Wittelsheim

Wittelsheim [vitəlsaɪm] (en dialecte alsacien : Wittelsà) est une commune de la banlieue de Mulhouse[1] située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est (anciennement Région Alsace). Elle est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3].

Wittelsheim

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Yves GOEPFERT
2020-2026
Code postal 68310
Code commune 68375
Démographie
Population
municipale
10 362 hab. (2019 )
Densité 439 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 48′ 21″ nord, 7° 14′ 18″ est
Altitude Min. 239 m
Max. 285 m
Superficie 23,63 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mulhouse
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wittenheim
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Wittelsheim
Géolocalisation sur la carte : France
Wittelsheim
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Wittelsheim
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Wittelsheim

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Ses habitants sont appelés les Wittelsheimois et les Wittelsheimoises.

    Géographie

    Urbanisme

    Typologie

    Wittelsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[7] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (43,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,6 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisées (17,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), prairies (5,1 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), eaux continentales[Note 3] (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Les vestiges découverts à Wittelsheim témoignent d’une occupation humaine depuis l’Âge du Bronze ancien (de -2 400 à -1 600) avec 24 sites répertoriant des découvertes allant d'objets isolés, comme d'épées de type « Rixheim » (Bronze final I-IIa ; -1 300 à -1 100), à une nécropole tumulaire datant de la période du Hallstatt et de La Tène et un tronçon de la voie romaine d'Epomanduodurum au Mons Brisiacus[14] La région est donc relativement peuplée lorsque les Romains conquièrent la Gaule. La plupart des historiens localisent entre Cernay et Wittelsheim la fameuse bataille d’Ochsenfeld (de l'allemand "plaine des bœufs") cadre de la victoire de César sur les guerriers suèves d'Arioviste en Une ère de paix commence, qui permet le développement de cette communauté agricole gallo-romaine.

    Une stèle funéraire datant du IIe siècle et portant des noms d'origine celtique romanisés[15] a été mise au jour au lieu-dit Rothmoos-Langhurst[16].

    Moyen Âge

    C'est en 1183 qu'apparaît pour la première fois, dans un texte écrit, la mention de Wittelsheim, alors écrit « Wittolsheim ». Par ce texte, le pape Luce III confirme au chapitre de Lautenbach ses possessions et ses privilèges parmi lesquelles figure cette commune. Wittelsheim est déjà alors une paroisse, possédant son église dont les chanoines nomment le curé. Pendant le Moyen Âge, Wittelsheim devient successivement fief de l'Évêché de Bâle[17], des seigneurs de Hagenbach, puis de la famille Rinck de Baldenstein.

    Wittelsheim eut au Moyen Âge une léproserie « Gueten Leut Haus » (de l'all. « maison des bonnes gens »)[18].

    Époque contemporaine

    Sous la Révolution, Wittelsheim devient une commune.

    En 1904, un gisement de potasse est découvert par Alfred et Amélie Zurcher, Jean-Baptiste Grisey et Joseph Vogt. Il assurera la prospérité de la région pour un siècle. En moins de trente ans Wittelsheim devient un grand centre industriel (MDPA). Sa population passe de 1 442 habitants en 1905 à 7 105 habitants en 1931, pour en compter plus de 10 000 dès 1968. Les cités minières, modèle d'habitat urbain, sortent de terre à partir des années 1920, afin d'héberger le flux de mineurs venus de Pologne, après que les puits de descente des hommes ou d'extraction du minerai aient été forés. Dès lors, toute l'organisation de la ville, son évolution sociale, son économie, le façonnement de son paysage. Wittelsheim vit au rythme de la mine.

    Bien qu'en constante évolution, Wittelsheim a gravement souffert des vicissitudes des conflits du XXe siècle.

    De 1914 à 1918, elle se trouva exposée aux feux des canons du Vieil Armand. A l'Armistice, le village est en ruines et déserté de sa population. La commune est décorée le de la croix de guerre 1914-1918[19].

    Après la défaite de 1940, Wittelsheim subit l'occupation nazie jusqu'au , où elle est reprise par la 1ère Armée française, après dix jours de combats terribles. Le centre-ville est détruit à 90 %. L'Entraide Française du Cher se donne pour mission d'aider cette commune d'Alsace particulièrement meurtrie à se reconstruire. Le , Wittelsheim est décorée de la croix de guerre 1939-1945[20].

    En 1982, Wittelsheim et Bürstadt, commune allemande du Land de Hesse, signent un pacte d'amitié et de jumelage

    Héraldique

    Les armes de Wittelsheim se blasonnent ainsi :
    « D'argent à la lettre majuscule W de sable brochante sur le fût d'une crosse de même. »[21]


    Géographie

    Arrosée par la Thur, bordée au sud par le massif forestier du Nonnenbruch, Wittelsheim est située au carrefour des départementales 2 et 19, à 12 km de Thann, 12 km de Mulhouse intra-muros et 33 km de Colmar. La commune est incluse dans l'unité urbaine de Mulhouse.

    Wittelsheim, est une commune du bassin potassique qui fait partie du Pays de la région mulhousienne. Elle est située au cœur de l'Ochsenfeld, et est fortement liée aux communes du nord-est (Staffelfelden, Pulversheim, Wittenheim, Richwiller, Reiningue, bassin potassique) de la région mulhousienne.

    Industrie

    Mines

    Mine Amélie.

    Découverte de la potasse en juin 1904.

    A quelques centaines de mètres sous terre, les galeries s’effondrent peu à peu sur les 44 000 tonnes de déchets hautement toxiques du centre de stockage Stocamine et pourraient contaminer la plus grande nappe phréatique d’Europe[22].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    À Wittelsheim, le vote du second tour de l'élection présidentielle 2017 a donné les résultats suivants : 56,37 % des suffrages pour Marine Le Pen (Front national) contre 43,63 % pour Emmanuel Macron (En marche !). Le taux d’abstention a été de 25,74 %[23].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Paul Habold    
    Jules Ebner[24] (1906-1976) MRP puis CD Ingénieur
    Conseiller général du canton de Cernay (1958 → 1970)
    René Arnold[25] (1932-2021) CD puis
    UDF-CDS
    Professeur de collège
    Charles Wilhelm[26] (1934-2011) UDF-CDS Electromécanicien des mines retraité
    Conseiller général du canton de Cernay (1993 → 2008)
    Pierre Vogt (1949- ) DVG Professeur de sport retraité
    Denis Riesemann[27] (1951-2016) UDI Pharmacien
    En cours Yves Goepfert (1961- ) DVD Ingénieur
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Wittelsheim a la particularité d'être l'unique commune de la banlieue de Mulhouse à ne pas avoir intégré Mulhouse Alsace Agglomération en 2010. Lors de la dissolution de la communauté des communes du bassin potassique, elle avait également refusé d'intégrer l'ancienne CAMSA. La commune se voit finalement malgré tout obligée par décision du préfet du Haut-Rhin en de s'agréger à l'intercommunalité[28],[29]. Néanmoins, cette décision est contestée par la municipalité, dont le maire souhaite rester en dehors de toute intercommunalité, ainsi que par l'association « Oui Thur/Doller » qui quant à elle préférerait un rattachement à la communauté de communes de Cernay et environs ou à celle du Pays de Thann. La ville ainsi que cette association ont déposé en 2012 un recours devant le tribunal administratif de Strasbourg[30]. Par ailleurs, en date de , le site officiel de la M2A ne mentionnait pas encore la ville de Wittelsheim parmi ses communes membres[31]. Finalement, un arrêté préfectoral du officialise le rattachement de Wittelsheim à la M2A, et après les derniers recours rejetés par le tribunal administratif de Strasbourg en [32], la commune intègre officiellement l'intercommunalité à partir du [33].

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[34] :

    • total des produits de fonctionnement : 9 693 000 , soit 905  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 8 858 000 , soit 827  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 4 614 000 , soit 431  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 5 185 000 , soit 484  par habitant ;
    • endettement : 4 866 000 , soit 454  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 11,33 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,79 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 78,48 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 10 362 habitants[Note 5], en diminution de 1,89 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +1,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8178978141 0581 1421 4001 5651 7101 778
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 7341 7771 6531 5701 5711 6281 6641 6111 556
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4361 4421 6291 9472 7707 1057 1547 1459 487
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9 78210 08810 03210 17710 45210 22610 70810 33510 432
    2019 - - - - - - - -
    10 362--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Wittelsheim a deux collèges publics d'enseignement secondaire, le collège Charles-Péguy et le collège Jean-Mermoz (site du collège Mermoz) et un lycée public polyvalent, le lycée Amélie-Zurcher. Il y a aussi la possibilité de prendre un bus réservé aux élèves de l'école et collège privés Champagnat.

    Environnement

    Il y aurait à Wittelsheim 42 000 tonnes d'amiante et de mercure (et de déchets électroniques), menaçant la nappe phréatique du Rhin[38]. Ces produits dangereux ont été stockés dans l'ancienne mine de potasse[39]. L'enquête publique a lieu du 7 au afin de statuer sur le devenir de ces déchets. Le dernier projet prévoyant de n'extraire que 1 760 tonnes de déchets mercuriels sur la totalité des déchets amiantés et terres polluées (métaux lourds) enfouies dans ces galeries mécontente les riverains[40].

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Michel.
    Wittelsheim, parc des Jardins du Monde, vue sur la fontaine du jardin espagnol.
    • L'église Saint-Michel[41],
    son orgue de tribune[42],
    et son orgue de chœur[43].
    • L'église de catholiques Notre-Dame-du-Rosaire[44].
    • L'église du Christ-Roi[45].
    • La chapelle Saint-Jean-Bosco de la cité Langenzuge[46].
    • Monuments commémoratifs[47],[48],[49].
    • Loisirs.
    Wittelsheim possède un golf 18 trous ouvert toute l'année et un des plus grands bowlings d'Europe. Wittelsheim possède aussi une petite bibliothèque.
    • Le parc des Jardins du Monde[50].
    Le , la ville a ouvert au public le « parc des Jardins du Monde » (47° 47′ 53″ N, 7° 13′ 48″ E), un parc thématique qui met en scène différents styles de jardins qui ont influencé l'Art des Jardins du Moyen Âge à nos jours : jardin espagnol (ou hispano-mauresque, héritier du jardin islamique), jardin japonais, jardin à l'italienne, jardin à la française et jardin anglais. L'ensemble de ces jardins thématiques sont unifiés par l'eau, véritable fil conducteur, à travers fontaine, canal, miroir d'eau, jet, étang et escalier d'eau.
    Le parc est aussi composé d'un parc paysager d'inspiration anglaise, qui met en scène des essences botaniques en provenance des Amériques, d'Europe et d'Asie. Trois aires de jeux pour les enfants et des toilettes publiques sont également à disposition des visiteurs dans ce parc public unique en son genre.

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
    2. Legifrance - Arrêté du 22 décembre 2021 établissant les listes d'agglomérations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformément à l'article R. 221-2 du code de l'environnement et à l'article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
    3. Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Collectif des 12 Singes, « Wittelsheim : un site-carrefour sans Néolithique mais avec du Métallique », sur blog.com, ... à travers les âges, (consulté le ).
    15. Elle porte l'inscription DM CINTVSMUS CINTVGNATI, soit « Aux Dieux Mânes, Cintusmus, fils de Cintugnatus »
    16. aujourd'hui dans la cour de la caserne des pompiers
    17. Les armoiries "d'argent à la lettre majuscule W de sable brochante sur le fût d'une crosse de même" rappellent l'ancienne obédience du village à l'Evéché de Bâle et son appartenance aux grandes abbayes du Haut-Rhin.
    18. Charles Sauter: Wittelsheim de Jules César à Charles de Gaulle; Colmar, Ed. Alsa- tia, 1974, in-8°, 432 p.
    19. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
    20. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    21. Archives Départementales du Haut-Rhin
    22. « En Alsace, la plus grande nappe phréatique d’Europe est menacée par les « déchets ultimes » de Stocamine », sur Reporterre (consulté le ).
    23. « Résultats Wittelsheim - Présidentielle 2017 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr (consulté le ).
    24. Notice NetDBA de EBNER Jules, alsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace.
    25. Notice NetDBA de ARNOLD René, alsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace.
    26. « Décès de Charles Wilhelm », Dernières nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
    27. « Wittelsheim : le décès de Denis Riesemann », L'Alsace, (lire en ligne).
    28. [PDF]Schéma départemental de coopération intercommunale de décembre 2011 sur le site de la préfecture du Haut-Rhin, consulté le 18 décembre 2012
    29. [PDF]« Communiqué de presse du Préfet du Haut-Rhin sur la Commission départementale de la coopération intercommunale (CDCI) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) sur le site de la préfecture du Haut-Rhin le 22 décembre 2011, consulté le 18 décembre 2012
    30. « Intercommunalité: Deux recours contre le rattachement à la M2A », Journal l'Alsace du 19 septembre 2012
    31. Site officiel de Mulhouse Alsace Agglomération
    32. « Wittelsheim : « Oui Thur-Doller » voit son référé rejeté », lalsace.fr le 9 novembre 2013, consulté le 7 janvier 2014
    33. « Wittelsheim: La Ville prépare son entrée dans M2A », Journal l'Alsace du 22 décembre 2013, consulté le 7 janvier 2014
    34. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Que faire des 42 000 tonnes de matière toxique de Stocamine ?
    39. Stocamine : un poison en terre alsacienne
    40. Stocamine : début de l'enquête publique dans 9 communes du Haut-Rhin
    41. « Eglise paroissiale Saint-Michel », notice no IA68004731, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Wittelsheim, St-Michel (tribune)
    43. Wittelsheim, St-Michel (chœur)
    44. « église de catholiques Notre-Dame-du-Rosaire », notice no IA68004743, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Eglise du Christ-Roi », notice no IA68004741, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Chapelle Saint-Jean-Bosco de la cité Langenzuge », notice no IA68004752, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Monument aux morts
    48. « Le mobilier du cimetière », notice no IM68008146, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Cimetière », notice no IA68004735, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Parc des Jardins du Monde
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