Val-de-la-Haye
Val-de-la-Haye est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Val-de-la-Haye | |||||
La Colonne Napoléon. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Pascal Delaporte 2020-2026 |
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Code postal | 76380 | ||||
Code commune | 76717 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
718 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 22′ 43″ nord, 1° 00′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 119 m |
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Superficie | 10,16 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Canteleu | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | valdelahaye.fr | ||||
Géographie
Situation
Le village est situé sur la rive droite de la Seine, au sud de la forêt de Roumare.
Jusqu'en 2015, la commune faisait partie du canton de Grand-Couronne. Elle fait maintenant partie du canton de Canteleu.
Communes limitrophes
Quevillon | Canteleu | |||
Saint-Pierre-de-Manneville | N | Petit-Couronne | ||
O Val-de-la-Haye E | ||||
S | ||||
Sahurs | Hautot-sur-Seine | Grand-Couronne |
Voies de communication et transports
Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre Petit-Couronne.
Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont, en amont, le pont Gustave-Flaubert à Rouen et, en aval, le pont de Brotonne entre Caudebec-en-Caux et Saint-Nicolas-de-Bliquetuit.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 805,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 15 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Val-de-la-Haye est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (81,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), zones urbanisées (4,1 %), eaux continentales[Note 8] (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Vallem de la Haia en 1203, Vallis Haie vers 1240, Vallis Haie en 1246, Sanctus Johanes de Valle Haye en 1282, Saint Johan du Val de la Haie en 1403[24], Vau de la Haye en 1403, Paroisse Saint Jehan du Val de la Haye en 1405[25], et en 1465, Saint Jean du Vau de la haie en 1489[26], Saint Jehan du Val de la Haie en 1431, Saint Jean Baptiste du Val de la Haye en 1717 [27], Val de la Haye en 1715 et en 1757 (Cassini)[28],
Le village est situé dans la vallée[Note 9] de la Seine au pied de la forêt de Roumare, le mot haye ayant eu jadis le sens de « lisière de bois »[29].
Histoire
Il reste une grange dîmière qui daterait de la fondation de Sainte-Vaubourg soit du XIIe siècle.
- Histoire moderne
Le , la dépouille de Napoléon Bonaparte de retour de Sainte-Hélène est transbordée du navire la Normandie vers le vapeur la Dorade 3, en présence du prince de Joinville, du préfet Henri Dupont-Delporte, du général Teste et du maire de Rouen, Henry Barbet.
Les Templiers et les Hospitaliers
Jouxtant Val-de-la-Haye (également orthographié à cette époque « Val de la Haie »), la Maison du Temple de Sainte-Vaubourg, située à Val-de-la-Haye, à deux lieues de Rouen, devait sa fondation à Henri II roi d'Angleterre, duc de Normandie et d'Aquitaine, comte d'Anjou. Ce souverain, par ses lettres qui paraissent avoir été rédigées vers l'année 1173, et dont il demeure une copie aux archives de la bibliothèque nationale, fait savoir à l'archevêque de Rouen, aux évêques, abbés, comtes, barons, vicomte et autres officiers, ainsi qu'à tous ses sujets de Normandie, qu'il a donné en pure aumône aux frères du Temple la maison de Sainte-Vaubourg, « domum Sancte Vaburge », qui lui provenait du roi Henri, son aïeul, avec la terre et le bois en dépendant, et cela du consentement et avec l'approbation de l'abbé et des religieux du couvent du Bec.
Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem possédaient, au commencement du XIIIe siècle, un domaine près de Sainte-Vaubourg et de Val-de-la-Haye. Ce domaine leur provenait de nobles damoiselles Gillette et Marsillie de Godoceles qui, par leurs lettres du mois de , dont il nous reste un vidimus, avaient déclaré donner à la maison de l'Hôpital de Jérusalem leur ville de Godocèles, savoir : l'assise de la dite ville, « sessionem predicte ville », depuis le jardin de Thomas de Coupigny, jusqu'à la terre du Val-de-la-Haye, « usque ad terram del Val de La Haye », et la moitié de la dîme de la même ville, pour laquelle Hugo de Cagny, dans le fief duquel elle se trouvait, avait reçu des Hospitaliers soixante sols, un cheval et deux vaches.
Cette donation comprenait en outre la terre nécessaire pour l'habitation de cinquante hôtes, à raison de huit journaux pour chacun d'eux, avec un jardin et le fonds de leur maison qui devait avoir 40 pieds de longueur sur autant de largeur ; chaque maison devant être chargée d'une redevance de douze beauvoisis, de deux pains, de deux chapons, et de deux mines d'avoine à remettre a l'Hôpital chaque année aux termes de la Saint-Remi et de la Noël.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2019, la commune comptait 718 habitants[Note 10], en augmentation de 1,84 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Commanderie de Sainte-Vaubourg, commanderie templière dévolue, lors la disparition des Templiers, à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La commanderie fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [38].
- « Le Méridien », ancien relais de poste.
- Chapelle du cimetière, chœur de l'ancienne église Saint-Jean.
- Colonne Napoléon, érigée en 1844 en l'honneur de l'arrêt du bateau qui ramena la dépouille de Napoléon Ier de Sainte-Hélène le [39].
- Maisons jumelées de 1765 et 1767[40].
- Église Saint-Jean-Baptiste[41].
Personnalités liées à la commune
- Mathilde l'Emperesse, veuve de l'empereur germanique, se serait fiancée à Geoffroy Plantagenêt à la maison forte de Sainte-Vaubourg, qui a conservé son parc à gibier[42].
- Pierre Corneille fut propriétaire à Val-de-la-Haye.
- Pierre L'Épine, graveur, y est né.
- Louis Lézurier, baron de la Martel, maire de Rouen était, sous l'Empire, propriétaire de Sainte-Vaubourg ; le domaine appartient actuellement à ses lointains héritiers.
- le prince de Joinville, fils du roi Louis-Philippe, fit halte à Val-de-la-Haye pour organiser la dernière étape du retour des cendres de Napoléon Ier.
- Étienne Nétien, maire de Rouen
- Le chansonnier Frédéric Bérat est un enfant de Val-de-la-Haye.
- L'illustrateur Georges Conrad (1874-1936) y a résidé.
Héraldique
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Parti : au 1er mi-parti de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à la barque au naturel mouvant du flanc, sur une mer fascée-ondée de huit pièces d'argent et d'azur, amarrée par une corde d'argent en barre mouvant de la partition, et surmontée d'une aigle impériale française d'or empiétant un foudre d'argent ; le tout enclos dans une filière d'or ; à l'épée d'argent garnie au naturel, la garde pommetée d'or chargée d'un carré en losange d'argent surchargé d'un tourteau inscrit de gueules à la croix de Malte d'argent, brochant sur la partition[43].
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Voir aussi
Bibliographie
- Albert Tougard, Quelques notes sur la chapelle et la commanderie de Sainte-Vaubourg, au Val-de-la-Haye, près Rouen, Rouen, E. Cagniard, 1873.
- Dominique Bussillet et Fabien Persil, Seine du passé : promenade littéraire et picturale au fil de la Seine de Rouen au Val de La Haye, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , 115 p. (ISBN 978-2-85480-689-2 et 2854806891, OCLC 45591057)
- B.-L. Delouvier, « Sainte-Vaubourg par la grâce du duc de Normandie », Itinéraires de Normandie, no 9, (ISSN 1950-9324)
- Frédéric Épaud, De la charpente romane à la charpente gothique en Normandie, CRAHM, 2007 (ISBN 978-2-902685-39-4) p. 553-563 Prix La Reinty 2007 de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen.
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, éditions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Un Val est une forme de relief au sens plus restreint que celui de la vallée.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Val-de-la-Haye et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Val-de-la-Haye et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen. Reg. 11 f. 48.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 741.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1012.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, 1979, p. 158.
- « L’association Le Mesnil-Esnard 2020 se positionne en vue des prochaines municipales : La liste qui émane de l’association Le Mesnil-Esnard 2020, s’étoffe petit à petit. Ses deux meneurs rêvent de redonner à leur commune son standing », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Le second, directeur d’usine à la retraite, fut maire du Val-de-la-Haye jusqu’en 2008 ainsi que vice-président en charge des petites communes à l’Agglo de Rouen ».
- « Étienne Hébert, maire de Val-de-la-Haye, ne se représentera pas en 2020 : Étienne Hébert, élu en mars 2008, a annoncé qu’il ne briguerait pas un troisième mandat en 2020 », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales à Val-de-la-Haye : Pascal Delaporte mène la liste « Val Horizons » », Paris-Normandie, (Pascal Delaporte, 56 ans, mène une liste « Val Horizons » pour insuffler des projets valorisant les atouts du village, consulté le ).
- « Municipales 2020. Pascal Delaporte élu maire de Val-de-la-Haye : L’ancien maire Étienne Hébert a remis les clés de la mairie à son successeur lors du conseil municipal à Val-de-la-Haye », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Ancienne commanderie de Sainte-Vaubourg », notice no PA00101073, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00021572, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00021561, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00021562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Sirot 2007, p. 71.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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