Voyennes
Voyennes est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la communauté de communes de l'Est de la Somme.
Voyennes | |||||
La mairie-école. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Est de la Somme | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Lemaître 2020-2026 |
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Code postal | 80400 | ||||
Code commune | 80811 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Voyennois | ||||
Population municipale |
591 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 67 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 46′ 21″ nord, 2° 59′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 77 m |
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Superficie | 8,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.commune-voyennes.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune est un bourg picard rural, situé entre Nesle et Ham.
La ligne d'Amiens à Laon traverse le sud du territoire communal. La gare de Voyennes-Hombleux a été fermée en 1973 à cause d'un nombre insuffisant de voyageurs aux yeux de la SNCF.
Communes limitrophes
Transports en commun routiers
La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 52, Nesle - Hombleux - Ham)[1].
Hydrographie
La commune est traversée par l' fleuve côtier la Somme ainsi que par le canal de la Somme.
En raison d'un envasement croissant, le canal de la Somme n'est plus navigable de Saint-Simon à Offoy, depuis 2000 pour la navigation de commerce et 2004 pour tout bateau[2].
Voyennes se situe au confluent avec ce canal de la Somme et du canal du Nord à gabarit supérieur permettant le passage de péniches de 900 tonnes ouvert en 1965.
Un tronçon de 20 km de Voyennes à Péronne a été élargi au gabarit du canal du Nord.
La liaison avec le canal du Nord devient alors le seul débouché pour les péniches. Dans les années 1960, 300 000 tonnes de marchandises transitaient encore par le canal de la Somme : betteraves acheminées vers les sucreries, céréales, engrais, charbon, etc. Depuis, le trafic marchand n’a cessé de décroître, laissant place aux bateaux des plaisanciers.
Urbanisme
Typologie
Voyennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,8 %), zones urbanisées (8,4 %), forêts (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), eaux continentales[Note 2] (4,2 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Étymologiquement, on trouve, en 826, 880 et 910, le nom de « Vienna », en 1143, « Voianna », en 1215, « Vouiane » et, en 1254, « Voenne »[réf. nécessaire].
Histoire
Époque gallo-romaine
Quelques ossements et armures de l'époque gallo-romaine ainsi que des documents ont été mis au jour dans le village[réf. nécessaire].
Un cimetière gallo-romain a été signalé sur le territoire de Voyennes[réf. nécessaire]. Le lieu exact de son implantation n'a pas été découvert.
Moyen Âge
En 1415, le roi Henry V d’Angleterre passe la Somme à Voyennes, avant la funeste journée d’Azincourt.
Les Templiers
Plusieurs sources[Lesquelles ?] confirment la présence d’un fort templier sur le territoire de Voyennes : « En 1182, le chapitre de Noyon avait acensé à Nivelon de Montdidier, maître du Temple dans le diocèse de Noyon (il n'y avait pas encore de baillie de Vermandois), ses moulin, chaussée et pêcheries de Voyennes, moyennant dix muids de froment et 40 sols de monnaie de Vermandois. Les frères du Temple s'engageaient à payer le cens convenu, à Noyon, le transport du grain étant à leur charge, et à souffrir le libre passage sur la chaussée des chevaux, des voitures à deux et quatre chevaux et autres véhicules du chapitre. Quant aux chanoines, ils devaient veiller à ce que leurs hommes allassent au moulin des Templiers et non à un autre[10] ».
Aujourd'hui, les Templiers laissent leur nom à une impasse, à un chemin pédestre et une association dans la commune fait découvrir leur mode de vie.
Temps modernes et contemporains
- La cité d'eau
Voyennes est une cité d’eau, le canal de la Somme, la rivière Somme, les étangs et marais sont représentatifs de ce village.
Les nombreux maraîchers en activité au début du siècle précédent ont marqué de leur présence l’activité économique du village.
Les hardines (nom donné aux jardins de marais à l’est de la Somme) ont fait vivre de longues années les familles de maraîchers de la région.
La plupart des productions des marais étaient vouées à l'exportation via le canal (transport par bateau à cheval) ou par le tortillard en gare de Voyennes, situé de l'autre côté du pont du canal.
Concernant la construction du canal de la Somme, les travaux commencent en 1786 mais doivent être interrompus dès 1793 devant les difficultés techniques (impossibilité de fonder les écluses dans le lit d'alluvions). Les travaux ne reprennent que sur ordre de Bonaparte en 1802, qui envisage de faire de Saint-Valery-sur-Somme un port de guerre ; ils se poursuivent en 1810 avec emploi de prisonniers de guerre espagnols aux travaux de terrassement[11]. Sous la Restauration, la concession est attribuée en 1822 par décret au banquier Pierre-Urbain Sartoris († 1833), qui envisage le doublement de la rivière par un canal maritime jusqu'à Saint-Valery-sur-Somme[12].
En 1827, Charles X inaugure lui-même le canal de la Somme qui sera achevé, tel que nous le connaissons aujourd’hui.
- Le Tortillard
Voyennes est également, au début du siècle précédent, un nœud de transport important. Le canal et le tortillard sont largement utilisés pour le transport de marchandises et de personnes. Le réseau était équipé d'une voie unique à écartement métrique, les croisements de trains se faisant dans les gares. La voie du réseau départemental était armée en rails Vignole de 15 et 20 kg/m, comme cela se pratiquait sur les divers réseaux gérés par la Société générale des chemins de fer économiques. Vu le faible nombre de trains en circulation sur la ligne, il n'y avait pas de signalisation, si ce n'est aux bifurcations et à l'embranchement de la ligne d'Offoy à Ercheu.
Le célèbre tortillard est très actif, c’est le moyen de transport en commun idéal pour le déplacement des populations rurales, aller au marché vaut à notre époque, les courses à l’Hyper Marché. Le tortillard comptait deux voies et trois gares sur la commune, la plus célèbre est la Rusticana en direction d'Offoy, qui servait de gare de marchandises (produits agricoles). Une autre gare est encore visible au sein du village, rue de la Gare, à l'architecture en brique typique du début du XXe siècle.
Le tortillard est détruit par les Allemands lors de leur retraite pendant l'automne 1944.
Le tortillard est fermé en 1954 à la suite de l'évolution exponentielle du nombre d'automobiles. Le nombre de passagers est alors insuffisant pour continuer de faire fonctionner ce mode de transport dans les meilleures conditions économiques. Ce fut le cas pour la plupart des petites lignes de la région.
La Première Guerre mondiale a amené l’occupant à manifester une forte présence à Voyennes. Plusieurs cartes postales éditées par les Allemands illustrent cette période de l’histoire du village.
Au cours de cette même période, le village a payé un lourd tribut à cette guerre ; les cimetières militaires provisoires et les ruines de l’époque en témoignent.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[13].
Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [14].
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Voyennes, occupée une fois de plus pendant la Seconde Guerre mondiale, fut libérée par les alliés le .
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nesle[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Ham, dont elle est désormais membre.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[16], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[17].
La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[18],[19].
Politique locale
La municipalité a décidé en 2017 de doter la commune d’installations de vidéosurveillance[20].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2019, la commune comptait 591 habitants[Note 3], en diminution de 5,74 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui rassemble en 2018 les écoles de Voyennes (maternelle et CM1-CM2), de Matigny (CE2 et CM1) et Sancourt (CP-CE1). Toutefois, le syndicat intercommunal qui gère cette structure construit à Monchy-Lagache les locaux d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) qui rassemblera l'ensemble des enfants à la rentrée 2019.
La municipalité critique ce choix, estimant que le transport des enfants à Monchy-Lagache coûtera cher, et le maire souhaite que les enfants soient scolarisés à Nesle, la commune quittant alors le syndicat intercommunal scolaire des 9 clochers (SISCO), qui regroupe en 2018 Croix-Moligneaux, Douilly, Matigny, Offoy, Quivières, Sancourt, Ugny-l'Équipée , Voyennes et Y[31].
L'école de Voyennes, désaffectée à la rentrée de 2019, servira à étendre les locaux de la mairie, le surplus étant transformé en logement communal[32].
Manifestations culturelles et festivités
Plusieurs associations dans le village développent une offre culturelle diversifiée ainsi que diverses manifestations (une vingtaine) tout au long de l'année. La culture est au centre des préoccupations communales et de l'intercommunalité[réf. nécessaire].
- Le salon des collectionneurs qui a pour but de favoriser les échanges entre collectionneurs, la vente et l'achat de biens de collections. Ce salon se déroule tous les ans le 3e dimanche de février.
- Prémices d'été, salon des peintres annuel, le 3e week-end de juin. Il a pour but d'apporter la culture dans le monde rural et se veut être un tremplin pour les peintres régionaux afin qu'ils acquièrent de la notoriété. Plusieurs peintres cotés sont invités chaque année.
- La fête communale existe depuis la Seconde Guerre mondiale. Elle a lieu tous les ans, le dernier week-end du mois d'août. La fête veut rassembler l'ensemble des habitants, des associations et collectivités locales afin de profiter d'un moment de convivialité. La manifestation s'est développée au fur et à mesure des années pour maintenant se tenir sur quatre jours (du vendredi au lundi).
- Le salon du modélisme organisé le premier week-end d'octobre rassemble les amoureux du modélisme et du modèle réduit.
- Des salons d'ateliers créatifs sont organisés deux fois par an, à la suite de la demande des clubs et associations locales.
- À Voyennes, les géants sont présents et animent la fête communale tous les ans[33].
Une importante association de pêche, la Perche, siège à Voyennes[34].
Économie
Avec ses quatre fermes en activité[Quand ?], ses maraîchers et ses commerces, Voyennes est aujourd’hui un village dynamique qui a su exploiter au mieux la richesse de sa nature.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église moderne Saint-Étienne
- Avant la guerre 1914-1918, l’église, vocable Saint-Étienne, était un précieux monument d’époque romane, riche de moulures dentelées autour des fenêtres et d’un magnifique bas-relief en pierre bleue sur le pignon du portail[35],[36],[37]. Il reste de l’ancienne église, un bas-relief en pierre, témoin de la splendeur de ce monument.
- L'église de Voyennes, qui avait subi des dégâts pendant la guerre franco-allemande de 1870, a servi d'infirmerie dès 1914 aux troupes allemandes, avant d’être détruite lors des épisodes de la bataille de la Somme.
- Elle fut reconstruite en 1928, dans un style assez proche de l'original, les dommages de guerre permirent une reconstruction plutôt satisfaisante. La bénédiction des cloches eut lieu le . Un document d'époque nous donne leurs noms ainsi que leurs caractéristiques (Jeanne d'Arc, 450 kg ; Etiennette, 320 kg ; Victoire, 230 kg).
- L'église a été de nouveau détruite en 1940 par un bombardement aérien. L’église actuelle a été rebâtie en 1955 sur le même emplacement, à côté du monument aux morts.
- La grotte à la Vierge
- En 1961, un Voyennois entreprit, avec quelques amis, la construction d'une grotte dédiée à Marie à proximité de l'église.
- Le monument aux morts
- Le projet de monument fut accepté par le maire de Voyennes le , le dessin est le fruit d'un architecte d'Amiens.
- Le eut lieu l’inauguration du monument élevé à la mémoire des enfants de la commune morts pour la France ; cet évènement est largement représenté par des cartes postales de l’époque. À l'occasion de cette inauguration, une messe fut donnée par Mgr l'évêque, dans l'église détruite.
- Le monument aux morts de Voyennes fut le premier monument inauguré de la région. Ce monument porte la Croix de guerre comme beaucoup d’entre eux dans le département de la Somme.
- Les hardines
- En allant vers le hameau de Buny, autrefois indépendant, on peut apercevoir les hardines, cultures de marais qui subsistent encore de ce côté de la Somme. Certaines hardines (jardins de marais) sont encore visibles aujourd’hui le long des étangs communaux gérés par la Société de pêche (450 membres pour 600 habitants).
- La Ronde des Templiers, circuit pédestre de 3,5 km dans la vallée de la Somme, à la rencontre de la fée des marais, statue de cinq mètres de haut[38].
- La Somme
- Les étangs et canaux. Des parts de pêche sont louées au profit de la commune dans l'étang dont les berges sont consolidées par des planches pour la sécurité[39].
- Élevage d'escargots.
- Calvaires des routes de Nesle, Ham et d'Hombleux.
- Monuments détruits par les guerres
Beaucoup de monuments, de sites et d'entreprises n'ont pas résisté aux assauts des guerres successives qui se sont déroulées à Voyennes. On peut lister aujourd'hui la disparition de :
- la sucrerie ;
- la briqueterie ;
- le château de Voyennes ; situé à Buny, il est complètement détruit au cours de la Première Guerre mondiale[40] ;
- le port du canal ;
- les bâtiments ferroviaires.
Personnalités liées à la commune
- André Audinot (1933-1986), député de la Somme, vivait à Voyennes.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Voyennes », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
- Vues anciennes du village
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Aude Collina, « La faune du canal est malicieuse », Le Courrier picard, édition Région d'Amiens, .
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Domaine du Temple de Voyennes (Somme) », Commanderies par département, sur http://www.templiers.net.
- Cf. coll., « Grand-Laviers et ses deux mille ans d'histoire » (décembre 2000), éd. F. Paillart, Abbeville
- Cf. Joseph Marie Quérard, La France littéraire: ou Dictionnaire bibliographique des savants, vol. VIII, Firmin Didot, , p. 461.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16878.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
- V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
- « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50, , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
- « Voyennes va se doter de caméras de surveillance », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les maires de Voyennes », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Deux élus mis à l'honneur », Courrier picard, , p. 16 A
- [xls] « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Toutes les écharpes ont trouvé preneur », Le Journal de Ham, nos 15/2014, , p. 2 (ISSN 0755-1398).
- « Le maire de Voyennes s’engage dans le parti bonapartiste : Jean-Pierre Lemaître, passionné de Napoléon, a décidé de franchir le pas en politique », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « C’est un parti de droite dure, où règne la discipline militaire et qui, en cas de prise de grandes décisions, fera appel au peuple comme le faisait avant le Général de Gaulle », déclare l’édile de Voyennes, qui en est l’un des premiers adhérents ».
- « Le maire de Voyennes dans la course aux Municipales 2020 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Après deux mandats de conseiller municipal et un autre en tant que premier magistrat de Voyennes (640 habitants), Jean-Pierre Lemaitre compte bien se représenter aux Municipales 2020. ».
- Vincent Fouquet, « Jean-Pierre Lemaître décroche un deuxième mandat de maire à Voyennes », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Syndicat intercommunal scolaire des 9 clochers (N° SIREN : 200039402) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
- Justine Esteve, « Les élèves bientôt à l’école de Nesle ? : Membre du SISCO, la commune de Voyennes souhaite en sortir pour que les élèves puissent aller à l’école de Nesle à partir de septembre 2019 », Le Journal de Ham, no 62, , p. 13.
- Vincent Fouquet, « Dans les entrailles de Jaques, Dudule et Armandine à Voyennes : L'association « T'chout Jaques » a ouvert ses portes samedi 27 mai pour découvrir les secrets ses géants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « La Perche de Voyennes réunit moins d'adhérents : Les adhérents à La Perche ont été moins nombreux en 2016. La société de pêche doit aussi s'adapter aux projets de la fédération », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Voyennes, d'après nature, 17 octobre 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelles : A) Sculptures romanes sur les murs de l'église de Voyennes, d'après nature, 17 octobre 1876. B) Fonts baptismaux de l'église de Pargny., d'après nature, 28 septembre 1877. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Carte postale ancienne éditée par la librairie Juniet-Rasse à Ham, no 14, série Environs de Ham : Église de Voyennes », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (consulté le ).
- « La Ronde des Templiers », Courrier picard, , p. 10.
- « Une partie des berges est consolidée », Courrier picard, , p. 15.
- « Un château oublié sous les champs : Ce château ayant appartenu à la famille De Blottefière a été complètement détruit en 1917 mais des vestiges doivent subsister. », Courrier picard, , p. 18-B.
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