Vétraz-Monthoux
Vétraz-Monthoux[Note 1] est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération du Grand Genève. Elle est née de la fusion des communes de Vétraz et de Monthoux au XIXe siècle.
Vétraz-Monthoux | |||||
Panorama. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Saint-Julien-en-Genevois | ||||
Intercommunalité | Annemasse - Les Voirons Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Patrick Antoine 2020-2026 |
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Code postal | 74100 | ||||
Code commune | 74298 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
9 003 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 1 266 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
190 486 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 10′ 30″ nord, 6° 15′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 400 m Max. 573 m |
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Superficie | 7,11 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Genève (SUI)-Annemasse (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Genève (SUI)-Annemasse (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gaillard | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | vetraz-monthoux.fr | ||||
Géographie
Vétraz-Monthoux est une commune située dans le département de la Haute-Savoie, dans l'agglomération d'Annemasse, non loin de Genève.
Sa position sur une colline, entre la vallée de l'Arve et le plateau d'Annemasse et dominée par le Haut-Monthoux, lui donne une physionomie particulière. L'habitat se divise grosso modo en trois zones : le chef-lieu (qui inclut aussi une partie basse jouxtant Annemasse), Haut-Monthoux et Bas-Monthoux.
La colline de Monthoux culmine à 571 m[4].
Communes limitrophes
Annemasse | ||||
N | Cranves-Sales | |||
O Vétraz-Monthoux E | ||||
S | ||||
Étrembières | Arthaz-Pont-Notre-Dame |
Urbanisme
Typologie
Vétraz-Monthoux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 35 communes[8] et 190 486 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (59,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,3 %), terres arables (17,5 %), forêts (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,2 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Vétraz-Monthoux provient de l'union des communes de Vétraz et de Monthoux, en 1818[14].
Le nom Vétraz (Vitraz en 1203) viendrait du latin Vitrius, dérivé de Victor/Victorius, avec le suffixe -acum pour désigner un nom de lieu (Vitriacum)[15].
En arpitan, le nom de la commune s'écrit Vtrâ, selon la graphie de Conflans[16].
Histoire
Histoire de Monthoux
Au Moyen Âge, Monthoux est le chef lieu d'un mandement qui s'étend sur les paroisses de Haut et Bas-Monthoux, Annemasse, Cranves-Sales et Vétraz.
Le premier document où se trouve mentionné Monthoux (« Montheus ») est une charte de 1142 signalée par Amédée de Foras dans l’armorial et nobiliaire de Savoie : « Guillaume Ier, quatrième comte de Genève, fils d’Amédée Ier, déjà mentionné par son père dans la charte de Monthoux en 1142 ». À partir de 1245, la liste des seigneurs de Monthoux est connue.
À cette date, le château appartenait à la maison de Faucigny ; Aimon II de Faucigny est cité dans une bulle du pape Innocent IV, datée de Lyon du 15 des calendes de au sujet du château et de la chapelle de Monthoux.
Le château de Monthoux changea plusieurs fois de propriétaires entre 1245 et le début du XVIe siècle. Amédée de Viry se porte acquéreur du château entre 1484 et 1504. Il passe ensuite à Armand Goyet, en 1505 puis est racheté par Amédée de Viry en 1510, passe à Michel de Viry en 1525. Vendu à Antoinette du Saix en 1528, il est racheté par Michel de Viry en 1532.
Par acte fait à Coppet, au château du lieu-dit, le , le seigneur Michel, baron de Viry et dame Pauline de Vergy, sa femme, vendent à Noble Michel Guillet, tant en son nom que de Noble Jehan Guillet, son frère, le château et mandement de Monthoux, avec ses fidélités, censes, hommages, servis, tailles, usages, tributs, fruits, fiel et direct domaine, moulins, batteurs, cours d’eau et autres artifices, pasqueraiges, alpages, droits et actions, et toutes choses appartenantes et dépendantes dudit château pour le prix de 1400 écus d’or et 600 écus d’or pour droit de rachat et aussi les droits de racheter les dîmes qui se trouvent près de Collonges des Nobles Georges et Antoine de Livron.
En janvier-, les Bernois s’emparent de Monthoux (7e siège). Ils vendirent le château au baron de Viry mais celui-ci ne le conserva pas longtemps ; il fut obligé, par le Conseil de Berne, de le restituer aux Nobles Guillet avec tout le bien qu’il leur avait pris. Le de la même année, le seigneur Michel, Baron de Viry et Pauline de Vergy, font à Chambéry un accord avec Nobles Michel et Jehan Guillet. Ils sont convenus que pendant deux ans, il sera loisible aux mariés de Viry de racheter le mandement de Monthoux moyennant la restitution de 2600 écus d’or. Cet accord n’empêche pas un long procès entre les deux parties devant le Parlement de Chambéry.
L’arrêt du déboute le seigneur de Viry pour le rachat de la terre de Monthoux qui s’étend depuis l’eau de la Menoge jusqu’à Möellesulaz, de l’Arve jusqu’à l’eau de la Chanfousaz, et depuis Petrousaz jusqu’au mandement de Gaillard, partie de Ville-la-Grand (acte de reconnaissance du des frères Guillet, seigneurs de Monthoux envers Jacques de Savoie-Nemours). Le , Michel Guillet, seigneur de Monthoux obtient de Jacques de Savoie, duc de Nemours et de Genevois, l’autorisation de faire une foire annuelle à Monthoux le lendemain la Nativité de Notre-Dame, le .
Le , les Genevois s’emparent de Monthoux et y mettent une garnison (8e siège). Charles Emmanuel, duc de Savoie rentre du Piémont, libère Monthoux à la fin août. Un traité de paix est signé à Nyon le . Le duc laissant en Savoie son fils naturel, Don Amé en qualité de lieutenant-général, retire ses troupes mais aussitôt les Genevois reprennent l’offensive. Le , les Genevois assiègent Monthoux. La garnison composée essentiellement de paysans ne se rendit pas et la place ne pût être prise. Le , les Genevois envoient six compagnies d’infanterie et deux de cavalerie avec six pièces de canon. Après avoir tiré 35 coups, et fait une brèche, elles entrèrent dans la place le à 4 heures du soir. La garnison, soit 36 hommes fut passée au fil de l’épée. Le château fut vidé et démoli (9e et dernier siège de Monthoux).
Les seigneurs de Monthoux furent par la suite activement et très honorablement mêlés aux ducs de Savoie pendant deux siècles.
Plus près de nous, après neuf générations de possession de Monthoux, la famille Guillet de Monthoux va s’éteindre avec Othon Guillet de Monthoux, né en 1762, mort en 1841. Il avait épousé Elisabeth Willelmine de Budé dont il eut quatre filles.
L’aînée, Augustine-Elisabeth, épousa Alexis, Gabriel, Joseph Foncet de Montailleur, major dans les armées du roi, chevalier de Malte, chevalier des Saints Maurice et Lazare, comte de Marcossey. Augustine-Elisabeth fut l’héritière de l’assiette de l’ancien château de Monthoux.
Elle voulut perpétuer le souvenir de ses ancêtres ainsi que celui du château qui par sa situation sur la frontière a joué un certain rôle dans notre histoire savoyarde. Elle décida alors de faire construire une chapelle sur l’emplacement de l’ancien donjon ainsi qu’une maison d’habitation avec dépendances. La construction de la chapelle fut achevée en 1863 année où furent transférées dans la crypte les dépouilles de la famille de Monthoux. Elle mourut en 1875, sans héritier direct. Ses biens passèrent à ses neveux qui, pour respecter ses dernières volontés, vendirent en 1893 la chapelle, la maison et dépendances ainsi que le jardin à la bourse des Pauvres Clercs du diocèse d’Annecy.
Pèlerinage
Au Moyen Âge, avant le XVIe siècle, la paroisse, qui possède des reliques, est le lieu d'un pèlerinage en faveur de saint Albin ou Aubin, censé pouvoir guérir les enfants rachitiques ou infirmes[17]. Il s'effectuait dans une chapelle située hors de l'église, et rayonnait sur toute la partie nord des Alpes[18].
Période contemporaine
Entre 1780 et 1837, Vétraz-Monthoux fait partie de la province de Carouge, division administrative des États de Savoie, avant d'être rattachée à la province du Faucigny (1837-1860).
En 1803, la paroisse de Monthoux s'unit à celle de Vétraz[14]. En 1818, Vétraz et de Monthoux fusionnent pour former la nouvelle commune de Vétraz-Monthoux[14].
Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 55[21] ou 112 pour la commune, parmi elles 2 membres du conseil syndical[22]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[23].
En 1868, le hameau de Rosse est uni à la commune de Cranves-Sales, par décret du [14].
En 1975, le diocèse d'Annecy cède les biens de Monthoux à la commune de Vétraz-Monthoux.
Politique et administration
Liste des maires
Depuis 1944, sept maires se sont succédé à la tête de la commune :
Économie
Les deux bassins d'emploi importants liés à la commune sont Genève et Annemasse. Vétraz-Monthoux compte environ 2 500 actifs, dont 30 % de frontaliers. Le taux de chômage se situe autour de 5 %.
Les secteurs industriel et artisanal sont fortement représentés sur le territoire de la commune, aux dépens des services et des commerces[24].
Population et société
Ses habitants sont appelés les Vétraziens[14].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2019, la commune comptait 9 003 habitants[Note 5], en augmentation de 15,7 % par rapport à 2013 (Haute-Savoie : +7,33 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune de Vétraz-Monthoux est située dans l'académie de Grenoble. Elle comporte trois groupes scolaires.
Santé
La commune accueille le centre médico-psychologique adultes Joseph-Daquin.
Médias
La télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le patrimoine de la commune se partage entre les deux anciennes paroisses :
- Vétraz
- l’église Saints-Pierre-et-Paul, reconstruite au XIXe siècle[29] ;
- le pont de la Ménoge (début XIXe siècle ?)[29] ;
- Monthoux
- château de Monthoux, également le siège d'une châtellenie[30],[31].
- église de la Nativité de Notre-Dame, convertie en maison d'habitation[30] ;
- chapelle édifiée sur l'ancien emplacement du château[30] ;
- Autres patrimoine
- Pèlerinage de saint Albin ou Aubin
- Une ancienne demeure d'Alain Delon.
Personnalités liées à la commune
- Mohammed ben Zayed Al Nahyane, prince héritier et ministre de la Défense de l’émirat d'Abou Dabi séjourne depuis des décennies l’été[32], dans une propriété familiale située dans la commune, une vaste résidence avec jardins dite « palais Al-Nahda », pour laquelle a été déposée une demande d’autorisation d'aménagement d’une hélistation[33].
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune de Vétraz-Monthoux bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[34].
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 128-130 « Vétraz-Monthoux ».
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- site de l'Office de Tourisme d'Annemasse et Agglomération
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Le -az final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la première syllabe[1],[2],[3].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[19],[20].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Henri Dénarié, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges, (lire en ligne) (Article publié dans le numéro 13 de La Voix des Allobroges, été 2007)
- Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard, (lire en ligne).
- « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
- site de la ville
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Vétraz-Monthoux », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Voir :
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, présentation en ligne), p. 198.
- Roger Devos, Vie et traditions populaires savoyardes : Faucigny, Genevois, Tarentaise, Maurienne, Combe de Savoie, Éditions Horvath, , 191 p. (ISBN 978-2-7171-0519-3), p. 20.
- Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
- Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
- Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, lire en ligne).
- Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 15.
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
- site de la ville
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 128, « Vétraz ».
- Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 128-130, « Monthoux ».
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 35-38.
- https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2021/07/25/en-haute-savoie-un-gisement-de-vacanciers-venus-des-emirats-arabes-unis_6089462_4500055.html
- [PDF] http://www.auvergne-rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/formulaire-87.pdf
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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