Riom-ès-Montagnes

Riom-ès-Montagnes [ʁjɔ̃ ɛs mɔ̃taɲ] (Riòm de las Montanhas en occitan) est une commune française située dans le département du Cantal, en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Ne pas confondre avec Riom (département du Puy-de-Dôme), Rioms (département de la Drôme) ou Riom-Parsonz (Suisse)

Riom-ès-Montagnes

Vue générale de Riom-ès-Montagnes.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Mauriac
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Gentiane
(siège)
Maire
Mandat
François Boisset
2020-2026
Code postal 15400
Code commune 15162
Démographie
Gentilé Riomois, Riomoises
Population
municipale
2 479 hab. (2019 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 59″ nord, 2° 39′ 38″ est
Altitude Min. 575 m
Max. 1 102 m
Superficie 46,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Riom-ès-Montagnes
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Riom-ès-Montagnes
Géolocalisation sur la carte : France
Riom-ès-Montagnes
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Riom-ès-Montagnes
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Riom-ès-Montagnes
Liens
Site web http://www.ville-riom-es-montagnes.fr/
    L'église Saint-Georges.
    L'hôtel de ville.

    Ses habitants sont appelés les Riomois et Riomoises[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Riom-ès-Montagnes, principale ville du « Pays Gentiane », se situe au nord-ouest du département du Cantal, et au cœur du parc naturel régional des volcans d'Auvergne.

    Située entre les Monts Dore et les Monts du Cantal à une altitude de 840 mètres, Riom-ès-Montagnes compte 2 479 habitants.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hydrographie

    La rivière Véronne[2], traverse Riom-ès-Montagnes. Elle se jette dans la Petite Rhue[3] qui marque la limite entre Riom-ès-Montagnes et les communes voisines de Marchastel et Saint-Amandin.

    Le barrage de Journiac se trouve en partie sur la commune, sur la Petite Rhue à la limite avec Saint-Amandin.

    D'autres cours d'eau sillonnent la commune comme le ruisseau de la Grolle[4], le ruisseau du Cheylat[5], le Soulou[6]

    Climat

    Le climat est un climat de montagne où l'on observe en hiver une fréquente présence du gel et de la neige et en été des journées pouvant être chaudes et ensoleillées suivies des nuits plus fraîches. Le printemps et l'automne se caractérisent par l'abondance de journées pluvieuses et la présence fréquente du brouillard[7].

    Les données climatiques observées à Riom-ès-Montagnes sont sensiblement les mêmes que celles relevées à Aurillac[8].

    Relevé météorologique à Aurillac
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −1,1 −0,6 0,9 2,8 6,8 9,4 11,7 11,6 8,7 5,9 1,8 0 4,9
    Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,8 10,4 12,7 16,9 20,2 23,5 23,5 20,1 15,3 10 7,6 14,6
    Ensoleillement (h) 118 130 191 174 218 219 266 259 192 136 94 89 2 084
    Précipitations (mm) 96 100 88 111 127 94 71 79 106 126 107 128 1 232,2
    Source : Météo France
    • Nombre de jours avec précipitations (>mm) : 135
    • Nombre de jours avec faible ensoleillement : 126
    • Nombre de jours avec fort ensoleillement : 103

    Urbanisme

    Typologie

    Riom-ès-Montagnes est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Riom-ès-Montagnes, une unité urbaine monocommunale[I 1] de 2 479 habitants en 2019, constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 4],[I 5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,2 %), forêts (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), zones humides intérieures (0,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    • L'Estampe, dont le nom est Le Temple sur la carte de Cassini de 1783[13].
    • La Volumard.
    • Freytet, lieu habité depuis le Moyen Âge, comme en témoignent les cases présentes sur le plateau dominant le hameau.
    • La Ribeyrette, ferme située à proximité de la croix et de la cascade du même nom.
    • Les Bondes et son étang, un écosystème à préserver.
    • Rignac, véritable petit village bordé par le Cheylat, rivière affluent de la Sumène.
    • Les Mazets, devenu quartier de Riom-ès-Montagnes.
    • Roussillou et son étang, lieu de pêche.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 709, alors qu'il était de 1 777 en 2013 et de 1 721 en 2008[I 6].

    Parmi ces logements, 73,5 % étaient des résidences principales, 10,5 % des résidences secondaires et 16 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 65,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 34 % des appartements[I 7].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Riom-ès-Montagnes en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,5 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,6 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 8].

    Le logement à Riom-ès-Montagnes en 2018.
    Typologie Riom-ès-Montagnes[I 6] Cantal[I 9] France entière[I 10]
    Résidences principales (en %) 73,5 67,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,5 20,4 9,7
    Logements vacants (en %) 16 11,9 8,2

    Voies de communication et transports

    Autrefois très utilisé, le transport ferroviaire reste toujours actif grâce au Gentiane express, train touristique qui circule en Haute-Auvergne, s'arrête en gare de Riom-ès-Montagnes et reprend partiellement l'ancienne ligne de Bort-les-Orgues à Neussargues. Cette ligne fut inaugurée le [14].

    Louis Bonnet, créateur de « l'Auvergnat de Paris » a été un précurseur dans ce qui est appelé de nos jours les « voyages organisés ». En 1904, il crée les trains qui portent son nom. Jusqu'en 1939, ils conduisent, à prix réduit, chaque printemps et chaque été, des compatriotes au pays. Une ambiance toute particulière règne dans ces wagons, comme il se doit entre Auvergnats : cabrette et casse-croûte, bourrée sur le quai, à chaque arrêt. Ces voyages passeront à Riom-ès-Montagnes en 1923.

    Deux axes se croisent sur dans la ville, l'axe Mauriac/Condat et l'axe Bort-les-Orgues/Murat/Saint-Flour.

    La route nationale 678 qui allait de Laguenne à La Sauvetat en passant par Mauriac, Riom-ès-Montagnes et Condat est déclassée en « route départementale 678 » sur le département du Cantal.

    Toponymie

    Du gaulois rigomagos signifiant le marché du roi. Issu du mot gaulois Rix ou rig, le « roi » local, celui qui percevait sans doute les droits de marché, accompagné du mot gaulois magos qui a d'abord désigné un simple champ, puis un champ de foire, un marché et enfin le village ou la ville qui se développe autour de ce marché.

    Histoire

    Sa création remonte à l'époque gallo-romaine ancienne comme en témoigne le nom même de la ville.

    •  : les Arbres et Châteauneuf sont érigées en commune mais sont rattachées à Riom en 1836
    • 1836 : la commune de Riom change de nom pour Riom-ès-Montagnes.
    •  : électrification de la commune par M. Gratacap, ingénieur à Maurs
    •  : 1er guide touristique de la ville
    •  : création d'un syndicat d'initiative
    • 1924 : relance des foires grâce au chemin de fer. La plus célèbre est celle de la Saint-Michel.
    • 1925 : fabrication industrielle de l'Auvergne Gentiane par Émile Refouvelet, ancêtre de l'Avèze.
    • 1938 : l'extension de la ville occasionne des problèmes d'approvisionnement d'eau et oblige à donner des noms aux rues.
    •  : création de la clinique du Haut Cantal. Actuellement maison de repos et de soins postopératoires.
    • 1998 : Création du centre Geneviève Champsaur (accueil des malades atteints de la sclérose en plaques)
    • 2006 : création d'un établissement accueil et soin pour Alzheimer

    Un centre de rééducation fonctionnelle pour la réadaptation de malades respiratoires est en construction (2009).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1792 Jean Fayer[15]    
    1792 1805 Antoine Chicardier[15]   Instituteur
    1805 1817 Jean Demurat[15]   Avocat
    1817 1834 Jean-François Fonteilles[15]   Avocat
    1834 1847 Louis Antoine Robin[15]   Greffier
    1847 1851 Jean Etienne Bergheau[15]   Notaire
    1852 1857 Marc Antoine Ponsonnailles[15]   Huissier
    1857 1869 Jean Louis le Sénéchal[15]   Directeur de l'école de Saint-Angheau
    1869 1878 Julien Bergheau[15]   Notaire
    1878 1882 Guillaume Brun[15]   Huissier
    1882 1883 Antonin Basset[15]    
    1883 1887 Raoul Fonteilles[15]   Juge de paix
    1887 1892 Docteur Georges Mary[15]    
    1892 1896 Pierre Rouchy[15]   Pharmacien
    1896 1897 Docteur Georges Mary[15]    
    1897 1898 Guillaume Tissandier[15]   Agriculteur
    1898 1936 Fernand Brun[15]   Avocat
    1936 1944 Jean Ménardie[15]   Directeur de l'usine Silice
    décembre 1944 mai 1945 Mélanie Brun[15]   Épouse de Fernand Brun
    mai 1945 juillet 1946 Joseph Basset[15]   Instituteur, directeur de l'école de
    Saint-Étienne-de-Chomeil
    juillet 1946   Mélanie Brun[15]    
    octobre 1947 mars 1959 Docteur Georges Delteil[15] DVD Conseiller général
    mars 1959 1964 Pierre Gilbert[15] MRP Commerçant, conseiller général
    1964 mars 1971 Jean Tible[15] DVD Commerçant, conseiller général
    mars 1971 mars 1989 Docteur Georges Godenèche[15] UDR-RPR Conseiller général
    mars 1989 mars 2001 Raymond Cerruti[15] RPR Commerçant, conseiller général
    mars 2001 avril 2014 Guy Delteil RPR puis UMP Conseiller général (2008-2015)
    avril 2014 En cours
    (au 4 juin 2020)
    François Boisset[16] PCF[17] Retraité

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

    En 2019, la commune comptait 2 479 habitants[Note 2], en diminution de 9,29 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5007148767742 0632 2272 3702 5892 717
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6832 5942 6442 7002 7682 6122 7903 0443 046
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1393 1252 9012 1832 5532 6112 9532 9053 107
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 3993 5273 6243 4173 2252 8422 7272 6812 520
    2019 - - - - - - - -
    2 479--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,9 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (27,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (44.0 %) est supérieur au taux départemental (35,5 %).

    En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 342 femmes, soit un taux de 53,87 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3 
    90 ou +
    3,0 
    13,2 
    75-89 ans
    21,4 
    25,5 
    60-74 ans
    23,0 
    22,9 
    45-59 ans
    18,7 
    13,8 
    30-44 ans
    13,1 
    11,0 
    15-29 ans
    10,5 
    12,2 
    0-14 ans
    10,3 
    Pyramide des âges du département du Cantal en 2018 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ou +
    2,8 
    9,9 
    75-89 ans
    13,8 
    21,8 
    60-74 ans
    21,4 
    22,4 
    45-59 ans
    20,9 
    16,5 
    30-44 ans
    15,5 
    13,7 
    15-29 ans
    11,9 
    14,6 
    0-14 ans
    13,7 

    Manifestations culturelles et festivités

    • Rallye Gentiane, mai
    • Fête de l'Axe Vert, mai
    • Fête patronale, 3e week-end de juin
    • Festival Entre ciel et terre, juillet
    • Festival Es'contes (juillet)
    • Fête de la gentiane, juillet
    • Salon du livre, août
    • Fête de la Rosière, week-end du
    • Fête du Bleu d'Auvergne, avant-dernier week-end d'août[23]
    • Journées mycologiques de Haute-Auvergne, octobre
    • Marché de Noël, décembre

    La communauté de communes du Pays Gentiane, l'Office culturel du Pays Gentiane, l'Office de tourisme du Pays Gentiane, la bibliothèque municipale et le milieu associatif en général organisent également plusieurs rendez-vous culturels de septembre à juin (concerts, théâtre, danse, expositions, compétitions sportives…).

    Économie

    Riom est essentiellement un pôle tertiaire qui employait 1335 personnes en 2012[24]. La santé constitue le premier secteur d'emploi (environ 450 personnes). La ville compte plus de 100 commerçants et artisans ainsi qu'une centaine d'emplois relevant d'administrations centrales (Poste, Trésor Public…)[25].

    Agriculture

    Riom compte une cinquantaine d'agriculteurs[25]. L'élevage de bovins de la race locale Salers joue un rôle important.

    Agroalimentaire

    La fabrication du cantal et du bleu d'Auvergne constitue la principale activité du secteur agroalimentaire. La Société fromagère de Riom est la principal entreprise dans ce domaine qui emploie 180 personnes. Plus de la moitié de la production de Bleu d'Auvergne provient de Riom[23]. La première laiterie est ouverte en 1900 par Charles Seroude et de 1949 à 1958, La vache qui rit y sera fabriquée. L'usine regroupe environ 1 000 agriculteurs au sein de l'UCFC.

    Une marque de liqueur de gentiane, l'Avèze est produite localement et emploie quelques personnes.

    Industrie

    Chemviron, filiale de Calgon Carbon, dispose à Riom d'un des trois sites de transformation de la diatomite en France[26]. Celle-ci est extraite d'une carrière située sur la commune de Virargues. L'entreprise emploie une cinquantaine de personnes à Riom.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cascade de la Ribeyrette en hiver.

    Autres lieux :

    • Maison de la Gentiane (site du parc naturel régional des volcans d'Auvergne) et Espace Avèze[23].
    • Sentiers botaniques et randonnées familiales.
    • Lacs de Roussillou, des Bondes, de Majonenc.
    • Site de Montautel, orgues de Châteauneuf.
    • Cascade de la Ribeyrette, sur la rivière le Cheylat.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Antoine Trin, Riom-ès-Montagnes. Son passé, son développement, ses environs. Clermont-Ferrand, Bussac, 1966, 24 pages.
    • Antoine Trin, Riom-ès-Montagnes. Circuits archéologiques, églises romanes. Menet, Éditions cantaliennes, 1974, 24 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « Unité urbaine 2020 de Riom-ès-Montagnes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    2. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    3. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    6. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Riom-ès-Montagnes » (consulté le ).
    7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Riom-ès-Montagnes - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Riom-ès-Montagnes - Section LOG T7 » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
    10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Riom-ès-Montagnes (15162) », (consulté le ).

    Autres sources

    1. Les gentilés du Cantal
    2. La Véronne sur le site du Sandre
    3. La Petie Rhue sur le site du Sandre
    4. Le ruisseau de la Grolle sur le site du Sandre
    5. Le ruisseau du Cheylat sur le site du Sandre
    6. Le Soulou sur le site du Sandre
    7. Planète Auvergne - La Région - son Climat et sa Géologie
    8. Météo France - Aurillac
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. « Estampes, hameau de Riom-ès-Montagnes », page du Corpus Etampois
    14. La voie ferrée Bort-Neussargues
    15. Philippe Clavel, Riom-ès-Montagnes : de l'origine à nos jours, Aurillac, Éditions L'âme des mots, , 95 p. (ISBN 978-2-9521346-3-7)
    16. « Le nouveau conseil municipal a pris ses fonctions », sur La Montagne=, (consulté le )
    17. Le PCF dans le Cantal
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
    23. Jean-François Pujante, Valérie Pocheveux, « Le Baladeur de l'été: la fête du Bleu d'Auvergne à Riom-ès-Montagnes dans le Cantal », France Bleu Pays d'Auvergne, (lire en ligne)
    24. INSEE, « Riom-ès-Montagnes - Évolution et structure de la population », .
    25. Mairie de Riom, « Riom ès Montagnes - Présentation » (consulté le ).
    26. « La diatomite, le minerai de la discorde à Saint-Flour », sur La Montagne, (consulté le )
    27. « Église Saint-Georges de Riom-ès-Montagnes », notice no PA00093585, base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. « Habitations préhistoriques de Châteauneuf », notice no PA00093586, base Mérimée, ministère français de la Culture
    29. « Viaduc de Barajols (également sur commune de Saint-Amandin) », notice no PA00093587, base Mérimée, ministère français de la Culture
    30. Le viaduc de Barajol, sur le site Structurae
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