Vitrac-Saint-Vincent

Vitrac-Saint-Vincent est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Vitrac-Saint-Vincent

Le bourg de Vitrac-Saint-Vincent vu de l'est.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Pierre Soulat
2020-2026
Code postal 16310
Code commune 16416
Démographie
Population
municipale
506 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 48″ nord, 0° 29′ 40″ est
Altitude Min. 116 m
Max. 254 m
Superficie 22,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Vitrac-Saint-Vincent
Géolocalisation sur la carte : France
Vitrac-Saint-Vincent
Géolocalisation sur la carte : Charente
Vitrac-Saint-Vincent
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vitrac-Saint-Vincent

    Géographie

    Localisation et accès

    Vitrac-Saint-Vincent est située à l'est de la Charente, aux portes de la Charente limousine, entre Chasseneuil et Montembœuf, 31 km au nord-est d'Angoulême.

    Le bourg de Vitrac est à km au sud-est de Chasseneuil, km au nord-ouest de Montembœuf, chef-lieu de son canton, 10 km à l'est de La Rochefoucauld, 12 km au sud-ouest de Roumazières-Loubert, et 28 km au sud de Confolens[1].

    À l'écart des grands axes de circulation, la commune est desservie par la D.60 qui va de La Rochefoucauld à Suaux et Saint-Claud et qui passe au bourg ; la D 27 de Montembœuf à Chasseneuil (qui va jusqu'à Villefagnan) passe au nord du bourg sur la crête, et la D 173 de Mazerolles à Chasseneuil qui lui est parallèle passe sur la crête au sud. La route nationale 141 entre Angoulême et Limoges, maillon occidental de la Route Centre-Europe Atlantique, passe km au nord-ouest de la commune et contourne Chasseneuil par le sud.

    La gare la plus proche est celle de Chasseneuil, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    Le village de Saint-Vincent est situé à km au nord-ouest de celui de Vitrac, en direction de Chasseneuil.

    La commune compte quelques gros hameaux :

    • Villebœuf au sud-ouest, sur la D 60 ;
    • Chez Galardou au nord du bourg sur la D 27 ;
    • Margnac au nord-est sur la D 60.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Vitrac-Saint-Vincent
    Suaux
    Chasseneuil Cherves-Châtelars
    Saint-Adjutory Montembœuf

    Géologie et relief

    L'ensemble de la commune est sur un plateau fortement incliné vers le nord-ouest, en appui sur le massif de l'Arbre au sud-est, premier mont du Massif central en venant de l'océan.

    Ce plateau est entrecoupé par de profonds vallons que forment des ruisseaux parallèles descendant du massif, et le bourg est niché dans une de ces vallées, qui s'évasent en allant vers le nord-ouest car les plateaux y sont plus bas.

    Le sol est calcaire du jurassique inférieur, mais recouvert par un sol détritique d'argile rouge à silex datant du tertiaire et descendant du Massif central. Seule l'extrémité Est de la commune, en fond de vallée de Puyravaud, est occupée par du micaschiste, roche métamorphique du massif primaire qui commence à cet endroit et marquant la fin du Bassin aquitain[2],[3],[4].

    La grotte du Cluzeau, au sud-est du bourg, est une grotte calcaire.

    Le point culminant de la commune, d'altitude 254 m, est donc naturellement au sud-est au lieu-dit le Breuil. Le point le plus bas, 116 m, est sur la Bonnieure, au pied de Chez Fauquet au nord de la commune.

    Le fond du bourg de Vitrac est à l'altitude de 154 m, et le haut du bourg (Chez Galardeau ou la Grange) est à l'altitude de 180 m.

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par la Bonnieure, le Rivaillon, la Gane, la Retéssière, le ruisseau des Pennes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[6],[Carte 1].

    La commune est traversée du sud-est vers le nord-ouest par des ruisseaux parallèles qui descendent du Massif de l'Arbre et des communes de Montembœuf et Mazerolles, et qui se jettent tous dans la Bonnieure, affluent de la Charente, dans la commune de Chasseneuil à km à peine après leur sortie de la commune.

    Le Rivaillon prend sa source près de Montembœuf, et passe au bourg de Vitrac et aussi à Saint-Vincent.

    Le ruisseau du Maine Goidou (ou la Gane), parallèle et à peine plus au sud, naît quasiment dans la commune, en limite de celle de Saint-Adjutory.

    La Retessière, ruisseau plus petit prenant sa source à la fontaine de la Broue, fait la limite sud-ouest de la commune.

    La Bonnieure en amont de Chasseneuil marque la limite nord de la commune.

    Il faut compter aussi de nombreuses fontaines et retenues d'eau facilitées par la terre argileuse.

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[7]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [8].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé de par le relief surtout à l'est de la commune.

    Végétation

    La commune est assez boisée, principalement à l'est. Le reste se partage surtout en riches prairies propices à l'élevage. L'ouest de la commune comporte plus de terres agricoles (céréales, fourrage).

    Urbanisme

    Typologie

    Vitrac-Saint-Vincent est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,8 %), forêts (24,6 %), prairies (19,3 %), terres arables (15,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Vitrac est attesté sous la forme ancienne Vitraco en 1389[15].

    L'origine du nom de Vitrac remonterait à un nom de personne gallo-romain Victorius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Victoriacum, « domaine de Victorius »[16],[Note 2].

    Saint-Vincent est attesté sous la forme ancienne Sanctus Vincenthus (non datée). Vincent, diacre de Saragosse, a été martyrisé à Valence en 304[17].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[18]. Elle se nomme Vitrac en occitan[19].

    Histoire

    Des vestiges attestent l'ancienneté de l'occupation dans la commune.

    La voie romaine d'Agrippa, de Saintes à Lyon par Saint-Cybardeaux et Limoges, traversait la commune du sud-ouest au nord-est par Saint-Vincent et Margnac[20]. Des traces, à flanc de coteau, lui ont été attribuées près de la Vallade[21].

    Les traces d'un camp antique ont été retrouvées au nord de la commune, à 100 m au nord du hameau de Chez Fauquet (aussi orthographié chez Fouquet) et surplombant la vallée de la Bonnieure; il fait 100 mètres de côté environ. Il est proche de celui des Peines, sur la commune de Chasseneuil[22],[21],[Note 3].

    Au Moyen Âge, l'église de Vitrac était le siège d'un prieuré régulier, membre de l'abbaye de Saint-Maixent, dans les Deux-Sèvres. Conventuel à l'origine, ce prieuré a subsisté jusqu'à la fin du XVe siècle. Dès l'année 1580, le logis prieural tombait en ruines[23].

    La famille de Mascureau est seigneur de Puyraveau au XV et XVIeme siècle. Le château de Saint-Vincent a appartenu aux familles de James puis de La Forterie, avant d'être la propriété après 1904 du marquis Horric de la Mothe-Saint-Genis[24].

    En 1789, après la Révolution, les communes de Vitrac et de Saint-Vincent sont formées à partir de leurs paroisses respectives. Entre 1801 et 1806, les deux communes fusionnent[25].

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une minoterie[23].

    Juste avant la Seconde Guerre mondiale, le , les habitants de Siersthal en Moselle sont sommés de quitter leurs habitations, et sont accueillis dans leur exode par les habitants de Vitrac-Saint-Vincent où ils arriveront le . Ils y resteront pendant une année et des liens se sont noués entre les deux communes.

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2014 Alain Compin SE Agriculteur
    2014 En cours Pierre Soulat    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2019, la commune comptait 506 habitants[Note 4], en diminution de 2,5 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1471 1921 1201 1831 4431 3651 4191 4221 312
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 2501 2241 0971 0801 1491 1891 1631 1281 072
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 057992902863815773715689626
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    545534514513512519526515516
    2019 - - - - - - - -
    506--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 264 hommes pour 250 femmes, soit un taux de 51,36 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2 
    90 ou +
    2,1 
    6,6 
    75-89 ans
    10,3 
    27,7 
    60-74 ans
    22,6 
    22,7 
    45-59 ans
    23,0 
    18,0 
    30-44 ans
    18,9 
    7,8 
    15-29 ans
    8,6 
    16,0 
    0-14 ans
    14,4 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Remarques

    Vitrac a absorbé Saint-Vincent (77 habitants) avant 1806[25].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Montembœuf et Vitrac-Saint-Vincent. Montembœuf accueille l'école élémentaire et Vitrac l'école maternelle, avec deux classes. Le secteur du collège est Montembœuf[31].

    Vie locale

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L'église paroissiale, ancien prieuré Saint-Maixent, est un édifice roman des XIIe et XIIIe siècles, dont la nef a été remaniée au XVe siècle.
    • Fontaine Saint-Maixent, située derrière l'église, elle était une fontaine de dévotion.
    • La chapelle de Saint-Vincent, situé à Saint-Vincent, à 500 m du logis du même nom.

    Patrimoine civil

    Lac de Puyravaud.

    Patrimoine environnemental

    • Le lac de Puyravaud.
    • La grotte du Cluzeau est située à 500 m en amont du bourg, dans la vallée du Rivaillon, sur sa rive gauche.

    Personnalités liées à la commune

    • La chanteuse belge Lio a habité Vitrac-Saint-Vincent pendant quelques années (entre 1993 et 1999)[réf. souhaitée].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. L'origine est la même pour Vitrac en Dordogne, Vitrac dans le Puy-de-Dôme, Vitrac-sur-Montane en Corrèze, Vitrac-en-Viadène dans l'Aveyron. Les formes sont Vitré et Vitry dans la moitié nord de la France.
    3. Rien n'indique l'époque de ces camps. Ils peuvent être médiévaux, comme le camp de Sainte-Sévère sur la voie d'Agrippa près de Jarnac, qu'on a dit romain.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Vitrac-Saint-Vincent » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    3. Carte du BRGM sous Géoportail
    4. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    5. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    6. « Fiche communale de Vitrac-Saint-Vincent », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    7. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    8. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 186
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 727.
    17. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    18. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    19. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    20. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 159
    21. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 153
    22. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 151
    23. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 412
    24. Société archéologique et historique de la Charente, Bulletins et mémoires, Constantin, , p. XLIX
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vitrac-Saint-Vincent (16416) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. « Forge de Puyravaud (notice) », notice no IA00066421, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Forge de Puyravaud », notice no PA00132806, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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