruit[17].

    La paix de Crépy (1544) restitua Tournehem aux Espagnols, qui réédifièrent les fortifications, mais ils perdirent à nouveau cette place en 1595 (prise par le maréchal d'Humières) et la forteresse fut définitivement rasée[17].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    Tournehem jusqu'alors membre de la communauté de communes de la région d'Ardres et de la vallée de la Hem, dissoute le , a intégré le la communauté d'agglomération de Saint-Omer (CASO)[23].

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton de Saint-Omer.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Léon Leclercq[24]    
    mars 2008 2020 Jean-Claude Hiraut   Réélu pour le mandat 2014-2020[23],[25],[26]
    3 juillet 2020 En cours
    (au 8 avril 2022)
    Jean Paul Vasseur   Ancien cadre[27],[28]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2019, la commune comptait 1 400 habitants[Note 5], en diminution de 2,57 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    603591657812896938963944850
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8108809259391 0311 0331 0441 010988
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    939944954888864824798847781
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7798359651 0181 0691 2191 2261 2291 335
    2014 2019 - - - - - - -
    1 4521 400-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 707 hommes pour 711 femmes, soit un taux de 50,14 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,4 
    4,7 
    75-89 ans
    7,1 
    16,5 
    60-74 ans
    16,5 
    17,9 
    45-59 ans
    19,4 
    19,9 
    30-44 ans
    18,5 
    18,2 
    15-29 ans
    18,8 
    22,6 
    0-14 ans
    19,2 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Culture locale et patrimoine

    Site classé

    Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[35].

    Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du  : les ruines de la chapelle Saint-Louis, à Guémy, situées sur un plateau, qui offre un panorama sur le Calaisis, où subsistent l'intégralité des murs en calcaire tendre de la chapelle, fondée au XIIIe siècle[36].

    Monument historique
    • L'église Saint-Médard des XVe, XVIIe et XVIIIe siècle, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [37]. Les boiseries des stalles, de la chaire, du buffet d'orgues, ainsi que quelques statues et tableaux sont classés à titre d'objets.
    Autres monuments
    • La chapelle de la Vierge dans le bâtiment du moulin à eau, rue de l'Étang.
    • La chapelle Notre-Dame-de-la-Forêt dans la forêt de Tournehem.

    Patrimoine civil

    • Les fortifications de Tournehem. De ces fortifications part un réseau complexe de passages souterrains. Certains de ceux-ci rallient la chapelle Saint-Louis, d'autres se terminent à Ardres, le chef-lieu de canton. En raison de leur dangerosité, les souterrains sont interdits au public et les visites ne sont plus autorisées.
    • Trois moulins à eau: rue de l'Étang, route de Guémy et chemin de la Leulenne.
    • Le moulin à vent Bacquet.

    Patrimoine commémoratif

    • Le monument aux morts au pied du cimetière, commémorant les guerres de 1914-1918 et 1939-1945
    • Plaquettes dans l'église commémorant les guerres de 1914-1918, 1939-1945 et d'Algérie.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :
    de gueules à la porte de ville à galerie crénelée (et donjonnée) d'argent, ouverte et ajourée du champ[38].


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hem ou Tiret (E4100600 ) » (consulté le )
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « ZNIEFF 310007259 - La Forêt domaniale de Tournehem et ses lisières », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310007260 - mont de Bonningues », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF 310007272 - Haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « ZNIEFF 310013719 - La couronne boisée au nord de Licques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF 310013274 - La Boutonnière de Pays de Licques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    17. Pierre Jean M. Collet, Notice historique de saint-Omer, suivie de celles de Thérouane et Tournehem, (lire en ligne), p. 194.
    18. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1858, p. 81-83, lire en ligne
    19. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632,p. 22, lire en ligne
    20. Du Chesne, op. cit., p. 28.
    21. A. du Chesne, op. cit., p. 60.
    22. A. Du Chesne, option cité, p. 69.
    23. Éric Dauchart, « Tournehem, bilan du maire Jean-Claude Hiraut: « Je ne veux pas endetter la commune » : À quelques mois des élections municipales, prévues les 23 et 30 mars 2014, l’heure est au bilan pour les maires. Jean-Claude Hiraut, maire de Tournehem, répond à nos questions », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    24. M. D.-L. (CLP), « Tournehem-sur-la-Hem : le retour de l’ancien maire Léon Leclercq : Pour ce premier tour des élections municipales, les Sarrazins avaient le choix entre la liste « Ensemble dans l’intérêt commun de notre village » de Jean-Claude Hiraut, maire sortant, composée de deux adjoints et de deux conseillers sortants ; la liste « Tournehem, vivre et agir ensemble » de Jean-Claude Vasseur, conseiller sortant de la majorité entré en dissidence, accompagné de deux autres conseillers sortants de la majorité ; et la liste « Tournehem autrement » de Léon Leclercq, ancien maire de 2001 à 2008 et conseiller sortant de l’opposition, entouré de Catherine Roder, conseillère sortante de l’opposition », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    25. M. D-L (CLP), « Jean-Claude Hiraut officiellement réélu maire de Tournehem : Samedi, à la bibliothèque, Jean-Claude Hiraut, maire sortant, a facilement été réélu maire avec douze voix pour et trois nuls après un scrutin municipal tendu », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tournehem-sur-la-Hem (62827) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    35. Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
    36. « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Église », notice no PA00108434, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Armorialdefrance.fr ».
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