Vèbre
Vèbre est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.
Pour les articles homonymes, voir Vèbre (homonymie).
Vèbre | |
L'église. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Foix |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Haute Ariège |
Maire Mandat |
Jean Rouzoul 2020-2026 |
Code postal | 09310 |
Code commune | 09326 |
Démographie | |
Gentilé | Vebrois |
Population municipale |
124 hab. (2019 ) |
Densité | 24 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 46′ 35″ nord, 1° 43′ 22″ est |
Altitude | Min. 552 m Max. 1 485 m |
Superficie | 5,19 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Haute-Ariège |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau de Caychax, le ruisseau de Fontargente, le ruisseau de lavail et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vèbre est une commune rurale qui compte 124 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 525 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Vebrois ou Vebroises.
Géographie
Localisation
La commune de Vèbre se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 23 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 11 km d'Ax-les-Thermes[2], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarascon-sur-Ariège[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Urs (0,9 km), Lassur (1,4 km), Albiès (1,6 km), Appy (1,9 km), Caychax (1,9 km), Lordat (2,4 km), Garanou (2,6 km), Senconac (2,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Vèbre fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[4].
Géologie et relief
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Elle est traversée par la Faille nord-pyrénéenne, qui sépare la Zone axiale pyrénéenne (ZA) ou haute chaîne primaire de la Zone nord-pyrénéenne (ZNP), au nord. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma, et pour d'autres du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1087 - Vicdessos » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 5,19 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 5,23 km2[7]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 933 mètres. L'altitude du territoire varie entre 552 m et 1 485 m[12].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau de Caychax, le ruisseau de Fontargente, le ruisseau de lavail, le ruisseau de Gargante et le ruisseau des Foyres, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[14],[15].
L'Ariège, d'une longueur totale de 162,91 km, prend sa source dans la commune de Porta et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Portet-sur-Garonne, après avoir traversé 56 communes[16].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune est du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[17].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21],[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tarascon-sur-Ariège », sur la commune de Tarascon-sur-Ariège, mise en service en 1959[23] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[24],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 769,3 mm pour la période 1981-2010[25]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 56 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[27], à 12,3 °C pour 1981-2010[28], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[29].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[31], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[32].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[33] :
- le « cours de l'Ariège » (1 341 ha), couvrant 112 communes dont 86 dans l'Ariège et 26 dans la Haute-Garonne[34] ;
- les « quiès calcaires d'Albiès à Caussou » (1 328 ha), couvrant 14 communes du département[35],
- la « rive gauche de la haute vallée de l'Ariège » (16 207 ha), couvrant 14 communes du département[36] ;
et trois ZNIEFF de type 2[Note 8],[33] :
- « L'Ariège et ripisylves » (1 975 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[37] ;
- le « massif de l'Aston et haute vallée de l'Ariège » (0 ha), couvrant 24 communes dont 22 dans l'Ariège et 2 dans les Pyrénées-Orientales[38] ;
- les « parois calcaires et quiès de la haute vallée de l'Ariège » (9 891 ha), couvrant 40 communes du département[39].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Vèbre est une commune rurale[Note 9],[40]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[41]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8 %)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 141, alors qu'il était de 137 en 2013 et de 132 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 43,1 % étaient des résidences principales, 43,4 % des résidences secondaires et 13,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,2 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vèbre en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (43,4 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Typologie | Vèbre[I 5] | Ariège[I 7] | France entière[I 8] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 43,1 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 43,4 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 13,5 | 9,7 | 8,2 |
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vèbre est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[43],[44].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Ariège, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le cours d'eau de l'Ariège figurent la crue torrentielle de 1982 et les inondations de plaine de 1996 et de 2005 de la Basse vallée de l'Ariège[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Vèbre[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Vèbre[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 22 mai 2015[48].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[49].
Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 80 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages. Elle est en effet dans la zone de proximité immédiate d'un barrage classé PPI[50].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Vèbre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[51].
Histoire
En 1854, le choléra fit 77 victimes à Vèbre.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Vèbre est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[52].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[53].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[55].
En 2019, la commune comptait 124 habitants[Note 10], en diminution de 4,62 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 6 % | 10,4 % | 8,9 % |
Département[I 11] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 78 personnes, parmi lesquelles on compte 65,8 % d'actifs (57 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs) et 34,2 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 13]. Elle compte 8 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,4 %[I 14].
Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 86,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
18 établissements[Note 12] sont implantés à Vèbre au [I 17]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 66,7 % du nombre total d'établissements de la commune (12 sur les 18 entreprises implantées à Vèbre), contre 27,5 % au niveau départemental[I 18].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 12 | 5 | 3 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 69 | 89 | 70 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[58]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[59]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 14] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 70 ha[59].
Culture locale et patrimoine
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul datant du XIXe siècle, décorée par François et Jean-Antoine Pedoya, avec vitrail de Jacques Cadet.
- Lavoir.
- Lavoir.
- Monument aux morts.
- Croix.
Voir aussi
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Vèbre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[30].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Vèbre » (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vèbre - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vèbre - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Vèbre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vèbre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vèbre » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Vèbre » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Vèbre et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Vèbre et Ax-les-Thermes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Vèbre », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 365-366.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte géologique de Vèbre » sur Géoportail (consulté le 23 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Vèbre », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille n°1087 - Vicdessos de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Vèbre », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Vèbre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Vèbre » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « l'Ariège »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Vèbre et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vèbre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Vèbre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « quiès calcaires d'Albiès à Caussou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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