saur

Du vieux-francique *saur « desséché, asséché », d’où le néerlandais zoor ; apparenté à l’anglais sear « desséché, flétri », au norvégien régional søyr « fané, pourri (bois) ».

saur \sɔʁ\[1] masculin

1. (Archaïsme) Desséché et fumé.
   • Note : Ne s’emploie que dans la locution : « hareng saur »
2. (Archaïsme) (Par extension) jaune-brun, de couleur obtenue par la fumée.
   • Un cheval saur.
3. (Fauconnerie) Qualifie un oiseau de proie pendant sa première année, quand il possède encore son premier pennage de couleur rousse.
   • Le fauconnier le dédaigne comme un ennemi inférieur; mais l'émir ordonna qu'on fît voir la plume au faucon saur. — (Louis Énault, La vierge du Liban, Éd. Hachette, Paris 1860)

• sauret (Vieilli)
• bokking

• saure
• sors, sort (formes du verbe sortir)
• sort (nom)

• ruas
• rusa

• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (saur), mais l’article a pu être modifié depuis.

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saur [Prononciation ?]

1. (Agriculture) Charrue.

• xulugu

Ce mot utilise la notation d’un linguiste car la langue ne dispose pas d’un alphabet officiel.

• Sūn Zhú, 1996, Mĕnggŭyŭzú Yŭyán Yánjiū, Hohhot, Neimenggu Xuexia Chubanshe.

De l’ancien bas vieux-francique *saur « desséché, asséché » .

saur [ˈsaw] (graphie normalisée)

1. Blond.

• rusa
• usar

• Joan de Cantalausa, Diccionari General Occitan a partir dels parlars lengadocians, 2002 → consulter cet ouvrage